t soulagé de constater qu'il n'y avait pas beaucoup de trafic, ce qui lui permit d'arriver à l'heure a

tar

terminé ses tâ

coiffé ses cheveux noirs qui encadraient son visage lumineux. Son regard était empreint d'une douce détermination a

ermement posées sur le volant, elle observa attentivement les alentours avant de démarrer le moteur a

Lisette était concentrée, ajustant avec précision sa vitesse et son positionnement sur la route. Son visage reflétait une

mère. Les rires partagés, les confidences échangées et les conseils maternels résonnaient dans sa mémoire, nourrissant son cœur

fleurs créant une toile vivante de couleurs et de textures. Lisette se laissait imprégner par la beauté

es battements de son cœur s'accéléraient légèrement, témoignant de l'impatience qui brûlait en elle. Elle savait que cha

autre

n son retour. Les liens qui les unissaient semblaient avoir été quelque peu distendus par le temps et le silence, sans aucune nouvelle pa

**

moteur et prit une profonde inspiration pour se préparer mentalement à cet instant d

a mère, Madame Martinez, une figure digne et distinguée, était assise dehors, sur la véranda, attendant patiemment son arrivée. Liset

Ta sœur se porte à merveille, ma chère. Elle vient tout juste

épondit avec une lueur dans les yeux : « Trè

emarque à chaque fois que je parle de lui. Que le bon Dieu vous bénisse, vous garde

« Amen, maman. Mais je ne suis pas sûre que quiconque puisse nous séparer, c

vec une tendresse maternelle : « Je le sais très bien, ma fille, et c'est précisément ce

assurance : « Maman, soyez assurée que vous verrez vos pe

travail, Madame Martinez demanda