/0/13026/coverbig.jpg?v=50a4546e500eaacc1feb54c803887651)
La femme de mon beau-frère ( La famille présidentielle )
La femme de mon beau-frère ( La famille présidentielle )
Chapitre 1
** Malaïka Mbongo **
Trois ans ! Trois ans d'études en plus et j'ai enfin eu mon bachelor ! Je suis trop contente ! Assis dans l'avion nous allons bientôt atterrir a Kinshasa, la terre de mes ancêtres.
Je suis parti trois années en Belgique pour suivre un bachelor en gestion d'entreprise dans une grande école de commerce, ma mère avait souhaité à ce que je continue pour un master mais ai refusé car ce n'étais pas sa la deal , le deal était que après mon diplôme d'état que je suive des études supérieur de mon choix pendant trois ans dans le pays que je voulais ensuite je rentrerais à Kinshasa pour réfléchir à ce que je souhaite faire de ma vie .
Ma mère ma envoyer étudier en Europe avec ses économies, elle les gardait de coter pour mes études et a commencé des nouvelles pour celle de ma petite sœur, il lui reste cinq ans avant qu'elle puisse passé son examens de diplôme d'état, elle as largement le temps mais ma mère veut absolument que nous étions dans les plus grande université ou haute école en Europe , je ne comprend pas son archenement enfin ... si un peut je comprend car la vie n'est pas toujours rose avec nous .
Je m'appelle Malaïka Mbongo , oui Mbongo comme l'argent, ma mère dit que les hommes disent que les femmes de ma famille sont très attiré par l'agent tel un amant à cause de notre nom de famille «
Elata bino n'a tzoto » C'est ancrée en vous . Voilà ce qu'ils disent de nous . Je ne suis pas comme ça , moi je suis différent, très différente . Je suis âgée de vingt trois ans , maman dis que j'ai dépassé l'âge d'or , l'âge ou les hommes doivent me manger la main , nous avons mille fois eu cette conversation, je ne veut pas être comme elle , et j'espère qu'elle va finir par s'y faire .
J'ai grandi avec ma mère et ma petite sœur , mon père je ne le connaît pas j'ai cherché en vain à le rencontrer, connaître au moins son identité mais ma mère n'a jamais voulu, à chaque fois que je parlais de lui c'était sujet de dispute à la maison , j'ai fini par lâcher l'affaire mais avec espoir de voir mon père un jour .
Nous atterrissons enfin , il me tarde de voir ma famille , je me dépêchas de faire tout le tralala de l'aéroport , ma mère m'attendait devant , cela fait trois ans que je ne l'ai pas vu , elle n'a pas changé , elle est toujours aussi belle , grande de taille , avec une belle taille de femme africaine, vêtu d'un jeans noir et un haut transparent noir, percher sur des haut talons aiguilles noir de marque , elle as attacher ses cheveux en chignon en haut , des lunettes noir elle tenait par la main ma petite sœur . Ma mère est une femme très classe et coquette et c'est ainsi qu'elle m'a fait grandir mais je reste quand même très différente d'elle .
Elle m'a eu quand elle avait seize ans , elle est actuellement âge de trente-neuf ans , elle n'a rien perdu de sa jeunesse . Betty c'est comme ça que ses intime l'appelle mais en réalité elle s'appelle Abetine Mbongo.
Moi : Maman ! Dis-je en arrivant à sa hauteur
On c'est prise dans les bras , j'ai pris aussi ma petite sœur dans mes bras.
Ma petite Jua qui as tellement grandi ! Quand je suis parti elle avait neuf ans maintenant elle en as douze , nous avons tout les deux des prénoms en Swahili je laisse pensé que mon père n'est pas forcément congolais , car je suis de couleur de peau chocolat au lait , ma petite sœur pareil que moi mais ma mère est beaucoup plus claire de peau que nous et sa elle le tient de son père qui de teint très claire .
Maman : Bonne arrivée ma fille . Regarde toi . Dit elle en se reculant un peut pour mieux me regardé. Tu devient une femme chaque jours , une superbe belle femme
Moi : Maman ..
