img LA VIERGE ET LE VÖYOU  /  Chapitre 5 Chapitre 5 | 18.52%
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Historique

Chapitre 5 Chapitre 5

Nombre de mots : 3006    |    Mis à jour : 08/02/2024

gner sa chambre. Il lui a fallu tout ce temps pour rassembler ses pensées et son

, fixant la porte fissurée par laquelle

s'était enfuie de la bibliothèque après

n'y compr

t-il de s

chevauchait et le montait comme un cheval de course Tattersalls. Elle prenait son plaisir sans rien exiger de lui, enfin, à part son corps. Son corps tout ha

s, peut-être ? Cela ne l'

un an et était très bien avec son statut. Il n'était pa

e souvenait à peine de la dernière femme à avoir partagé so

vait pensé que

ertaine femme avait chan

n face de lui à la table du dîner n'avait pas piqué son intérêt – du moins pas de façon charnelle. Elle avait à peine parlé, et quand elle avait ouvert la bo

s'était

t pour admirer les dégâts qu'elle avait fait à son gil

éature déroutante

nsées étaient vivantes avec elle. . . tout comme sa bite. Il se baissa pour s'ajuster. Cela n'a servi à rien.

le dérouter, mais

rtait pa

ant de fièvre. La chambre était encore sombre. Elle glissa de son lit et marcha pieds nus jusqu'à la fenêtre. Séparant les r

haleta, agrippant le cadre de

! Pas

ue sa rencontre avec Kingston ne lui avait accordé qu'un sursis. Cette libération fracassante ne l'avait

n pour l'aider. Le battement était si intense. La chaleur lui a donné e

ét

billa rapidement et fouilla dans le fond de sa garde-robe pour une de ses robes simples. L'une des robes unies qu'elle pos

serpent à travers elle), elle s'enfuit de la maison, partant par les escaliers arrière des domestiques. Heureusement, non

'à ce qu'elle pénètre dans le bosquet de bois entourant la propriété de son beau-frère. Ses jambes s'a

connaissait chaque parcelle de Brambledon et des environs.

e. Ses pieds la menèrent jusqu'au chemin

ut cela ne lui appartenait. C'était celui de Nathaniel et maint

Elle dut ralentir et faire attention à ses pas dans la pente assez abrupte qui menait aux rives de l'étang. Elle n'a

bien l'étang. Avec la sensation fraîche de l'eau croustillante sur sa peau, avec la mousse douce

es, correspondant au battement pr

? Et si sa sœur l'avait e

t simplement besoin de temps pour suivre son cours. Comm

gence, elle se força à faire une pause et à jeter un coup d'œil autour

ités alors qu'elle enlevait sa robe et la jeta par-dessus un buisson voisin. El

bérée de ses vêtements. Sa peau échauff

rres et de cailloux sous la plante de ses pieds était vraiment agréable -

se précipita jusqu'à sa taille puis plongea le reste du c

tête, l'eau fraîche clapotait délicieusement sur son

e les a pas entiè

u'elle étirait ses bras et fendait l'eau, se sentant aussi libre qu'une sirène. Au moins, elle

upposa-t-elle. Nager

comportement. Pas même ses sœurs. Ils ne le diraient jamais,

'appartenait qu'à elle. En plus de ce q

moins il y avait ça. Elle n'aurait pas

yer à ses côtés en mouvements rythmés. Fermant les yeux, elle ignora la douleur qui

s seins nus. L'air circulait sur sa poitrine, r

le sut qu'elle devrait bientôt partir et rentrer chez elle

pas une héroïne audacieus

avait jamais aspiré. Autant elle les admirait, autant elle ne les enviait

e cet étang, elle se sentait décadente et libre. Pour

udrait que

pour cause de maladie, on s'attendrait à ce qu'elle parte. Billy et sa famil

un sourire sur son visage, tous les

ront, sa respiration encore beaucoup trop laborieuse pour un homme qui devrai

ette

Après que Charlotte Langley l'ait si compl

la première fois dans sa chambre il y a quelques heures. Le somme

bruit de mouvemen

e de

de de roulement apparte

ent en phase avec elle. Ses narines se dilatèrent et ses pores

'elle était quelqu'un qui gardait les heures tardives. E

quelques privilégiés - le duc et sa femme et les sœurs Langley. La liste était courte. Il ne s'attendait pas à s'y retrouver. Ce n'était certainement pas l'œuvre de son demi-frère. Si cela n'avait ten

a. Elle se dépla

rester en place

rapidement, déterminé à la suivre et

qu'il étai

regard vitreux aux yeux hagards qui semblait aller au-delà de la passion de leur liaison. Il ne pouvait p

l'alerta qu'elle avait déménagé en bas. Il descendit, marchant dans le couloir et c

bruyants. Quand il sortit, il repéra un éclair de sa robe pâle au

lait-

un bosquet épais jusqu'à un étang. Il s'avança prudemment sur

curité d'avant l'aube, il était couvert par l'ombre de plusie

lqu'un ? Son fiancé

and poids pesait sur lui. Il frotta le centre de sa poitrine, espérant

sentait mûre et souple entre ses mains et b

e ce qu'elle faisait n'avait aucune importance pour lui

eau l'arrêta. Se retournant,

sonné dans

ontrés avec tant d'empressement plus tôt maintenant perchés et flottant

chit manquait de déco

mais été aussi i

le avait l'air si paisible, flottant

fit rien qui indiquât qu'elle était au courant de sa présence.

En la regardant, un petit sourire retroussa ses lèvres. Dérivant dans l'eau comme un

uit lui sembl

ensuel, son corps le chevauchant avec une vigueur affamée. . . Peut-être tout était

r

les impulsions pouvaient être sui

'elle ne correspondait à son souvenir de l

l'avait rejetée comme on le ferait avec le papier peint d'une pièce. Quelque chose qui existait. . . quelque chos

ait pas l'oublier. Pas la sens

as cette

e. L'eau l'attirait, le tentant –

nvitation expresse. Le faire me semblait vaguement prédateur. . . plonger dans un étang occupé par une femme nue sans méfiance

ait que renforcer cela. Elle avait suscité son intérêt. Son inté

er une telle tournu

re la réponse à

. . . moins perdu. Il voulait redevenir lui-même – vivre dans l'insouciance et la l

sait longtemps qu'il n'avai

à présent et sans vêtements. Ce n'était pas un garçon vert. Il avait déjà vu beaucoup de femmes nues. La vue ne

vivre cet éveil. . . ce devait être une parente

de lui, toujours sur le dos, flottant toujours à la surfa

uche

é et il commençait à peine à s'en apercevo

nants de désir prêts à bouillir sur lui. Des femelles minces et vaporeuses qui

nent. Dawn serait bientôt là. Les gens seraient sur leur journée. Peut-être pas ici dans ce vallo

tte fois qu'elle l'entendit. "Je ne savais pas

a d'un ton égal, ne reflétant

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