« Si je devais résumer ma vie, je dirais qu'à la seconde même où il me fut permis de le distinguer autour de moi sans la moindre confusion, je tombais amoureuse de mon environnement. » Biographie de l'auteur Samie Louve a consacré une grande partie de sa vie à l'écriture poétique en observant la nature qu'elle décrit, celle humaine aussi. Elle tente de venir en aide à autrui pour qu'il puisse raconter sa vie, l'accompagnant au mieux dans le prolongement de celle-ci afin qu'il laisse une trace aux siens, proches ou amis.
Il est un bout de ciel qui n'appartient qu'à moi...
C'est celui que je caresse en pensant à toi, Catherine-Pascale
Ma fille chérie.
La danse reste la même chez les papillons, bien des années après.
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Le souvenir me porte et me transporte bien souvent au-delà de mes rêves, il s'attache à me faire vivre cette réalité d'un passé que je voudrais toujours présent tant il est ancré en moi. Cette fabuleuse mémoire dans laquelle je me complais outrepasse ses droits jusqu'à l'inoubliable. Esclave de ses joies mais aussi de ses peines, je ne peux que la vivre pour en être soulagée. Cependant, qu'elle soit fantasme, chimère ou quelconques songes illusoires, elle me permet de revivre cette partie de ma jeunesse entourée de la tendresse des miens. De fredaines en frasques et de passades en passions, de rires qui me firent pleurer aux larmes dont quelquefois je ris aujourd'hui, je ne peux oublier. Des coups tellement bas qu'ils me tannèrent le cuir à cette exaltation si souvent incomprise que j'en garde les traces, j'en rêve trop souvent. Au-delà de ces réminiscences et du plus loin que je me souvienne, je garde en moi cette faculté de puiser dans mes réserves les quelques aptitudes qui me furent offertes bien malgré moi. Pour cela, je sais depuis toujours vers qui va ma reconnaissance car cette force, résignée quelques fois, s'obstine encore souvent et pour mon plus grand bien grâce à mes grands-parents maternels prenant sous leurs ailes bienveillantes, de ma naissance à mes huit ans, l'oisillon tombé du nid que j'étais après la mort de ma maman.
Et me voilà, de longues années plus tard, plongée dans mes souvenirs, à les revivre pour les décrire. Il est vrai qu'il s'en est passé du temps quand l'essentiel est là, profondément ancré en moi. Je chemine durant ce qui me semble être une éternité, croyant avoir oublié, et pourtant ! Soixante et onze ans ont sonné à ma porte et il me semble qu'hier est là, au bout de mes doigts, que je l'effleure, que je le touche sans jamais l'avoir quitté. Si l'on m'avait dit qu'un jour je retiendrais tout cela dans mon petit cerveau, ma cervelle de moineau comme disait mon cher grand-père, mon pépico aujourd'hui disparu ! Je souris encore en pensant à lui. Ce merveilleux bonhomme à qui je dois tant ! Lui qui m'a tout appris de ses silences auxquels j'adhérais, le mimant, son regard au loin, si loin que l'on ne pouvait s'imaginer où se posaient ses pensées. Tous deux, nous ne faisions qu'un dans ces moments de profonde réflexion que je n'osais interrompre, l'observant avec tendresse. Ces instants me semblaient divins. À mes yeux de gosse, mon grand-père me faisait l'effet d'un grand sage et je crois bien qu'il l'était, ne laissant rien paraître, pas le moindre regret ni la plus petite colère, son sourire enfoui tout au fond de son regard malgré son air renfrogné. J'avais pris de lui les yeux bleus, les yeux des rêves où chacun aime se promener afin d'y puiser toute la tendresse du monde. Je n'étais qu'une petite fille et déjà auprès de ces deux êtres qu'étaient mes grands-parents maternels, je sentais l'amour ruisseler sur moi depuis la perte de celle que je ne connaîtrai jamais : ma mère. Dans la famille, tous l'appelaient Poupée. Ma mère, trop tôt disparue ce 17 janvier 1948, à peine quelques jours avant que nous fêtions le premier anniversaire de ma venue au monde, ce 27 janvier 1948. Poupée avait seulement 24 ans.