Après nos embrassades , nous sommes sorti de l'aéroport, ma mère m'avait fait part qu'elle avait une nouvelle voiture mais je ne sais pas que c'était une Mercedes 4x4 toute noire.
Moi : Wouah maman !!! C'est sa ta nouvelle voiture ?!
Maman : Oui attend mais de voir la maison
Moi : Mais comment la tu eu ?!
Maman : ..
Quand ma mère ne me répond pas cela veut dire que qu'il y a quelque choses qui se cache derrière , je préfère ne pas insister dessus nous avons pris la route de la nouvelle maison. Je ne l'ai pas encore vu la maison dont maman me parle tant, plus nous avons dans la route et je vois que le décor commence à changer , nous rentrons à Mont-Fleury là où y'a uniquement des grande villa , maman derrière son volant et ses lunette de soleil fumant noir affichait un sourie satisfait devant mon air choqué .
Moi : Maman ?!
Maman : Attend qu'on arrive
Quelques secondes plus tard nous arrivons devant un grand portail noir écrit M du côté droit et J du côté gauche
Jua : Le M c'est pour Malaïka et le J pour moi , Jua
J'ai regardé ma mère qui venait de klaxonné pour qu'une personne puisse venir lui ouvrir la porte , quand un monsieur petit de taille est venue vêtu d'une tenu de travail en bleu , il ouvert les grande porte , nous entrâmes dans cette grande cour fleuris de rose blanche et rouge , les fleures préféré de ma mère , une maison toute blanche qui se trouvait au milieu de la cours avec une grande Porte Dorée
Maman : Bienvenue chez toi . Disait-elle en coupant le moteur
Une jeep , maintenant une villa , comment une femme au revenu « modeste » comme ma mère , qui n'a jamais travaillé de sa vie a pu avoir tout ceci me suis je posé la question en descendant de la voiture. J'ai voulu prendre mes valises dans le coffre de la voiture mais elle m'arrêtas en me disant que maintenant nous avons un personnel qui sont là pour sa .
Nous rentrâmes toutes les trois dans la grande maison , la décoration est à tomber par terre , on voit bien que tout respire ma mère , la maison est à son image ainsi que le parfum aussi. Deux femmes nous attendaient devant vêtu pareil d'une longue jupe noir, un teeshirt noir et un tablier blanc , les cheveux sévèrement attachée .
Maman : Bonjour, bonjour
Elles répondirent au bonjour de ma mère en cœur
Maman : Niclette et Bibiche voici ma fille aînée, l'ange de ma vie, Malaïka
Elles me saluent en cœur
Maman : Malaïka voici Niclette et Bibiche qui travail pour nous , elle s'occupe de la nourriture et de tout les tache ménagères de la maison mais n'empêche c'est pas parce que il y'a les filles qui cela fait que vous êtes dispensé de toute taches ménagères ta sœur et toi , vous devez aussi mettre la main à la pâte d'accord.
Je n'arrivais même pas à lui répondre car je me suis un peut refroidis depuis que nous sommes arriver dans cette maison pour la tout simple et bonne raison que je trouve cela trop tout d'un coup et je sais maintenant par comment ma mère a réussis à avoir sa et cela m'énerve au fond de moi car elle parait comme si tout ceci était normal hors que non !
Après les présentation fait , hormis les filles , il y'a un jardinier, un chauffeur et un sentinelle.
Je prétexte une fatigue suivie de maux de tête pour me retrouver seul , ma mère m'emmène dans ma chambre , une chambre avec une salle de bain et un très grand lit douillet, tout respire ma mère, car toute la maison est en blanc avec des petite touche doré ainsi que ma chambre , elle m'a dit que je pourrais la décorée comme je veut un peut plus tard .
Après que ma mère est quitté ma chambre j'ai commencé à réfléchir. As t-elle repris ?! Pourtant elle me l'avait promis qu'elle avait arrêter !
Malgré moi j'ai fini par m'endormir, je me suis réveillé uniquement au milieu de la nuit , avec une faim incroyable , j'ai regardé l'heure sur mon téléphone et il affichait vingt trois heures , c'est étonnant que maman ne soit pas venu me réveiller pour dîner .
