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Historique

Chapitre 4 CHAPITRE 3

Nombre de mots : 4531    |    Mis à jour : 09/09/2021

ND

et le mettre sur haut-parleur tout en feuilletant un dossier. Pour dire vrai, je ne prêtais plus tellement attention à ce qu’elle disait. Si elle souhaitait tant que ce rendez-vous soit parfait, elle aurait dû y aller à ma place. Po

ndi ce n’est pas à

désolée tu

ça tu te paies ma tête ? Je suis là à te parler

cape) : mais mon

J’avais bloqué le numéro de Guillaume des avoir rejoint ma voiture. Je ne tolérais pas ça. Même si je m’étais en aller sans prévenir ou m’excuser, cela ne justifiait en rien que Sophie me prenne autant la tête. C’était moi qui supportais après tout. Ce soir, j’allais encore rentrer tard ! Autant que je me concentre sur ce qui restait à faire. Je pris un bout de papie

s m’avez dema

oi une chocolaterie et passe la commande p

ane

ivrent ce panier demain à cette adresse, de préfér

t du leur représentation sur le sol ivoirien. Après tout, ils tenaient à leur réputation. Alors que je passais à la loupe ces documents devant moi, mon ordinateur émit un bruit signifiant la réception d’un e-mail. Je tournais l’écran vers moi. Et dire que je pensais même à eux. Je venais de recevoir ma convocation pour la convention annuelle qui se tiendrait dans exactement deux semaines. Et c’est seulement maintenant que je recevais la convocation. Nous allions encore nous ennuyer. Chaque année nous avions droit à la même chose. Une sorte de training. On allait avoir droit au même discours sur comment s’assurer que les règles d’éthique étaient respectées o

IE D

oi : je veux savoir pourquoi cette fille se retro

ie nous somm

que tu puisses me faire ça ! Cet anniversaire c’est mon argent qui l’a finan

che. Tu ne vas pas crier plus fort pour que toute l’université

est pas la

maintenant et tu me mets en retard. O

son summum quand le groupe de cette idiote passa près de moi. Inutile pour moi de vous décrire le type de regards ou encore les petits sourires que cette bande d’idiote me lançaient. On ne vous avait jamais aperçu sur la liste des

est-ce qu’il a dit

rd’hui s’il ne me donne pas une excuse digne tchrrr même avec une excuse même j’arrête cette relation. Je

re ! Quand toi-même tu ouvres ta bouche pour dire

nt pour acheter toute cette boisson, réserver le salon dans lequel ils étaient assis et embrasser une autre ? Mettez-vous à ma place. Je devais obligatoirement régler cette affaire. Les téléphones portables étaient interdits en classe mais personne ne respectait cette partie du règlement intérieur. Donnant l’impression de chercher quelque chose dans mon sac, j’en profitais pou

ent tu vas

hérie ! La plus b

s là ! Ou es

! Il n’était pas dans son assiette du coup

nnée. Je sortis de l’école en glissant un billet au gardien et me dirigeais chez Marius. Ses parents étaient un couple de business people donc ils n’étaient presque jamais là. Je sonnais et la servante m’ouvrit. Elle me connaissait très bien. Elle m’indiqua la chambre dans laquelle se trouvait Allan. Mon cœur se mit à battre très for

t-ce que tu fais la ? Qui

Salo

ui-là ! Je lui avais bien d

e vous avons quelque chose à régle

n :

besoin d’ex

e photo dans un moment aussi rapide ? Tout ce qu’elle voulait c’était de semer la zizanie entre nous et elle a réussi son coup. Dans la journée j’insistais tellement pour que tu viennes. Tu crois vraiment que si j’avais un deuxième go comme tu le penses et que je comptais être avec elle, j’allais autant insister ? Non ! Pourquoi ne comprends-tu pas que c’est toi que j’aime ? Je restais silencieuse après tout ce que Allan venait de sortir de sa bouche. Il n’avait pas totalement tort et ça semblait logique. La photo avait été même prise à va-vite et était un peu floue. Et souvent je v

tion mais sur le coup j’ai eu mal et tu ne réagissais pas. Je suis d

tu verras il y a a

ous regardions les yeux dans les yeux sans parler. C’est fou comme je l’aimais. Il me caressa les lèvres avec son

Sa main se balada sur mon corps. Il déboutonna ma chemise et glissa sa main dans mon soutien, me pressant les seins. J’ado

is ce que j

que nous sommes bien par

:

lie ! Et là tu m’obliges comme ça à m’abstenir, j’ai

sinon tu ne serais pas en

Allan.