C'est vrai qu'il s'en est passé des choses depuis, depuis ce fameux jour où je crus que l'on m'arrachait, l'une après l'autre, des entrailles du corps, ce jour où il fallut quitter le pays où nous étions nés, tout ce qui m'était cher ! Notre terre si particulière, si douce à nos cœurs et sur laquelle nous vivions depuis des générations. Cette boule pesante sur mon estomac, elle est souvent là, elle se manifeste lorsque je croise des Arabes venus se réfugier eux aussi dans notre beau pays, la France. Je la sens alors qu'en famille nous nous remémorons les souvenirs avec cet accent bien de chez nous, chantant comme les cigales en été au milieu des champs de blé, en riant parfois jusqu'aux larmes sur les vieilles photos à présent jaunies, ramenées de là-bas dans nos minces bagages. Oui, le souvenir m'appelle, il a posé sur moi ses douces ailes comme celles des papillons cherchant le fruit sur la plaine jaunie sous un soleil de plomb. Et bien que quelques années aient grignoté ma vie, je me souviens comme si c'était hier, chaque instant si infime soit-il, de ce que tous ces êtres m'ont apporté de chaleur et de tendresse sur mon chemin de l'enfance. Cela allait me permettre de traverser le temps sereinement, du moins quelques années durant !
Nous étions donc installés Marie, mon père et moi à Montpellier, au quatrième étage d'un vieil immeuble rénové à la hâte dans la rue de la Valfère. Les escaliers en colimaçon comme le reste de l'immeuble étaient très anciens, si étroits qu'en les grimpant nous nous appuyions sur le mur effrité de la colonne centrale sur lesquels ils étaient bâtis. Cela sentait le moisi à peine entrés dans l'immeuble au point que cela nous soulevait le cœur, surtout à Marie et moi qui pestions quand mon paternel, lui, ne sourcillait guère, ne disant mot. Toutes les marches de cet escalier étaient âgées, si usées qu'elles étaient lisses en leur milieu sans la moindre arête sur leurs bordures. Bien des pieds avaient dû l'emprunter, pensais-je souvent en imaginant l'ancien temps. Marie qui portait bien son âge avait pris un coup de vieux depuis notre départ du Maroc et en grimpant les quatre étages des escaliers, difficiles à monter, elle n'en finissait plus de souffler au point que des haltes étaient nécessaires afin de reprendre son souffle. Je suis sûre au fond qu'elle regrettait d'avoir loué cet appartement mais comme à son habitude, elle ne se plaignait pas. Arrivées dans ce que je ne cesserai de nommer un taudis, nous avions droit à la roucoulade des pigeons rassemblés sur le toit. Ils paraissaient heureux de nous voir, du moins c'est ce que j'imaginais. J'aimais les observer d'autant qu'ils ne montraient aucune crainte à mon approche. Ces pigeons auprès desquels je passais du bon temps me rappelaient la ferme au Tlélat. Durant leurs envolées, je les accompagnais du regard, les voir voler au-dessus de moi me donnait de l'espoir. Je prenais d'eux chaque geste, chaque caquetage, ne me lassant pas de leur bavardage, leur enviant leur liberté. Je n'avais pas fini de me souvenir, en leur compagnie, de mon pays perdu, mon enfance, ma vie là-bas et lorsqu'ils revenaient sur le toit, je ne manquais pas de leur lancer des morceaux de pain rassis chipés à Marie avant qu'elle les utilise pour en faire du pain perdu.
Au Caire, Hisham a fait une brillante carrière professionnelle et jouit d'une certaine aisance financière. Il semble très amoureux de la belle Dinah, une jeune chanteuse égyptienne à la voix sensuelle et au sourire prometteur. Pourtant, Hisham porte en lui une blessure secrète qui ne cicatrise pas. Quand éclatera la crise au Moyen-Orient et que le martèlement des bottes américaines se fera plus menaçant, il n'hésitera pas à s'engager aux côtés des Irakiens. Dans le désert saoudien, il constatera avec amertume la décomposition d'un monde arabe qui longtemps a caché ses haines et ses divisions derrière une unité de façade. Pour Hisham, la Guerre du Golfe marquera la fin d'une belle utopie.