Je sorti de ma chambre, pour me rendre dans la cuisine , quand j'entendis l'eau couler toujours à l'étage , une porte entre ouvert laisser passé de la lumière qui provenait de la pièce , j'ai légèrement poussé la porte de cette dernière et j'ai pu apercevoir que c'était la chambre de ma mère , sa chambre était beaucoup plus grande que la mienne avec des grand rideaux blanc crème qui volait à cause du vent car elle avait laisser les fenêtre ouverte, un grand lit king size , elle as vraiment une chambre de reine , il y avait une photo de moi et Jua sur sa table de chevet , elle doit être dans la salle de bain car j'entends l'eau couler dans une autre pièce dans la chambre qui est aussi entre ouvert . Je me suis assis sur son lit quand un léger bruit attira mon attention, je retournas ma tête , c'était son téléphone qui était posé sur sa coiffeuse , par curiosité je me leva pour voir ceci , elle venait de recevoir un message de la part d'un certain Barth Issa
« C'est bon tu la dit à ta fille ?! »
Le téléphone de ma mère détient un code dont je ne connaît pas encore donc je ne peut le déverrouiller.
Dire quoi à qui ?! Et à quel fille ?!
L'eau c'est arrêter , j'ai reposé son téléphone et je suis retourné à ma place, ma mère est sorti quelques seconde après avec une serviette noué à sa poitrine , elle avait les cheveux mouiller qui lui tombait en bas du dos . Nous avons cette grâce si je peut appeler sa comme sa à avoir des très long cheveux, ma mère a des long cheveux qui lui arriver au dessus des fesses avec un gros volume , j'ai la même chose qu'elle moins long , ainsi que ma petite sœur aussi . Toute les femmes de la famille de ma mère on les même cheveux, il me semble que ont le tiens de nos ancêtres du côté de ma grand mère .
Maman : Tu est là
Moi : Oui
Maman : Bien dormis ?!
Moi : Oui .. j'ai faim
Elle as regardé l'heure sur l'horloge mural
Maman : les filles doivent être déjà parti , il y'a pleins de chose à manger en bas , dans le frigo , le congelo , regarde et prends ce qui te fait plaisir
Moi : Maman ?
Maman : Oui ?!
Moi : Comment est ce que tu as su te procurer tout ceci ?! Dis-je en désignant la pièce en un tour de doigts
Maman : Ont en reparlera au moment venu
Moi : Mais je veut le savoir maintenant
Maman : Et moi ta mère je t'ai dis que nous allons en parler mais pas maintenant, d'accord ?!
Moi : d'accord
Maman : maintenant va te chercher quelques choses à manger en bas il se fait tard
Je suis sorti de sa chambre avant de me rendre dans la cuisine.
Le lendemain ,
J'ai très mal dormis , y a quelques chose qui cloche et tout les pièce du puzzle ne sont pas bien constitué.
J'ai laissé ma mère et ma petite sœur , nous vivons dans une maison modeste , avec des revenus modestes, nous étions pas pauvres mais nous ne roulons pas dans l'or non plus , ma mère se débrouillais et je n'aimais pas ses activités, je suis aussi parti en Europe avec la condition que si je part elle devait se trouver un travail stable et nous donner l'exemple à Jua et moi , et moi avoir mon diplôme coûte que coûte mais j'ai l'impression que la promesse a été tenu que d'un seul côté .
Nous étions assis dans le jardin entrain de prendre le petit déjeuner, Jua venait à peine de partir à l'école escorté par le chauffeur. Jua est vraiment traiter comme une princesse, elle se réveille son petit déjeuner est prêt, ses vêtements déjà repasser, c'est maman qui la coiffe.
Ma mère ne laisse personne toucher à nos cheveux, elle dit qu'elle attend que nous aillons atteint un âge ou ne pouvons prendre nos propre décision pour faire ceci , moi je le fait depuis mes dix huit ans mais Jua c'est ma mère .
Maman : aujourd'hui on va faire du shopping
Moi : Ah bon ?! Dis-je en lissant le journal
Maman : Tu n'as pas encore eu de cadeau pour ton diplôme
Moi : c'est cool . Dis-je sur un ton désintéressé
Maman : qu'est-ce que tu lis ?
