mmandes et autres obligations de mon restaurant, ce n'est pas la joie. Depuis qu'Éric a agrandi mon restaurant, même avec toutes mes employées, ce n'est pas l

t faire pour prendre soin de ton mari. Ce n'est pas bien, même s'il ne dit rien. Parce qu

olution renforcée : « D'accord

de lui, c'est tout. Et concernant tes employées au restaurant, je vais t'en trouver

ccord maman, c'est compris. C'est ce que papa me dit

légèrement irrité : « Comment peux-tu poser une

il m'a dit hier au téléphone qu'il avait pris

oublée : « Ah bon ? Je ne suis pas au courant. Mai

ère : « D'accord maman, bon je vais prendre congé de vou

pointe d'insistance : « D'accord ma chérie, mais ta sœ

ée : « D'accord maman, elle veut

fut accueillante et enthousiaste : « Ma bea

« Oh grande sœur, tu es venue ? J'

ollicitude : « Ah bon

gent pour finaliser mes documents de licence, mais papa me dit toujours qu'il va venir, et le tem

mpatissante : « D'accord, j'ai c

ton déçu : « Non grande sœur, je p

m'accompagner au marché, non ? Parce que j'ai déjà p

pressement : « D'accord grande sœur, do

légèreté : « D'accord, je t'atten

Mais grande sœur, ton restaurant est devenu grand, hein !? On dirait un quartier transformé en restaur

t : « Vraiment, cette fille va me tuer. J

ette avec une demande sincèr

ndirent ensemble au mar

ain, une ravissante demoiselle s'approcha d'elles. Il s'agissait de Debby, l'intime amie de Lisette. Cette dern

ette, initialement, ne parvint pas à la reconnaîtr

e, puis-je vous être ut

-tu pas ? Ou bien est-ce que ton

ue je suis Lisette,

'est moi, Debby, ta cam

raiment ? Debby, mon amie

'est bel et bien moi. Tu

ment surprenant. Tu es partie e

ujourd'hui. Je voulais flâner et quand j'ai vu le nom du restaurant, je me suis rappelée ce que tu disais autrefois

s la bienvenue chez Lise Re

s-tu ici ? Ou bien es-tu venue pour pr

ui, on peut

e dis pas que ce restaurant

er étrange, mais oui, c'est

itable paradis. Ce vaste établis

haites-tu déguster afin que je de

repas et elles entamèrent