Le recul du bélier est une oeuvre portée par des acteurs qui refusent le délitement de leur société. Convaincus que l'homme est le premier fossoyeur de la nature, de son environnement, ils se battent pour ne pas laisser un monde irrespirable aux futures générations. Le rapport à l'argent, le rapport à son environnement, la place de la femme et du plus faible sont les principaux moteurs de leurs combats. Issus de pays dont les sols et sous-sols regorgent de toutes les ressources vitales pour l'humanité, ils n'acceptent pas que les fils et filles issus de ces terres n'aient pas le minimum pour une vie décente. Ils se lancent alors, au péril de leur vie, à la quête d'un savoir susceptible de les hisser au niveau des leviers de commande de leur pays. Ce savoir acquis sera-t-il suffisant pour faire face à des monstres qui mettent à mal les leurs ?
Dakota, Tyler, Keyla et Max sont meilleurs amis depuis l'enfance. Ils décident de partir à Tahiti, le paradis à l'eau turquoise. Tout va pour le mieux, les paysages magnifiques, l'océan, le début d'une histoire d'amour. Soudain, cauchemar, ils se retrouvent plongés dans une forêt hostile pleine de danger et de mystères. Comment sont-ils arrivés là ?
À bord du gigantesque vaisseau spatial Exo10, Wayan, 18 ans, recherche son passé. Après l'accident qui a coûté la vie à ses parents et l'a laissé amnésique, il a été confié par les autorités à des tuteurs : Neige et Ming. Malgré ses nombreuses questions pour retrouver ses souvenirs, il n'a jamais obtenu satisfaction, d'où sa décision de trouver lui-même les réponses, et ce, en secret. Aidé de sa grande complice, Nephtys, et de leurs amis, Wayan se lance dans une quête parsemée d'embûches, ignorant que celle-ci va changer le destin des Exodiens, et surtout le sien.
À la suite des évènements du premier tome, Argus a disparu. Cependant, les Gardiens subissent une menace née des actions passées. Katan, nommé Émissaire du Conseil, doit s’impliquer corps et âme dans la bataille afin éviter que l’ordre des Gardiens ne s’effondre à tout jamais. Quant à Jason, jeune Gardien, il aura l’occasion d’en apprendre davantage sur l’histoire de son père, et les conséquences de ses choix moraux. Les heures sont comptées pour les Gardiens, et leurs vies ne tiennent qu’à Morl-Dérin.
Cécile est très amoureuse d’Hisham. Leur relation dure depuis deux ans. Cécile a proposé à ce dernier une escapade d’une dizaine de jours à Naples. En Italie, le ciel est toujours bleu. Les rayons d’un soleil jeune et éclatant offrent des ombres et des lumières qui se combinent avec une mer capricieuse qui ondule sous la brise et déroule ses flots bleus. Hisham est sensible au charme des belles Napolitaines, à leur maintien fier et assuré, à leur sourire caressant et prometteur. Il aspire à une vie nouvelle, mais avec les femmes, il se montre souvent indécis et hésitant. Dans le couple qu’il forme avec Cécile, apparaissent déjà les premières fêlures. Hisham est rattrapé par une ancienne nostalgie. L’évocation d’Andromaque entretient un étrange souvenir. Celui d’une femme aux yeux verts, belle et mystérieuse...
