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Richy et Merveillia, la fille de son patron, ont entamé une relation amoureuse, ce que le père de cette dernière n'a pas approuvé. Il décide alors de compliquer la vie de Richy.
Richy et Merveillia, la fille de son patron, ont entamé une relation amoureuse, ce que le père de cette dernière n'a pas approuvé. Il décide alors de compliquer la vie de Richy.
Je me présente en tant que Richy Mousse, un jeune homme de 23 ans, l'unique rejeton de mes géniteurs. Ma mère et mon père représentent ma seule source d'inspiration. En dépit de leur modeste condition, ils m'ont prodigué un soutien indéfectible jusqu'à l'obtention de ma licence. Je suis le fruit de plus d'une décennie d'attente, et désormais, en cette période délicate qui entrave notre épanouissement, je me trouve être le gardien exclusif de leur bien-être.
Mon père, suite à la perte de son emploi, a trouvé refuge dans une modeste occupation génératrice de maigres revenus. Quant à ma mère, elle s'enlise dans les préoccupations depuis que son petit commerce ne prospère plus. L'impératif qui m'incombe est de subvenir à leurs besoins, une charge qui s'avère plus prégnante que jamais.
Ils nourrissent l'espoir que je complète un cursus de master avant d'entamer ma quête professionnelle. Toutefois, ils ignorent que ma licence et mon acuité intellectuelle me permettraient de décrocher une position enviable pour assurer leur bien-être. Malgré les épreuves que je traverse, l'idée d'une relation amoureuse n'a jamais effleuré mon esprit.
Dès l'instant où j'ai obtenu ma licence en marketing et gestion, j'ai commencé à soumettre des candidatures auprès de certaines entreprises. Alors que je croyais endurer le summum de mes tourments, le véritable calvaire a débuté le jour où mes yeux se sont posés sur Merveillia, la ravissante fille de mon employeur. Elle rayonnait d'une beauté envoûtante et déployait une détermination impressionnante dans son travail au sein de l'entreprise paternelle. C'est ainsi que notre histoire d'amour a pris son envol.
Malheureusement, le père de Merveillia, également mon supérieur hiérarchique, a catégoriquement désapprouvé cette relation, donnant ainsi le coup d'envoi à une série de problèmes. Par ironie du sort, ce que je croyais être une démarche visant à alléger les souffrances de mes parents s'est mué en la source même de leurs tourments.
Ce jour-là, j'étais chez moi, tandis que ma mère s'attelait à écraser le piment, ajoutant ainsi une saveur exquise à la pâte qu'elle avait soigneusement préparée. Mon attention était entièrement captivée par mon téléphone portable, espérant recevoir un appel des entreprises où j'avais soumis mes demandes d'emploi.
Lorsque ma mère m'a apporté le repas, saturé de délicatesse, j'ai manifesté le désir de me laver les mains afin de savourer pleinement ce festin. C'est alors que mon téléphone a commencé à résonner...
D'un pas hâtif, je me suis dirigé vers mon téléphone. À ma grande surprise, c'était un numéro inconnu. J'ai décroché, découvrant qu'il s'agissait d'une des entreprises qui avait retenu mon attention. La voix au bout du fil m'a convié à me présenter dès le lendemain.
La nouvelle m'a rempli d'une joie profonde, ignorant encore si j'allais être sélectionné. La nuit qui a suivi, mes paupières n'ont pas connu le repos, l'impatience me poussant à attendre avec fébrilité l'aube, perçue comme une lueur d'espoir.
Le lendemain...
Dès l'aube, j'étais déjà paré pour me rendre au lieu du rendez-vous. Avant de prendre la route, ma mère avait formulé des prières empreintes d'une dévotion sincère. Éclatante de bonté, ma mère incarne l'essence même de tout ce qui compte pour moi, la seule femme présente en ces moments cruciaux.
Après avoir été enveloppé dans l'étreinte apaisante des prières maternelles, j'avais décidé de m'engager résolument sur la route, optant pour une marche à pied vers ma destination. Au moment de quitter le foyer, ma mère m'interpella.
Je me retournai pour accueillir ses paroles. Face à elle, elle me remit deux pièces de 100 francs. Bien que réticent à les accepter, elle persista avec une douceur inébranlable, et je fus contraint d'acquiescer.
Je cheminais jusqu'à un point où l'option d'un taxi moto se profilait avec les deux cents francs que ma mère avait généreusement offerts. Toutefois, après une rapide consultation de mon portable, constatant qu'il restait amplement de temps et conscient de la situation financière de mes parents, je décidai, par respect, de parcourir le reste du trajet à pied.
