ilier, Bernard met les mains en por

place. Vous passez prendre un coup de ro

n amènera d

y a ce qu’y faut. On a rav

s connais… On veut p

petit coup de barre pour éviter deux kayaks de mer, remet les gaz en finesse, et part tr

e de Pen-Bron et du traict, cette grande zone d’estran que la marée haute recouvre à présent totalement et qui, à marée ba

ime les bateaux. Pour ce mouvement rythmé par le clapotis de l’eau contre la coque. Et le bonheur absolu, c’est de pouvoir dormir à bord. J’éprouve alors un mélange de souvenirs de cabanes d’enfance et de doux bercement. Je me sens protégé, ser

mplice. C’était tellement fort, nous n’avions pas les mots. Les regards et les moments partagés parlaient pour nous, et l’histoire qu’ils racontaient était formidable. Comme nos femmes s’entendaient très bien et qu’elles n’étaient pas trop du genre à nous lâcher la bride, nous partions souvent à quatre en week-end ou en vacances. Nous n’allions pas bien loin. Louis avait

e de la boulangère, un autre – avec promesse de passer boire un coup à bord le lendemain – à l’ami Roland qui vérifie les amarres du grand voilier sur lequel il vit, un rapide coup d’œil aux a

permission de mon

m’embrasser avec Gigi, puis se penche

est

s ne lui avez pas dit bonjour. » Alors Bernard et Gigi, avec un bel ensem