[Bébé mignon + Identité secrète + Héros et héroïne puissants]. Caroline a aimé Damian de tout son cœur pendant cinq ans. Elle s'est dévouée à lui et a vécu humblement pour lui. Quand leur relation a rencontré des crises, elle a espéré que sa grossesse allait asseoir leur mariage, mais ce qu'elle a obtenu en retour n'était qu'un accord de divorce. Et pour couronner le tout, alors qu'elle était sur le point d'accoucher, elle s'est fait la cible d'un coup monté et sa vie a été mise en danger. Après avoir survécu à une expérience aussi éprouvante, elle était déterminée à couper les ponts avec cet homme. Cinq ans plus tard, elle est revenue la tête haute, à la tête d'une entreprise renommée. Ceux qui avaient l'habitude de l'intimider ont maintenant goûté à leur propre médecine. Et la vérité sur le passé a peu à peu refait surface... Ebloui par la confiance retrouvée de Caroline, son ex-mari a voulu se remettre avec elle, mais elle a fermé les yeux sur ses avances. Damian a désespérément supplié : « Chérie, notre bébé a besoin de ses deux parents. S'il te plaît, remarie-toi avec moi ! »
Après trois années de mariage secret, Eliana n'a jamais rencontré son énigmatique mari jusqu'à ce qu'elle reçoive les papiers du divorce et qu'elle apprenne qu'il poursuit une autre femme de façon extravagante. Elle a repris ses esprits et a obtenu le divorce. Par la suite, Eliana a dévoilé ses différentes identités : femme médecin réputée, agente secrète légendaire, pirate informatique hors pair, designer célèbre, pilote de course et scientifique distinguée. Au fur et à mesure que ses divers talents sont connus, son ex-mari a été pris de remords. Il lui a demandé désespérément : « Eliana, donne-moi une autre chance ! Tous mes biens, même ma vie, sont à toi. »
Rhonda était une fille amoureuse jusqu'à l'excès. Après que son petit ami de plusieurs années ait perdu son emploi, elle n'a pas hésité à le soutenir financièrement. Elle le gâtait même, pour qu'il ne se sente pas déprimé. Et qu'est-ce qu'il a fait pour la remercier ? Il a trompé Rhonda avec la meilleure amie de celle-ci ! Rhonda était tellement dévastée. Pour faire payer à son ex trompeur, elle a saisi l'opportunité de se marier avec un homme qu'elle n'avait jamais rencontré. Eliam, son mari, était un homme traditionnel. Il lui a dit qu'il serait responsable de toutes les factures à la maison et qu'elle n'aurait pas à lever le petit doigt. Rhonda s'est moquée de lui, concluant qu'il était l'un de ces hommes qui aiment se vanter de leur capacité. Elle pensait que sa vie de couple serait un enfer. Au contraire, Eliam s'est avéré être un mari attentionné, compréhensif et un peu collant même. Il l'a encouragée à gravir les échelons de sa carrière. De plus, il l'a aidée avec les tâches ménagères et lui a donné les mains libres pour décorer leur maison. Il n'a pas fallu longtemps avant qu'ils ne commencent à se soutenir l'un l'autre comme une vraie équipe. Eliam savait résoudre les problèmes de vie. Il n'a jamais manqué de venir en aide à Rhonda chaque fois qu'elle était dans une impasse. À première vue, il semblait être un homme ordinaire, alors Rhonda ne pouvait s'empêcher de lui demander comment il était capable de faire tant de choses difficiles. Mais Eliam a toujours réussi à esquiver cette question. En un clin d'œil, Rhonda a atteint le sommet de sa carrière grâce à l'aide de son mari. La vie était belle pour eux jusqu'à un jour. Rhonda est tombée sur un magazine d'affaires mondial. L'homme sur la couverture ressemblait exactement à son mari ! Qu'est-ce que c'était que ça ! Étaient-ils des jumeaux ? Ou cachait-il un grand secret à elle tout ce temps ?
