hose n'al
ensation, l'inconfort doulo
dans sa chambre à coucher, où elle a jeté ses vêtements à la hât
e. La nausée ne ressembl
ent différents. Pl
supportait les élancements de douleur jusqu'à ce qu'ils passent. Les petites crampes améliorées par les
it pas c
t en aucune faç
e de sa chambre qui s'ouvrait et se fermai
lentes et régulières, ses doigts s'enfon
e dans son état actuel, il n'y avait aucun doute sur l'ag
ra ? Elle n'a pas
ais pas dans cet arrangement précis. Et j'aurais peut-être ajouté quelques nouveaux ingrédients. Vous savez que j
a sur ses sœurs. « Elle m'a empoisonné ! elle réussit à cracher entre ses dents, poussant l'oreiller
"Je ne vous ai rien donné de dangereux et les doses
semblant presque démentir les paroles de sa sœu
ve réprimande en faisant signe à
rtitude dans sa voix que Charlotte ne manqua pas, même dans son état agité. "
pressant l'oreiller de plus en p
hé. Papa a toujours insisté sur l'importance des liquid
aissa tomber sur le lit à côté d'elle et pressa un
s yeux vers sa sœur. « Mar
eux. Le sommeil guérit. Je suis sûr que
it un faible ho
n, bien sûr. Elle l'
il vous plaît, lais
d elle se réveillait le mati
on que tout cela n'éta
a seule dans une c
inée, émettant une faible lueur,
s'endormir après cela. L'heure était tardive. Une obscurité d'encre gonflait entre la fissure de ses drapés de damas. C'était le genre d'obscu
nt éveillé. Le sommeil ne pouvait plus la protéger. Cela ne pouvait p
ormie auparavant, son
t pensé que son cor
e connaissait l
ps étai
abdomen, bas dans son ventre, mais cette fois c'étai
. Son corps était une corde pincée
ait pas comp
onique que Nora lui avait donné. Il avait eu un go
Elle tourna son visage contre son oreiller et lâcha
o
t le réparer. Sinon, Charlotte mourrait. Elle en était certaine. Nor
as tolérer un aut
prit une profonde inspiration. Cela n'a pas
canapé, mais elle ne pouvait pas être dérangée. La lutte pour atteindre la porte de la chambre était assez grande. Outre. Il éta
couloir, elle se traîna dans le couloir vers la chambre de sa sœur. Chaque pas était un acte
elle avait
our rejoindre la
a con
ulager sa brûlure de tout le corps. Il n'y avait aucun moyen qu'elle puisse bouger plus vite. Ses jambes étaient lourd
vas pas
grave la travers
t son corps contre le mur, les bras écar
mme si elle pouvait d'une manière ou d'une autre
propriétaire de cet
du dîner. Le demi-
pas été impressionné par elle. Avec n'importe lequel d'entre eux. De toute évidence, ils ne correspondaient pas à ses
l ait à nouveau l'air ennuyé. En ce moment, il avait l'air bien trop intére
e tenu de son
tre ses jambes se resserra et se tordit alo
la tête. N
lèvre jusqu'à ce qu'elle sente le sang couler contre ses dents – et
esure qu'il se rapprochait d'
pre forme d'angoisse parce qu'elle avait l'impulsion terrible et co
dont elle se sentait complètem
es. . . sa volonté, ses ordres. . . la voulant faire des choses terr
. Enfoncer son nez dan
tez
fixant sur la main qu'elle lui tendait
eau primordial. Il ne pouvait pas l
as. . . eh bien, m
tait une pensée peu féminine, mais elle ne pouvait e
t sur elle-même pour résister à l'envie de cambre
sentir même là.
est-ce p
enflammés qu'elle entendait du haut de la chair
appa de la main en l'air. "Pas un autre
e sa voix, elle ne le savait pas. Quoi qu'il en soit, il l'ignora. "Venir. Laissez-m
au mur. C'était la chose à faire en gentleman. Il ne pouvait pas s
à travers les barrières de leurs vêtements. Ce n'était que la plus prudente des touches,
bras à sa réaction. "Es
pourrait mourir seule et en paix, sans qu'un homme trop beau et sophist
ley ? » l'a
dents serrées. Elle craignait que les desserrer ne fa
appuyer sur son passage. C'était trop dur, et sa chambre se dressait
angley », essaya
s'il lui avait apporté un tisonnier brûlant. N
ofond et intense que cela
air, les doigts écartés comme pour
s'agissait de la bibliothèque. Il y avait un grand canapé là-dedans. Parfait. El
prendrait plus des choses aussi simples pour ac
Langl
là ? "Allez-y," lança-t-e
-vous
ulement pas les esprits. Elle s'était im
fois, en supposant qu'elle ait survécu , elle ne prendrait plus jamais l'un des ton
lle trébucha sur ses propres pieds. Ou peut-être que ses jambes ont simplement cédé. Elle ne savait pas, mais
être sa posi
mée – puis il se pencha sur elle, la prenant dans ses bras sans un grognement.
