Choisir de vivre avec une personne pour le restant de ses jours c'est endurer, patienter et surtout ''rester'' peu importe la situation ! Quel serait donc le ''Testament Du Mariage'' entre Aisha et Hussein ?
Choisir de vivre avec une personne pour le restant de ses jours c'est endurer, patienter et surtout ''rester'' peu importe la situation ! Quel serait donc le ''Testament Du Mariage'' entre Aisha et Hussein ?
Point de vue de Aisha :
La sonnerie d'alarme me tira de mon sommeil si tendre mais bon, il faut prier Fadjr et cela vaut tout le bas monde et ce qu'il contient comme l'a dit notre bien aimée Prophéte Sallallahou Aleyhi Wa Salam.
Je me redresse en enlevant la couverture sur moi et patiente quelques secondes sur mon lit pour trouver mon équilibre et me preparer mentalement de la journée qui m'attends.
Ceci étant fait, je reveille mon mari et comme d'habitude cela me prit au moins 5 minutes pour que Monsieur reprenne ses esprits.
- Mon Ange reveilles toi s'il te plaît ! Allé là ! On prie fadjr dans à peine 20mn !
- J'arrive, je me léve tout de suite ! Dit-il en tournant son visage de l'autre côté.
- Daccord ! Haussai-je les épaules.
Je me dirigeai vers la salle de bain pour me rincer le visage, me brosser les dents et fis mes ablutions.
Pendant que je faisais mes ablutions, un hadith me vint à l'esprit :
Le Prophéte Saws a dit : " Qu'Allah fasse miséricorde à un homme qui se lève la nuit afin d'accomplir la prière, réveille son épouse et lui asperge le visage (pour la réveiller) d'eau si elle refuse. Et qu'Allah fasse miséricorde à une femme qui se lève la nuit afin d'accomplir la salât, réveille son mari et lui asperge le visage d'eau s'il refuse. ''
Et cela eut le don de me faire sourire.
À ma sortie de la salle de bain, je remarquai que Hussein dormais toujours.
Je regarde l'horloge qui affichait 5h50mn.
Je soupire en levant les yeux au ciel.
C'est toujours comme ça avec lui de tout façon ! Comment aurai-je pu croire qu'il se léve aussi facilement ?
Je rentre dans la salle de bain et y pris de l'eau que je lui asperge au visage !
Un hadith c'est un hadith ! Pensais-je en souriant. Qu'Allah me fasse misericorde !
Ainsi il sursaute du lit et se mit assis.
Il me lance un de ses regards qui aurait pu me tuer.
- Pas le choix mon ange ! Il est l'heure ! Je suis desolée ! Dis-je faussement désolée.
Il continua toujours à me regarder sans bouger.
- Euh as salamou aleykoum ! Murmurais-je en souriant.
Il me lance un ''tchip'' phénomenal.
- Aisha c'est quoi ton probléme ? Tu veux que je tombe malade ou quoi ?
- Je...
- Vas-y pousses toi de ma vue, tu as le don de me mettre de mauvaise humeur dés le matin. Dit-il énervée.
Est-ce que je l'ai déja reveillé à fadjr sans qu'il ne se fâche ou qu'il me dise des mots blessants ? Non.
De tout façon, il n'est pas matinale !
Il se leva et entra dans la salle de bain sans me jeter un regard.
Pendant ce temps, j'enfilai ma tunique blanche et un voile assorti puis, je sortis à Hussein, un qamis de la même couleur !
Il sortit enfin de la chambre et je lui tendis son qamis, qu'il saisit et mis sans me jetter un regard.
- Tiens ! Le fis-je tourner en le vaporisant de parfum.
J'allais ensuite prendre nos tapis de prieres.
- On y va ?
- Oui ! Hocha t'il la tête.
C'est ainsi que nous prîmes le chemin de la mosquée qui était à 5mn de marche de chez nous.
Il faisait encore sombre dehors et certainement Hussein a deviné que j'avais peur donc il passa sa main sur mon épaule.
Ce qui me fit sourire bêtement parce que ce n'était plus quelqu'un de vraiment trés attentioné.
Je lui jette un regard et il me fit un clin d'oeil.
- Je t'aime ! Lui dis-je.