. Ma sœur était avec moi alors que je lui faisais le compte rendu de ma discussion ave

mpêcher de mettre fin à cette relation et là tu

fort Momo papa p

e pensais que tu comptais res

dit qu’il ne sera

l D

ais aimé Elizabeth comme jamais je n’avais aimé une femme. Jusqu’aujourd’hui j’espérais au fond de moi que la fille Ahizi se présente à moi et me montre un enfant qui serait le mien. Au moins il y aurait une preuve, une trace de l’amour que j’avais pour elle. Cet amour qui avait été à sens unique. J’étais prêt à tout pour Elizabeth. J’étais prêt à décrocher la lune pour elle et même les Etoiles. Seulement elle n’avait pas été patiente. Elle voulait tout sur le coup. Nous étions jeunes tous les deux et je ne pouvais pas lui offrir ce qu’elle voulait sur le moment. Elle voulait le confort, elle voulait le mariage. Je n’avais que 22 ans et elle 19, mais surtout aucune situation financière particulière. Où voulait-elle que je trouve tout ça ? Elle avait jugé bon d’entamer d’autres relations avec des hommes plus âgés. Elle ne perdrait ainsi pas son temps. Les hommes âgés savaient ce qu’ils voulaient et avaient les moyens de leur politique. Aujourd’hui j’étais un homme âgé et j’avais de quoi viv

le :

y’a ? Tu ne peux pas fr

is depuis et tu ne se

ttends que je réponde avant de faire q

passée puis sortit comme je lui avais demandé. J’en profitais pour ranger r

’est-ce

re qu’il y a des travailleurs à la porte. Ils di

s-lui d’ouvr

et me dirigeais au salon. J’étais en train de traverser lorsque j’entendis le bruit de la vaisselle qui se brisait au sol. Je me retourn

va Fran

: ce n’est que de la vaisselle ! Laisse tout ça la et va prendre un ba

liers. Les filles qui étaient assises au salon suivait avec moi c

isine c’est par là et

sur le visage) : oh mon DIEU

la porte qui menait à la cuisine. Morelle et Le

est drôle ? Vous avez

n y va com

our le maçon il était question qu’il monte le mur qu’elles escaladent là. C’est parce qu’elles arrivaient à l’atteindre que ces filles se permettaient de démontrer leur talent de sauteuses. J’attendais qu’il me fasse le devis par rapport à tout ce dont il aurait besoin et je lui remettrais l’argent pour qu’on en finisse. Après ça, j’allais encore voir comment elles allaient se démener pour sortir. Je devrais même songer à ajouter des caméras de surveillance un peu partout. Non je n’exigerais pas. Lorsqu’on a des enfants, en part

a t

la façon de se vêtir ! J’avais cette opportunité et j’en jouais. Mon magasin évoluait selon une philosophie bien précise. Mes articles n’étaient disponibles qu’en un seul exemplaire ce qui faisait que lorsque vous achetiez en dehors des produits cosmétiques vous étiez sûr d’être la seule à l’avoir sauf si une autre sortait du pays et allait s’en procurer. Les apparences c’est bien quelque chose hein. Ça si on voulait regarder le monde autour de nous pour vivre bon nombre de pe

: Mad

l y a une cliente qui souha

’a-t-il un

elle a juste deman

rfaitement rentrait dans mon bureau. Bien que je me posasse des questions je gardais une postur

a ! tu peux nous

: bien

jour madame ! Comment

... ...

ervenir ! Dans le cas contraire J’allais sortir de là avec bien plus que ces bleus sur le visage. Auguste : je suis vraiment désolé ! Moi : dès que j’ira

tre qu’elle me cogne ? Tchrrr Un silence s’imposa entre nous ! Il semblait être abattu. Sa femme m’avait rendu visite plutôt dans la journée et je me retrouvais maintenant dans mon lit avec le visage tuméfié. Auguste s’était dépêché de me retrouver i

en profiter pour me reposer et me remettre de cette bastonnade. Je pense qu’

is même contacter mon ges

e dois me reposer ! Augus

isé entre nous. Auguste s’en alla enfin. C’était comme ça qu’on devrait traiter les hommes. Les faire ramper à nos pieds. Pas besoin de marabout ou de médicaments quelconque. Le médicament par excellence s

(décrochan

madame ! Moi : quoi ? Le monsieur qui ét

gardien ! Demande-lui s’il arrive à voir

aille faire ma commission et qu’elle revienn

ais enfin de mon lit et all

ge tranquillement. Alida était une maquilleuse professionnelle que je connaissais parfaitement. Elle s’était spécialisée dans le maquillage des effets spéciaux. Elle maîtrisait donc l’ef

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