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Historique

Chapitre 5 No.5

Nombre de mots : 1285    |    Mis à jour : 26/05/2023

aussement enjoué à Marc avant qu’il ne qui

ux murs de la pièce qui fait à la fois office de séjour et de salle à manger. Patricia constate à quel point Amandine était douée. Une si talentueuse personne n’aura jamais la possibilité de partager son art au reste du monde... Cela lui a été arraché, de force, alors qu’il s’agissait probablement d’un loisir relaxant qui lui permettait de relativiser quant à sa situation financière précaire, et à ce qu’elle était contrainte de faire pour s’en sortir chaque mois. C’est pour ce

ion le reste de la pièce, elle est sur

à vous voir ici aujour

n teint mat et ses yeux bruns qui traduisent une méfiance constante vis-à-vis de chaque personne qu’elle regarde. Cette impression est d’a

urtant

sais parfaitement que vous ne respectez pas toujours v

es

i car... Enfin bon, ma

pas. Plus on

erminer sa phrase compt

vez vu l

e corps de la victime à Patricia, ma

. Je sais que les membres de la police scientifique travaillent encore à approfond

personnes côtoyant le réseau de proxénétisme auquel s’en prend le Tueur à la Main Rouge depuis vingt-huit jours. Elle n’avait pas d’activité professionnelle officielle, elle percevait donc une allocation chômage et parv

e financièrement, comme les

é auparavant. De plus, elles étaient également potentiellement toutes les quatre vulnérables ém

un lâche. Il sait très bien

ur refuser de mettre en sécurité les autres prostituées du réseau sous protection policièr

ssible trahit une lassitude générale des moyens qui sont mis en

la Main Rouge s’en prenait à ces femmes car elles n’avaient pas de proches qui pleureraient leur dispar

a, surtout que ce serait

tres ne réfléchit probablement pas c

laisser une signature sur chaque scène de crime et jouer avec la police depuis quasiment

les deux que je ne peux pas me le permettre. Ici, peu de policiers prennent cette affaire au sérieux. Plusieurs d’entre eux n’en ont rien à faire que des prostituées sans atta

altercation avec cette dernière ju

illeurs. Mais on ne sait rien de ce tueur. J’ai l’impression que la quasi-totalité de la population p

s, qui discutent un peu plus loin de sort

le premier. C’est pour ça qu’on ne doit pas baisser les bras com

trace derrière lui. Je le sais d’avance, mais il faut bien que je respecte la procédure. Pourtant, je sais parfaitement que ce qui se trouve dans

aison. Pourtant, je reste ici pour encore une heure ou deux. J’a

entrez pas

scène de crime. Je suppose donc que je suis officie

payée pour ça. Rie

à chaque fois qu’on en découvre une autre, je me dis que ça aurait pu ê

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