Moi : Le fils du président a perdu sa femme
Maman : Ah oui j'en ai entendu parlé c'est triste
Moi : dans cette article on parle de suicide mais pas forcément confirmé
Maman : Ne crois pas les médias ! Elle était malade, elle as succombé à sa maladie !
Moi : Et c'était quoi ?!
Maman : Un cancer un truc du genre
Moi : Tu t'y connaît vachement
Maman : Je connaît quelques personne de la famille présidentielle
Moi : Comme Barth Issa ?! . Dis-je en posant mon journal
Maman : Je n'ai aucune explication à te donner ! Va te préparer on part dans dix minutes ! Disait-elle se levant
Une heure après
Nous étions en ville entrain de faire les magasins , je crois qu'elle as refait toute ma garde robe . Je ne lui ai plus reparler de ce certain Barth Issa , elle fait ce qu'elle veut .
Elle m'a ramené me faire une pédicure, une manicure, elle as vraiment pris soins de moi toute la journée ça a même fait en voler mes doutes .
Il était une fois à Keya Mon père m'a toujours appris, d'aimer mes semblables....
Ainsi va la vie de Malèna Ainsi va la vie et nous ne pouvons nous y opposer. N'est il pas écrit que l'homme propose et Dieu dispose ? On ne choisit pas son destin encore moins les personnes qui rentrent dans nos vie par pur hasard...Pensez-vous que le hasard existe ?! Ou que tout est écrit , une grande impression que la mienne est écrite. Si je pouvais décider des personnes qui rentre et sort de ma vie, ma vie aurait été beaucoup plus simple . Ainsi va la vie diront t-ils avec un air désolé. Le malheur arrive t-il seul ?! Ou est-il toujours accompagné par deux abrutis. Le malheureux n'est t-il pas heureux ?! Celui qui est heureux n'est t-il pas malheureux ?! Tout est vanité des vanités, ne jamais envier les autres, l'envieux n'est t-il pas envié ?! Je retiens que la souffrance vient des proches . Ainsi va la vie de Malèna
Comme le titre l'indique " Mariée au petit frère du diable"
Trahie par son compagnon et sa sœur à la veille de son mariage, Makenna a été livrée aux Lycan Princes impitoyables en tant qu'amante, son père indifférent se souciant peu de son sort. Déterminée à s'échapper et à se venger, elle a suscité l'intérêt des trois Lycan Princes, qui la désiraient en exclusivité malgré leurs nombreuses admiratrices. Cela a compliqué ses plans, l'a piégée et a fait d'elle une épine dans le pied de la future Lycan Reine. Empêtrée dans la jalousie et la vindicte, Makenna parviendra-t-elle à se venger dans la danse complexe des trois princes ?
« J'ai désespérément besoin d'argent pour payer les frais médicaux de ma grand-mère. Je prendrai la place d'Yvonne en tant qu'épouse de Charles dès que j'aurai l'argent. » Lorsque sa sœur Yvonne s'est enfuie du mariage, Autumn a été forcée de se passer pour Yvonne et de se marier avec Charles. Dès lors, elle ne voulait qu'une chose : le divorce. Charles est riche et puissant. Son nom est attaché à d'innombrables dames. Il change de copine comme s'il change de vêtements. Personne ne s'attend à ce qu'ils puissent tomber amoureux l'un de l'autre.