Devant l'alternative du confort motorisé, mes pas déterminés gravirent la distance qui me séparait de l'entreprise. Malgré la sueur perle à mon front, le soulagement fut de trouver un torchon à portée, un allié providentiel pour me débarrasser des marques de mon effort.
Enfin parvenu devant l'entreprise, je pénétrai, marquant mon entrée par la porte de l'accueil, en quête du directeur général, symbole d'une nouvelle étape dans cette journée empreinte de détermination.
Après une série de questions posées avec élégance par la dame à l'accueil, elle fit un geste discret en direction de la secrétaire, qui à son tour, m'invita. Ayant reçu l'instruction de me laisser monter la rejoindre, la dame à l'accueil me guida à travers un couloir où je découvris l'ascenseur. Avant même qu'elle ne termine sa phrase, j'ai interrompu poliment, lui demandant aimablement de m'accompagner.
Sans exagération, je n'avais jamais emprunté un ascenseur de ma vie, réservant cette expérience aux seules scènes cinématographiques. Prendre l'ascenseur seul pour la première fois m'était inconcevable.
La dame a dû solliciter l'assistance d'un agent de sécurité pour qu'il m'accompagne. Enfin à l'intérieur de l'ascenseur, l'agent de sécurité manœuvra habilement les boutons. Devant le bureau de la secrétaire, j'ai effectué une entrée digne après avoir discrètement frappé à la porte.
À l'intérieur du bureau, une belle demoiselle m'accueillait, vêtue avec élégance d'une mini-jupe. Les salutations échangées, nous avons entamé l'entretien. Après les échanges, elle m'a conduit devant le Directeur Général en personne.
Les discussions avec ce dernier furent enrichissantes, conduisant ainsi à l'obtention du poste. Selon les informations fournies, l'entreprise était composée de deux entités. La première, une société d'import-export dirigée par le patron lui-même, et la seconde, une entreprise spécialisée dans la publicité et la production de magazines, dirigée par la gracieuse *Merveillia*, la fille du patron.
Mon engagement s'est forgé sans connaître totalement ce qui m'attendait. La secrétaire du patron m'a présenté chaque membre de l'entreprise, à l'exception, de manière délicate, de la fille du patron, expliquant qu'elle était momentanément indisponible.
D'après les indications reçues de mon supérieur hiérarchique, j'étais sur le point de devenir l'assistant de sa fille. Celle-ci m'avait instruit de regagner mon domicile en me précisant que le début de mes fonctions serait dès le lendemain. Une satisfaction profonde emplissait mon être ce jour-là.
Au moment de quitter l'enceinte de l'entreprise, je me suis dirigé vers l'église pour exprimer ma gratitude envers le Tout-Puissant, emboîtant ainsi le pas à la foi héritée de ma mère. À la sortie de l'église, je me suis engagé sur le chemin de retour, mon enthousiasme m'accompagnant tout au long de la marche.
Mon contentement était tel que la sensation de faim avait déserté mes pensées. À mon arrivée chez moi, j'ai partagé la nouvelle avec mes parents, provoquant une joie particulièrement intense chez ma mère. Celle-ci a débuté par glorifier Dieu à travers des chants de louange et des larmes de bonheur.
Résidence du Boss...
Merveillia, la fille du patron, était présente dans le salon, en train de scruter certains documents. Elle était là lorsque son père fit son entrée.
- Bonsoir, ma princesse. Comment se déroule ta soirée ? Et ta santé ?
- Bonsoir, mon papa chéri. Tout va bien, et ma santé s'améliore de plus en plus. Et concernant le travail ?
- Tout va bien, ma fille, mais que fais-tu avec ces documents ? Surtout alors que tu ne te sens pas encore au mieux !
- Papa, je me sens déjà beaucoup mieux, et je prévois même de reprendre le travail demain. Je m'ennuie trop à la maison, et je ne peux demeurer inoccupée alors que des contrats ont été signés.
- Je comprends, ma fille, mais la santé prime avant tout. Es-tu sûre que tout ira bien ?
- Oui, papa, ne t'en fais pas.
- D'accord. Et ta mère ?
- Elle est dans sa chambre, si je ne m'abuse. Elle vient tout juste de quitter cet endroit.
- Bien, ma princesse. As-tu eu des nouvelles de ton petit ami ?
- Qui ? Papa, parles-tu de Williams ?
- Oui, en dehors de Williams, y a-t-il quelqu'un d'autre ?
- Mais, papa, je t'ai déjà assuré que Williams et moi n'avons rien de plus qu'une amitié. Il est simplement un ami, rien de plus.
