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Historique

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1583    |    Mis à jour : 26/05/2023

1Debora e

oup

re qu’ils m’aient interrompue a

bituer, mais finalement elle pense qu’elle ne s’y fera jamais. Lui, qui pouvait se vanter d’avoir le titre de camé

cet angle. Elle est reporter, elle est bien supposée divulguer les informations qu’elle

ortée. Les propos que tu as tenus à

ommes pas en sécurité. Tu n’es pas une

tuée. Jusqu’à preuve du contraire, le t

oins d’un mois. Il n’est pas trop t

e sacrément remonté contre toi, esquisse Ramone dans un chuchotement

bouche et s’apprête à répondre à son caméraman lorsqu

e pas qu’il

provenance de la voix. La journaliste reconnaî

ur d’un haut sombre, d’un jean noir et de bottes... noires. Vestimentairement parlant, elle semble s’imposer en étant paradoxalement à la fois remarquable et discrète. Bien qu’elle ait un brassard orange siglé « police » autour du bras droit, elle ne semble clair

tenant

oiselle

légèrement

z toujours rapidement sur

river sur une scène de crime avant vous. Ressentez-vous un malaise général

Débora. Et demandez à votre

ns accentuent l’innocence qu’il tente de simuler devant chaque représentant des forces de l’ordre. En effet, bien que Ramone soit le caméraman de la repor

bora du regard lors de leur conversation, conversation qui s’apparenterait d’ai

dernière. Il ne lui faut pas beaucoup de temps avant de replonger son regard dans celui de Patricia, et d’esquisser un petit rictus malicieux et insupportable dont el

rivée, alors ? continue Débora comme

grappe ! Vous n’étiez pas supposé

ire, réplique Ramone en

cieux. Ses yeux deviennent plus sombres, et son visage plus ferm

t d’autres. Cela ternit son image, mais ce n’est pas ce qui la dérange le plus. Elle aimerait juste pouvoir parler au nom du peuple français en tant que journaliste, profession qui lui permet d’avoir davantage l’occasion de s’exprimer publiquement

it, ce n’est pas comme si ça la touchait. Pas tant que ça, en tout cas. Avoir une reporter dans les jambes

suit, toujours avec sa caméra dans les mains et abaissée au niveau de ses genoux. Il p

tionné par la police. Débora est recroquevillée en boule sur elle-même, le front contre les genoux. Ses longs cheveux bruns frisés sont légèremen

majorité du temps, Ramone insupporte Débora, mais dans le bon sens. Ils sont loin d’être ennemis, leur relation s’apparente davantage à celle de cousins éloignés mais qui restent plutôt complices lorsqu’ils se

e quelques jours de congés Débora Logan, alias la

Elle adopte désormais une position droite et élancée, ce qui lui donne un air déterm

? Je ne vais pas abandonner !

uis vingt-huit jours. Tu peux bien rester en retrait quelque t

la Main Rouge. Des milliers de femmes ont peur, pour elles, pour leurs filles, leurs sœurs

ébo

coupe l

changer d’avis, Ramone. Tu sais trè

nt... soul

’en pensent le journal de 20H, Patricia Monroe ou le reste des services de police. Je vais continuer

ne veux pas m’avo

e ça signifie. Si elle avait répondu, ça aur

quille. Tente tout de mêm

ce qui n’est pas sans lui donner un air un peu stupide. Débora le regarde partir, avant de tourner so

eut pas abandonner. Cette affaire lui ti

ul

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