On ne sait jamais ce que nous avons possédé jusqu'à ce que nous le perdions. C'était le cas pour Samuel qui méprisait sa femme tout au long de leur mariage. Tessa donnait tout à Samuel. Mais que faisait-il? Il la traitait comme un chiffon inutile. À ses yeux, elle était égoïste, dégoûtante et sans scrupules. Il voulait rester loin d'elle à tout moment. Il était heureux quand une chance de divorcer s'est présentée. Cependant, son bonheur n'a pas duré. Il s'est bientôt rendu compte qu'il avait laissé partir un bijou d'une valeur inestimable. Mais avant qu'il puisse regretter, Tessa réussissait déjà très bien sa vie. « Tessa, mon amour, je sais que j'ai été un imbécile, mais j'ai appris mes leçons. Donne-moi une autre chance », a supplié Samuel les yeux larmoyants. « Ha-ha ! Très drôle, Samuel. N'as-tu pas toujours été répugné par moi ? Qu'est-ce qui a changé maintenant ? », a ricané Tessa en le regardant. « J'ai compris mieux, mon amour. S'il te plaît, reprends-moi. Je ne m'arrêterai pas avant que tu acceptes. » Avec les yeux qui tiraient des lasers, Tessa lui a crié dessus : « Sors de ma vue ! Je ne veux plus jamais te voir ! »
"J'ai entendu dire que tu allais épouser Marceau. Est-ce peut-être ta revanche contre moi ? C'est très risible, Anneli. Cet homme peut à peine fonctionner." Sa famille d'accueil, son ex-infidèle, tout le monde pensait qu'Anneli allait vivre un enfer pur après s'être mariée à un homme handicapé et cruel. Elle ne savait pas si quelque chose de bon en sortirait, après tout, elle avait toujours pensé qu'il serait difficile pour quelqu'un de l'aimer, mais cet homme cruel avec des secrets sombres ne va jamais lui accorder un divorce, car elle le fait oublier comment respirer.
Ma famille se situait au seuil de pauvreté et n'avait plus aucun moyen de payer ma facture de scolarité. Je devais travailler à temps partiel tous les jours pour joindre les deux bouts et payer mes études. C'est alors que je l'ai rencontrée - la jolie fille de ma classe avec qui tous les garçons rêvaient de sortir. Il était clair pour moi qu'elle était trop bien pour moi. Cependant, j'ai rassemblé tout mon courage et lui ai dit courageusement que j'étais tombé amoureux d'elle. À ma grande surprise, elle a accepté d'être ma petite amie. Elle m'a dit, avec le plus beau sourire que j'aie jamais vu, qu'elle voulait que le premier cadeau que je lui fasse soit le dernier iPhone. Un mois plus tard, mon dur travail a enfin porté ses fruits. J'ai pu acheter ce qu'elle voulait. Mais pendant que j'emballais mon cadeau, je l'ai vue dans les vestiaires en train d'embrasser le capitaine de l'équipe de basket. Puis elle s'est impitoyablement moquée de mes insuffisances et m'a ridiculisé. Pour couronner le tout, le type avec qui elle m'a trompé m'a même frappé au visage. Le désespoir m'a envahi, mais je ne pouvais rien faire d'autre que de m'allonger par terre et de les laisser piétiner ma fierté. Mais soudain, mon père m'a appelé et ma vie a été bouleversée. Il s'avère que je suis le fils d'un milliardaire.
J'avais consacré dix ans de ma vie, mon talent de vinicultrice, à Adrien, l'homme que j'aimais et que j'aidais à reconstruire son domaine familial. Il était mon univers, ma passion, mon avenir. Un soir, la vérité, d'une brutalité indicible, m'a frappée alors que mon corps, drogué par un verre de vin, refusait de bouger. J'ai entendu Adrien confesser sans remords qu'il m'avait droguée pour voler ma précieuse souche de levure indigène, fruit de dix ans de travail acharné. Pire, il avait délibérément saboté ma cuvée expérimentale, mon "enfant" tant chéri, tout cela pour sa maîtresse Camille. L'humiliation s'est amplifiée lors de nos fiançailles, où il m'a publiquement abandonnée pour Camille simulant un malaise, sous les yeux de tous. Puis, alors que je lui donnais mon sang pour le sauver à l'hôpital, j'ai entendu sa voix arrogante et faible déclarer : « Elle m'aime autant que j'aime Camille. » Mon cœur, qui avait tant souffert, s'est figé, se transformant en un bloc de glace. Comment pouvais-je être à ce point son outil, sa béquille, lui qui m'avait réduite à rien d'autre qu'un moyen ? La douleur de la trahison était incommensurable, mais une nouvelle détermination est née de la cendre de mon amour. J'ai alors décroché mon téléphone, cherchant le numéro de Luc Bergeron, le plus grand concurrent d'Adrien. La guerre venait de commencer, et cette fois, il allait tout perdre.
© 2018-now Kifflire
TOP