- Merveillia, arrête de dire ça. Williams est un homme exceptionnel, épris de toi. Son père, également mon ami et partenaire d'affaires, rend notre union bénéfique pour nos familles. Prends le temps de réfléchir, ma chère.
- Bien compris, papa. J'essaierai de le faire.
- Très bien. Je te laisse à tes pensées. Ah, j'oubliais de te dire que j'ai déjà trouvé un assistant pour toi.
- Vraiment, papa ? C'est sérieux ?
- Absolument. Il commencera demain.
- C'est fantastique ! J'espère qu'il est fiable et travailleur. Comment s'appelle-t-il ?
- Il se nomme Richy Mousse. D'après les informations, c'est un jeune homme charmant et doté de nombreuses qualités. Mais, ma chère, je ne veux pas que tu te laisses éblouir par ses qualités.
- Vraiment ? Il est si séduisant que ça ?
- Juste une plaisanterie. Williams est bien plus exceptionnel, et il appartient à un monde différent du sien. Bon, je monte dans ma chambre. Passe une agréable soirée...
- D'accord, papa, et merci infiniment.
- C'est un plaisir, ma princesse. C'est ton dû. Et ton frère Éric ?
- Il est dans sa chambre ou avec maman. Tu le connais bien, n'est-ce pas ?
- Bien sûr...
Le père de Merveillia se retira dans sa chambre, laissant sa fille plongée dans des rêveries sur son futur employé.
L'histoire poignante de Julia, une femme dont le destin fut cruellement entremêlé à celui de son amour, Smith. Une séparation forcée imposée par les parents de Julia, à un moment où elle ignorait qu'elle portait déjà en elle le fruit de leur amour, un enfant. Smith, accablé par le ressentiment des parents de Julia, quitta le village pour la ville, laissant derrière lui une Julia inconsciente de sa grossesse. Le destin joua un tour tragique à Julia. Elle mit au monde une fille, nommée Anny. Cependant, en raison de la haine profonde que les parents de Julia nourrissaient envers ceux de Smith, le père de Julia décida de priver Julia de la présence d'Anny. Le bébé fut confié à l'une des tantes de Julia, résidant dans un village éloigné. On fit croire à Julia que son enfant n'avait pas survécu à l'accouchement. Le chagrin s'abattit sur Julia. Elle perdit tout ce qui lui était cher : Smith, son précieux amour, et la fille que Smith lui avait laissée en partant, Anny. Cependant, grâce à sa bonté et à son respect envers autrui, la tante qui avait recueilli Anny finit par tout avouer avant de quitter ce monde. Julia entreprit alors une quête désespérée pour retrouver son enfant. Elle quitta le village pour la ville, où Anny avait déménagé après avoir obtenu son diplôme du lycée. Anny, de son côté, était également à la recherche de sa mère, car la tante de Julia lui avait révélé une partie de la vérité, mais pas l'intégralité. Ce que ni Julia ni Anny ne savaient, c'est que le destin avait déjà uni leurs vies de manière inattendue. Julia vivait dans la même maison que sa fille, mais cette dernière ignorait que sa mère était à ses côtés, travaillant comme femme de ménage chez elle, endurant des maltraitances silencieuses.
« Que savez-vous vraiment de la trahison ? Rien ou pas grande choses probablement. Moi, je l'ai vécue. » La trahison est l'une des blessures les plus silencieuses, mais les plus ravageuses. Elle ne hurle pas, elle s'infiltre - dans les regards détournés, dans les mots qui changent de ton, dans les gestes qui deviennent froids. Ce qui la rend insupportable, c'est qu'elle vient souvent de ceux dont on n'aurait jamais douté. Commençons. À 18 ans, elle perdit tout en une seule journée. Les voix qui l'entouraient, jadis pleines de tendresse, s'étaient changées en jugements acérés. Celui dont l'amour semblait acquis détourna les yeux, sans même chercher à comprendre. On la bannit sans explication, sans appel. Elle disparut, brisée, abandonnée, effacée. Sept années s'écoulèrent dans l'ombre. Lorsqu'elle réapparut, elle n'était plus la même. Dans son regard : la tempête calmée d'une survivante. À ses côtés marchait un garçon aux yeux perçants, silencieux mais dangereux - son fils. On la raillait, la traitant de mère indigne. On murmurait sur son passage : « enfant né sans père » ...sans savoir qu'il était le fils caché, inavoué, d'un puissant PDG - dissimulé par sa mère pour mieux le protéger... ou mieux frapper.