- Je t'en veux ! Souria t'il en sous entendant son sommeil.
Je ris tout en faisant la sourde oreille tandis qu'il ressera son etreinte sur moi.
En réalité, Hussein n'était pas vraiment au top dans la dîne. En fait, il est un peu négligeant même je dirais. Il pense que la religion ne se limite qu'aux cinq priéres quotidiennes et au jeune du mois de Ramadan. Et puis même les cinq priéres, il est capable de les retarder pour au final se retrouver à les accomplir à minuit de façon machinale.
- '' L'essentiel c'est de prier les 5 prieres quotidiennes !" Disait-il. Ou encore ''Au moins je vaux mieux que ceux qui ne prient pas'' !
Il est clair qu'avec cet état d'esprit, c'est compliqué de lui donner un coup de pouce.
Ce n'était pas quelqu'un de mauvais je dirais mais le seul bémol c'est qu'il faut que je sois toujours derriére lui pour veiller à ce qu'il prit à l'heure, qu'il aille à la mosquée le vendredi, qu'il fasse des aumônes, qu'il jeune au moins une fois par mois....
J'en suis même arrivée au point où même quand j'ai mes régles, je l'accompagne jusque devant la mosquée !
Parfois je lui fais des rappels sur beaucoups de choses puis il commence à faire des efforts mais ça ne dure jamais longtemps !
Mais bon au moins il essaie ! C'est déja positif !
Je prie toujours Allah en ce sens pour lui et je sais qu'un jour ou l'autre Ya Rabbi répondra à mon dou'a' !
Et en dehors ça, le point de positif c'est qu'il avait appris quelques sourates en bas âge et alhamdoulilah il peut toujours les réciter sans faute et il sait lire le Coran aussi.
D'ailleurs il mémorise plus de sourates que moi et pour ça, j'ai trouvée une superbe idée pour augmenter ses hassanets : " je lui demande de m'apprendre une sourate de temps en temps et lorsque je le mémorise, je viens réciter chez lui, il me corrige et si finalement le compte est fait. Je récite le plus que possible les sourates qu'il m'a apprise, de ce fait, j'ai des hassanets et lui aussi à chaque fois que je le récite. ''
Puis j'en fais des audios que j'envoie sur whatsapp à ma mére et à mon pére, qui les écoute de temps en temps. Ainsi donc, les hassanets pour mon mari et moi s'allonge bi iznillah !
J'espere juste qu'Allah acceptera mes intentions et je crois au fond de moi que c'est déja le cas.
Cependant le seul hic c'est qu'avec lui, je ne peux pas me permettre une certaine baisse de foi ou une negligence par rapport à la religion sinon nous serions tous les deux dans de sales draps parce que je ne pense pas pouvoir compter sur lui pour rebooster ma foi.
Aprés faut savoir que je ne suis pas non plus une ''ya seyda'', je ne connais pas moins de 100 hadiths, je ne mémorise que le juzz ''Amayata'' et je me bats chaque jour contre sheytan du mieux que je peux. Il m'arrive parfois de gagner comme de perdre.
Bref je suis juste une personne qui fait de son mieux pour apprendre, connaitre et appliquer sa religion.
Je veux faire de ce mariage une cause de plus pour que mon mari et moi esperions la misericorde d'Allah SWT au jour du jugement dernier in sha Allah. Et il connait mes intentions !
- As salamou aleykoum Madame et Monsieur Fall ! Nous salua chaleureusement le gardien.
- Aleykoum salam Lamine ! Repond Hussein.
- Wa aleykoum salam wa rahmatoullah Lamine ! Souris-je. Vous allez bien ?
- Oui alhamdoulilah et vous ?
- Pareille aussi alhamdoulilah. Nous allons bien ! Repondis-je.
Une fois à l'intérieur, Hussein prit son tapis et s'en va rejoindre les hommes tandis que moi je rejoignis le rang des femmes.
À la fin de la priére, nous rentrions aussitot, Hussein s'en va prendre son bain tandis que je lui prépare son petit déj.
Le petit-déjeuner était tout le temps le moment où il arrêtait d'être fâcher contre moi.
Je faisais toujours en sorte de me faire pardonner puis de le mettre dans une meilleure ambiance avant qu'il n'aille au bureau.