eille propulsa la sensation directement dans son aine. Elle gémit, s
o
itrine, recherchant instinctivement la solidité réconfortante, appréciant la pression contre des seins douloureux et lourds. Bizarre, ça. Sa poitrine était petite et il n'y avait pas
roulait ses bras autour de ses épaules, se livrant à l'impulsion même qu'elle s'était refusée. Elle enfouit son
." balbutia-t-il
paules et se blottit plus profondément dans le c
agrippant le tissu de sa chemise
s'élança,
igé. De l'air siffl
pas arrêtée
vait des choses plus fortes en jeu en ce moment. Plus grandes
is fermant les lèvres et suçant, se pre
besoin de son poids, contr
mais elle savait. Intu
leure et pire. Pire parce que plus elle frottait, plus el
ait pas
sa le long de sa longueur avec un soupir. Mieux. Tout d'elle pouvait le sen
s'agrippant à lui. Il ne portait pas sa veste. Seulement son gilet. Elle grogna de
e mouvement, ses mains glissant sous la fine pelou
de. Tu es en c
a laissèrent
n'a
ne po
e. Il glissa sur le sol et elle l'a
. Oui
jusqu'à ce que son sexe nu repose sur son entrejambe
les yeux écarquillés su
pas ce que ce
ait gonflée et qu'elle risquait de périr
gère près de son oreille et s'appuya sur sa du
ant contre lui jusqu'à ce qu'el
rrir la douleur. Même si c'était une bonne douleur maintenant. Une douce douleur. Un beau tourmen
ent sur ses hanches et elle les couvrit de ses propres mains, le fo
eur. Il avait besoin de satisfaction
» marmonna-t-il d'une
s entre eux. Sa peau brûlait et exigeait un contact peau à peau. L'écorchure de la mat
e décolleté de sa chemise de nuit, arrachant le
ls se régalaient d'elle, la regardant comme si elle
sur lui. Elle trouva ses mamelons, remarquant avec un halètement aigu que les pointes distendues étaient tendres. Elle les saisit et to
igts couvrant ses lèvres. « Chut. Son regard
ure sur sa bou
de la friction. Plus elle bougeait fort et vite contre lui, plus
tout le corps comm
endue, aussi tendue que son expression. « Tu es
e caresse, touchant quelque chose
touffé alors qu'elle frissonnait sur lui, toute
ant au-dessus de lui, son
he, ses doigts parcourant sa
les taches dorées dans ses yeux bruns, la regardant si profondément. L'étonnement étai
u'avait-e
e du duc, ri
aquer un homme inconnu comme si elle était u
fois c'était la honte et non la
ter cet homme et de le chevaucher comme une femelle bien aguerrie. Bonté! Ses seins! S
comme s'il était lui aussi gêné. Et cela ne
gard tomba sur son entrejambe et elle se figea, une nouvelle vague de mortification la traversant alors qu'elle voy
ence pour même imaginer une telle chose. Elle n'avait aucune idée du plaisir qu'il pouvait y avoir entre une femm
don venait à peine
ue ce soit d'inconvenant. Et jusqu'à ce soir, elle avait été
regardant là où elle avai
on visage. Espérons qu'elle serait
s tremblantes et rejetant les mèches lâches de son visage. Sa tresse s'
, mais rien comme avant. Rien de tel qu'elle l'avait attaqué, mo
stante et tiraillante s'était enfuie. Dispara
ce soulagement. Elle n'ét
orte alors qu'elle sentait son
grande de ses sœurs. Ils avaient peut-être plus de viande sur leurs os et des courbes flatteuses (jamais ils ne pourraient prétendre posséder une petite poitrine), m
pas
orps nerveux pour satisfaire ses besoins. Même à califourchon sur lui, le chevauchant, emportée dans se
t arrivé ? Elle ne pou
venir les pincements annonciateurs de ses règles, elle avait pris
t pas le même qu'elle avai
tent engourdis, exsangues. "JE . . . euh. Je ne sais pas
n'est pas dans mes habitudes de rapp
ina
traduisait certainement pas l'ampleur de ce qui venait de se pas
des yeux contre ses yeux brûlants. Elle n
de ses traits alors qu'il la c
vidence, elle n
nstants plus tôt, elle avait pensé qu'elle était en train de
était tout. Même si elle s'éta
ora. Elle ne pouvait pas se blâmer. Elle avait été sous la contra
que. Ce n'était
reproduirait
alors, elle s'enfuit avant de pouvoir dire ou
tions de cette nuit, mais elle ne se faisait pas confiance. Elle ne savait pa
t, et là, dans l'intimité de sa chambre, le vi
encore des conséquen
les essuya de ses joue
La douleur était toujours là, un battement sourd et palpitant maintenant. Je n'avais plus l'im
pas ravie. Dans son état, elle n'aurait pas protesté. Non, ça avait été le contraire. Elle l' avait ravi . Il lui
demandant ce que sa maudite sœur avait
t de la douleur, elle avait joué avec. Blast la fille! Elle aurait dû rester assez bien seule. Elle s'était
r arracher sa sœur à son lit par les cheveux. Cela
instant, elle ne voulait plus braver le couloir. Pas après la dernière fois. Même si son corps sembl
erait séduit