Kalinda Mon cœur est comme du verre cristallin très fragile. Il se briserait à rien. Non. Je corrige! Il a déjà été brisé. Piétiné encore et encore par mes parents adoptifs et ma sœur cadette. Aussitôt que cette naissance miraculeuse est survenue dans la famille, de ma petite sœur adorée... Je n'étais plus la saveur du jour. Je n'avais plus le moindre intérêt. Papa! Maman! Pourquoi m'avoir adoptée, si c'était pour m'abandonner, de même que l'avaient fait mes parents biologiques avant vous? Je ne comprends pas! Je ne peux me battre. Je ne peux me défendre. Je ne dois même jamais m'agiter... plus que de raison! C'est ce que me disent mes parents adoptifs depuis toute petite! Parce que mon cœur est fragile. Eh oui, vous l'avez bien compris! En plus d'être si durement traitée depuis l'enfance... Je suis aussi atteinte d'une maladie chronique. Je ne peux en aucun cas m'agiter... ce qui risquerait d'aggraver ma situation. Je me suis donc enfermé dans le silence. Dans un parfait anonymat, acceptant la défaite contre ma sœur cadette encore et encore... Acceptant l'éloignement constant de mes parents, petit à petit... jusqu'à être reniée et chassée de ma propre maison! Acceptant l'abandon et le rejet si cruel de tous les gens qui m'étaient si proches! Acceptant aussi tous mes rêves brisés. Mais c'était avant qu'il entre dans ma vie... lui... cet homme qu'on dit pourtant si dur et si cruel avec le sexe faible! Lui dont les femmes disent à Orlando qu'il a un cœur de glace! Il est devenu ma rédemption. Mon jardin secret. Ma fragile espérance. Ma vie peut-elle vraiment changer? Le soleil peut-il entrer dans ma demeure? C'est le rêve très vivide que William Fairsight tente de me vendre quand je le trouve à mon chevet à mon réveil, dans cette chambre d'hôpital si froide et impersonnelle, et qu'il affirme que ma maladie n'est pas du tout incurable tel qu'on me l'avait laissé croire jusqu'ici. William Fairsight m'a redonné vie. Comment pourrais-je lui témoigner mon éternelle reconnaissance? «Épousez-moi!» ordonne-t-il d'une voix qui est sans appel. «Ma vie vous appartient.» lui dis-je alors, d'un seul souffle. Il est mon sauveur, mon libérateur. Même s'il désirait m'infliger les pires tortures imaginables, tout cela pour son plaisir personnel, je l'accepterais sans hésiter! Mais William Fairsight est-il vraiment ce sadique empli de cruauté que toutes ces femmes décrivent? Petit à petit j'apprends à découvrir que derrière cette façade très cruelle, se cache en fait un homme très tendre!
Falcon, un homme d'affaires millionnaire de 32 ans, acquiert une nouvelle entreprise au point de rupture sans imaginer qu'il y a une femme qui lui a préparé son destin et bien qu'il rejette l'idée dans un premier temps, il finira par être déterminé à le faire sien. Mais il y a deux problèmes. Premièrement : il est un alpha et il est fiancé. Deuxièmement : elle est également fiancée et non un oméga avec qui créer des liens. Dans un monde où les alphas font la loi, les omégas n'ont d'autre choix que d'obéir. Deux histoires d'amour et d'érotisme dans un même livre où rien n'est ce qu'il paraît. Deux hommes, deux femmes et une tempête de sentiments
Loraine était une épouse dévouée à son mari Marco depuis qu'ils se sont mariés il y a trois ans. Cependant, il la traitait comme une moins que rien. Rien de ce qu'elle faisait n'adoucissait son cœur. Un jour, Loraine en a eu marre de tout ça. Elle lui a demandé le divorce et l'a laissé s'amuser avec sa maîtresse. Les autres l'ont regardée comme si elle était folle. « Tu as perdu la tête ? Pourquoi es-tu si désireuse de divorcer ? » « C'est parce que je dois retourner chez moi pour obtenir une fortune d'un milliard de dollars. En plus, je ne l'aime plus », a répondu Loraine avec un sourire. Ils se sont tous moqués d'elle. Certains pensaient que le divorce l'avait affectée mentalement. Ce n'est que le lendemain qu'ils ont compris qu'elle ne mentait pas. Une femme a soudainement été déclarée la plus jeune femme milliardaire du monde. Il s'agissait de Loraine ! Marco a été choqué jusqu'à l'os. Quand il a rencontré son ex-femme à nouveau, elle était une personne différente. Un groupe de beaux jeunes hommes l'entourait. Elle leur souriait à tous. Cette vue a fait mal au coeur de Marco. Mettant sa fierté de côté, il a essayé de la reconquérir. « Bonjour, mon amour. Je vois que tu es une milliardaire maintenant. Tu ne devrais pas être avec des idiots qui veulent juste ton argent. Peut-être on peut se remettre ensemble ? Je suis aussi milliardaire. Ensemble, nous pouvons construire un empire solide. Qu'est-ce que tu en dis ? » Loraine a louché sur son ex-mari, les lèvres retroussées par le dégoût.