Ensuite je lui prépare son thé que je mis dans son cafetiére et du jus d'orange frais et naturel comme il aime.
- Tu as fini ?
- Oui ma cherie. Les 10.000f pour la dépense sont juste là sur la commode.
- Daccord. Mon ange, quand est-ce que je pourrais terminer mon 3eme année ? Les inscriptions ont debutés tu sais.
- Aisha, on en parlera plus tard !
- Tu m'avais promis que dés que tu seras stable, je vais terminer ma licence en sage femme d'état !
- J'ai dit on en reparlera plus tard !
- Mais...
- Tu entends pas ?
- Daccord. Dis-je simplement en secouant la tête.
Il sourit au coin.
Je pense que Hussein trouvais un malin plaisir à me rabaisser ou à me montrer sa supériorité ! Il aimait ça ! Ça lui faisait sentir sa position ''dominant'' depuis que le luxe s'est accroupis devant lui.
J'ai l'impression que l'argent lui ait monté a la tête et en a fait quelqu'un d'autre que celui que j'ai épousé !
Qu'est-ce qu'il avait changé ! Et telle une idiote, je le regardais changer chaque jour un peu plus sans que je ne puisse y faire quelque chose. J'essaie tout le temps d'aborder le sujet mais il ne me prends jamais au serieux, soit disant que j'aimais trop les details !
La vie est tellement imprévisible.
- À quoi tu penses ? C'est quoi ce sourire incrédule ? Questionna t'il.
- Euh à rien mon ange ! Tout va bien si Dieu le veut.
Je pris son sac à main, et la boite où je lui ai mis son café et son jus.
- Allons-y ! Lui dis-je.
Il passa sa main sur mon épaule et nous nous dirigeons vers la sortie.
Je l'accompagnai jusque dans sa voiture.
Aprés lui avoir tendu ses bagages, il me remercia chaleureusement et me fit un enorme calin pour finir par deposer un baiser sur mon front.
- Je t'aime Aisha ! Me prends t'il la main.
- Je t'aime aussi Hussein ! Souris-je. Bon allé file, je te raménes comme d'habitude ton repas , à l'heure de ta pause !
- Bébé te fatigues pas, tu en fais trop. Donnes au chauffeur et il me l'emmeneras.
- Hors de question ! À plus tard in sha Allah.
- In sha Allah ! Souria t'il au coin.
Il entra dans sa voiture puis démarre aprés qu'on se soit fait un signe de main.
Une fois à l'interieur de mon appart, la premiere chose que je fis c'est de soupirer !
Bella est une jeune fille née dans le village le plus pauvre du Sénégal mais lorsqu'elle se retrouve propulser en ville pour espérer sortir de la misère, ce qui l'attend à l'arrivé n'est pas forcément mieux que son point de départ.
Il disait dans les règles de l'art ! Elle disait dans les règles d'Allah ! Mais que disait leur destin en commun ?
Il est difficile de passer d'une fille égarée et bercée par la jeunesse à une fille voilée et cherchant à devenir meilleure. Il est tout aussi difficile de passer d'une fille de boîte de nuit à une fille de mosquée. Mais ne dit-on pas qu'à côté de la difficulté se trouve certes une facilité ?
Peut-on vivre sans avoir aucun contrôle sur son existence ? Peut on vivre sans savoir si oui ou non on a un avenir ? Peut on vivre en redoutant constamment les coups du soir ? Peut on vivre en sachant qu'un jour ou l'autre on mourra sous les coups de notre tuteur ? Peut on vivre en sachant que nous sommes vulnérables à tout sortes de dangers et confrontés à toutes sortes de maladies ? Qu'en est il de nous lorsqu'en grandissant nous sommes délaisser à notre propre sort ? Qu'en est il de nous lorsque l'on ne trouve aucun soutien quand notre monde s'écoule ? Qu'en est-il de toutes ces fois où sous le chaud soleil, nous marchons pieds nus pour mendier ? Qu'en est-il lorsque l'on nous chasse comme des animaux ? Est-ce des comportements de méchanceté ou de méfiance ? Tels sont les questions que moi Karim je me pose et dont je ne trouve malheureusement aucune réponse.