Il était une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour où le roi de Mombana est décédé et un nouveau monarque a pris la relève, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir après son couronnement, il a alors décidé d'attaquer Salem. L'attaque était si inattendue que Salem ne s'y est jamais préparé. Ils ont été pris au dépourvu. Le roi et la reine ont été tués, le prince héritier a été réduit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survécu à la guerre ont également été réduits en esclavage, les terres leur ont été enlevées et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage était rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, à l'âge de trente ans, a organisé un coup d'État et a échappé à l'esclavage. Ils se sont cachés pour récupérer. Ils s'entraînaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrépide et froid qui était motivé par son aspiration de récupérer les terres de ses ancêtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tué le prince Cone et ont récupéré tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posés sur la fière princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la première fois. Il marcha jusqu'à la princesse avec la chaîne d'esclave qu'il avait portée pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriété. Je te paierai à la pelle, tout ce que toi et ton père avez fait à moi et à mon peuple », déclara-t-il sèchement. La haine pure, la froideur et la victoire étaient la seule émotion sur son visage.
Madisyn a découvert avec stupeur qu'elle n'était pas l'enfant biologique de ses parents. À cause des manigances de la vraie fille, elle a été mise à la porte et est devenue la risée de tous. Alors qu'on la croyait issue d'une famille de paysans, Madisyn a découvert que son vrai père était l'homme le plus riche de la ville et que ses frères étaient des personnalités renommées dans leur domaine respectif. Ils la couvraient d'amour, avant d'apprendre que Madisyn avait sa propre entreprise florissante. « Arrêtez de me harceler », lui a dit son ex. « Mon cœur n'appartient qu'à Jenna. » « Comment oses-tu penser que ma femme a des sentiments pour toi ? », a affirmé un mystérieux gros bonnet.
Noelle était la fille perdue depuis longtemps que tout le monde avait recherchée, mais à son retour, sa famille l'a rejetée et a préféré choyer sa remplaçante. Lassée d'être méprisée, elle est partie et a épousé un homme dont l'influence pouvait bouleverser le pays. Danseuse de génie, championne de course automobile, compositrice talentueuse, restauratrice hors pair... Chaque de ses triomphes secrets faisait la une des journaux, et les sourires arrogants de sa famille se fissuraient. Son père est revenu précipitamment de l'étranger, sa mère pleurait pour un câlin, et ses cinq frères se sont agenouillés sous la pluie pour la supplier. Sous le ciel étoilé, son mari l'a serrée contre lui, sa voix veloutée lui murmurant une promesse. « Ils n'en valent pas la peine. Allez, rentrons à la maison. »
Ma famille se situait au seuil de pauvreté et n'avait plus aucun moyen de payer ma facture de scolarité. Je devais travailler à temps partiel tous les jours pour joindre les deux bouts et payer mes études. C'est alors que je l'ai rencontrée - la jolie fille de ma classe avec qui tous les garçons rêvaient de sortir. Il était clair pour moi qu'elle était trop bien pour moi. Cependant, j'ai rassemblé tout mon courage et lui ai dit courageusement que j'étais tombé amoureux d'elle. À ma grande surprise, elle a accepté d'être ma petite amie. Elle m'a dit, avec le plus beau sourire que j'aie jamais vu, qu'elle voulait que le premier cadeau que je lui fasse soit le dernier iPhone. Un mois plus tard, mon dur travail a enfin porté ses fruits. J'ai pu acheter ce qu'elle voulait. Mais pendant que j'emballais mon cadeau, je l'ai vue dans les vestiaires en train d'embrasser le capitaine de l'équipe de basket. Puis elle s'est impitoyablement moquée de mes insuffisances et m'a ridiculisé. Pour couronner le tout, le type avec qui elle m'a trompé m'a même frappé au visage. Le désespoir m'a envahi, mais je ne pouvais rien faire d'autre que de m'allonger par terre et de les laisser piétiner ma fierté. Mais soudain, mon père m'a appelé et ma vie a été bouleversée. Il s'avère que je suis le fils d'un milliardaire.
Les rumeurs disent que Lucas a épousé une femme sans attrait et sans passé. Pendant les trois années de leur vie commune, il est resté froid et distant avec Belinda, qui l'a supportée en silence. Son amour pour lui l'a obligée à sacrifier son amour-propre et ses rêves. Lorsque le vrai amour de Lucas est réapparu, Belinda a compris que leur mariage n'était qu'un leurre depuis le début, un stratagème pour sauver la vie d'une autre femme. Elle a signé les papiers du divorce et est partie. Trois ans plus tard, Belinda est redevenue un prodige de la chirurgie et un maestro du piano. Perdu dans ses regrets, Lucas l'a poursuivie sous la pluie et l'a serrée contre lui. « Tu es à moi, Belinda. »
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