L'esclave du roi
Il était une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana...
Jusqu'au jour où le roi de Mombana est décédé et un nouveau monarque a pris la relève, le prince Cone.
Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir après son couronnement, il a alors décidé d'attaquer Salem.
L'attaque était si inattendue que Salem ne s'y est jamais préparé. Ils ont été pris au dépourvu. Le roi et la reine ont été tués, le prince héritier a été réduit en esclavage.
Les habitants de Salem qui ont survécu à la guerre ont également été réduits en esclavage, les terres leur ont été enlevées et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu.
Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage était rempli de rage.
Lucien, le prince de Salem, jura de se venger.
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Dix ans plus tard, Lucien, à l'âge de trente ans, a organisé un coup d'État et a échappé à l'esclavage.
Ils se sont cachés pour récupérer. Ils s'entraînaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrépide et froid qui était motivé par son aspiration de récupérer les terres de ses ancêtres et de s'approprier le territoire de Mombana.
Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tué le prince Cone et ont récupéré tout ce qui leur revenait de droit.
Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posés sur la fière princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone.
Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la première fois.
Il marcha jusqu'à la princesse avec la chaîne d'esclave qu'il avait portée pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou.
Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid.
« Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriété. Je te paierai à la pelle, tout ce que toi et ton père avez fait à moi et à mon peuple », déclara-t-il sèchement.
La haine pure, la froideur et la victoire étaient la seule émotion sur son visage.