Diarra et Anta sont des sœurs de cœurs communément appelé des '' meilleures amies. " Elles se connaissaient depuis l'époque des bacs à sable et elles étaient carrément très inséparables. Pas l'une sans l'autre et pas l'autre sans l'une. Cependant elles avaient un atout en commun ''la séduction'', se jouer des hommes, prendre leur argent et se tirer des lieux comme si de rien était. Elles aimait particulièrement une chose : l'argent et le luxe. Elles ne sortaient qu'avec des hommes friqués et si l'homme en question était pauvre, il y a pas moyen qu'il ait une quelconque relation. Néanmoins Diarra était largement plus belle que sa meilleure amie. Elle attirait beaucoup plus d'hommes que sa coéquipière de séduction, comme elle le disait si bien. Ainsi donc, au fil du temps, Anta développa malgré elle une très grande jalousie envers celle ci mais bien évidemment Diarra ne s'en doutait point. Comment sa sœur de cœur pouvait t'elle être jalouse d'elle ? C'est carrément impossible et même impensable. Quand elle voyait certains comportements de Anta, elle se disait qu'elle était peut-être jalouse mais aussitôt elle s'en voulait de penser à une chose aussi ignoble de son amie d'enfance.
Chassée de chez elle par son père après le divorce de ses parents, Juliette Durand accepte un marché risqué pour sauver son frère malade : passer une nuit avec Alexandre Lefèvre , l'homme le plus puissant de la ville. Cinq ans plus tard, elle revient avec ses jumeaux, prête à récupérer ce qui lui appartient. Mais tout bascule lorsqu'elle croise de nouveau Alexandre et il lui lance : - Pourquoi ton fils est-il mon portrait craché ?
Être la deuxième meilleure, c'est pratiquement inscrit dans mes gènes. Ma sœur recevait l'amour, l'attention, les feux des projecteurs. Et maintenant, même son foutu fiancé. Techniquement, Rhys Granger était maintenant mon fiancé : milliardaire, d'une beauté renversante, et un rêve ambulant de Wall Street. Mes parents m'ont poussée dans cet engagement après la disparition de Catherine, et honnêtement ? Ça ne me dérangeait pas. J'avais craqué sur Rhys depuis des années. C'était ma chance, non ? Mon tour d'être celle que l'on choisit ? Faux. Un soir, il m'a giflée. À cause d'une tasse. Une stupide, ébréchée et moche tasse que ma sœur lui avait offerte des années auparavant. C'est à ce moment-là que j'ai compris : il ne m'aimait pas. Il ne me voyait même pas. Je n'étais qu'un substitut à peine chaleureux pour la femme qu'il désirait réellement. Et apparemment, je ne valais même pas une simple tasse à café glorifiée. Alors je l'ai giflé en retour, largué sur-le-champ, et préparé la catastrophe : mes parents perdant la tête, Rhys piquant une crise de milliardaire, sa famille effrayante complotant ma perte prématurée. Évidemment, j'avais besoin d'alcool. Beaucoup d'alcool. C'est là qu'il est apparu. Grand, dangereux, injustement séduisant. Le genre d'homme qui vous donne envie de succomber rien qu'en existant. Je ne l'avais rencontré qu'une seule fois auparavant, et ce soir-là, il se trouvait justement au même bar que moi, en pleine autosatisfaction alcoolisée. Alors j'ai fait la seule chose logique : je l'ai traîné dans une chambre d'hôtel et arraché ses vêtements. C'était irréfléchi. C'était stupide. C'était complètement déconseillé. Mais c'était aussi : le meilleur sexe de ma vie. Et, il s'est avéré que c'était la meilleure décision que j'aie jamais prise. Parce que mon aventure d'un soir n'est pas qu'un type quelconque. Il est plus riche que Rhys, plus puissant que toute ma famille, et assurément plus dangereux qu'avec qui je devrais m'amuser. Et maintenant, il ne compte pas me laisser partir.
On n'avait jamais souhaité sa venue. Depuis toujours, Lola portait le poids d'une existence refusée, subissant les sarcasmes et les regards chargés de dédain. Dans sa maison d'enfance, les mots les plus cruels coulaient comme un poison familier : on lui prédisait qu'aucun homme digne ne voudrait d'elle, qu'elle ne mériterait jamais qu'un époux perdu ou sans honneur. Les années passèrent, et Lola devint une femme au regard calme mais aux cicatrices invisibles. Un jour, elle revint dans la demeure de son passé, non pas pour y chercher l'affection qu'on lui avait refusée, mais pour en finir avec les chaînes du sang. Elle voulait tourner la page, définitivement. Pourtant, à peine avait-elle franchi le seuil qu'une scène inattendue la désarma : deux petits êtres se jetèrent contre ses jambes, leurs bras serrés autour d'elle. - Maman, ne pars pas, laisse-nous devenir tes enfants ! Le second, les yeux humides, ajouta d'une voix tremblante : - Maman, papa pleure sans toi... Il dit qu'il veut un autre bébé avec toi ! Tout autour, les visages qui jadis s'étaient réjouis de ses larmes demeuraient figés, confus, incapables de comprendre ce qui se jouait sous leurs yeux. Et c'est alors qu'une voix grave s'éleva, imposant silence à tous : - Mon épouse, je vous en supplie... rentrez à la maison. Celui qui parlait n'était autre que l'homme le plus puissant du pays, celui dont la seule présence faisait taire les rumeurs. Et, pour la première fois, le nom de Lola fut prononcé non plus avec honte, mais avec respect.
Rocky Bai, un chercheur jeune et talentueux dans le domaine de l'étude des gènes est classé en tête parmi ses pairs. Alors qu'il était à bord du vol en direction du lieu, un accident d'avion s'est produit juste avant qu'il s’évanouisse. ... Rocky Bai s'est réincarné ! Il sauve un dragon et l'entraîne dans le Saint Empire Dragon. À sa grande surprise, son dragon peut guérir les maladies et même ressusciter des hommes. Accompagné par le dragon, Rocky commence une nouvelle vie. Il n'est plus un bon à rien, mais un maître des arts martiaux ambitieux et un manipulateur d'esprit de sa génération. Rejoignons leur aventure !
Vespérine vit dans l'ombre, composant secrètement les plus grands succès de la pop star Sereine sous le pseudonyme d'Iris. Mariée à Julien D'Argent, elle pense avoir trouvé un refuge, ignorant que son talent est pillé et son identité effacée par l'homme qu'elle aime. Tout bascule lorsqu'elle découvre que son mariage n'était qu'une manœuvre cruelle de Julien pour la distraire pendant qu'il dépouillait l'entreprise de ses parents. Elle réalise avec horreur qu'il la trompe avec Sereine et qu'il a orchestré la ruine de sa famille pour s'emparer de leur héritage. Chassée de son propre foyer et privée de ses comptes bancaires, Vespérine devient la cible d'une campagne de haine mondiale lancée par Sereine. Accusée d'extorsion et traquée par les paparazzis, elle se retrouve seule dans un motel miteux, tandis que Julien utilise la mort tragique de ses parents pour tenter de l'emprisonner à nouveau. Elle ne comprend pas comment l'homme en qui elle avait placé toute sa confiance a pu transformer sa vie en un tel enfer. Pourquoi l'avoir piégée dans cette union mensongère alors qu'il préparait déjà sa chute et le vol de son identité artistique ? Prête à tout pour obtenir justice, elle s'allie avec Damien, le frère ténébreux et redouté de Julien. En découvrant le secret médical de cet homme puissant, elle décide de devenir son unique remède : Iris va enfin révéler son vrai visage pour détruire l'empire de ceux qui ont volé sa voix et sa vie.
Le jour de leur anniversaire de mariage, la maîtresse de Joshua a drogué Alicia qui s'est retrouvée dans le lit d'un inconnu. Du jour au lendemain, Alicia a perdu sa virginité et la maîtresse de Joshua est tombée enceinte de lui. Le cœur brisé et humilié, Alicia a demandé le divorce, mais Joshua ne l'a pas pris au sérieux. Lorsqu'ils ont fini par se séparer, Alicia est devenue une artiste célèbre, recherchée et admirée de tous. Joshua, pris de remords, est arrivé sur le pas de sa porte dans l'espoir de se réconcilier avec elle, mais il l'a trouvée dans les bras d'un puissant magnat, son frère, qui lui a dit : « C'est ma femme. »
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