Rien n'est impossible à celui qui croit

RT

ue la vie é

vie est loin d'être simple, du moins ce n'est pas mon cas

ppelle sam ,j'ai 19 ans et je suis issue d'une famille

la des années lorsque que j'étais une petite fille , ma

s que moi, elle avait aussi un fil

ge et un garçon, les rapports entre les deux femmes n'étaient pas au beau fixe, elles ne se parlaient pra

t pour garder des liens avec mes demi-frères mais cela s'avérait mission impossible car ma tante ne voulait pas que ses enfants

de sa faute , c'est le seul à blâmer , non-content de ne pas mettre aux mêm

it rester des mois sans venir nous rendre visite ,ou bien dés fois il passait jus

ous aussi ,ses propres enfants, mes petits frères ont pratiquement grandit sans père ,j'aurai pu co

'aux écoles qu'ils fréquentaient , tout était synonyme de luxe la première fois que j'y suis allée j'étais sous le

de joindre les deux bouts car mon père ne l'aidait en rien, pour moi je comprenais je suis grande , mai

début ,lorsque nous étions des enfants j'en voulais à maman je me disais

bien étudier à l'école pour le rendre fier de nous et de faire le moins de bruit possible

sait le cœur de voir leurs espoirs déçus , et je le détestais encore plus pour ces actes ,il n'a jamais eu

vés pour intercéder en notre faveur au contraire ils disent que maman est une mauvaise femme qu'elle ne sait pas s'occuper de son mari qu'il n'avait pas la paix à la maison du coup il e

ma tante leur donne car à l'opposer de maman cette dernière a beaucoup d'argen

vorcé pour justifier l'abandon de leur f

urait été pire maman était issue d'une famille mode

tes, ses humiliations n'ont jamais eu raison d'elle, elle tenait toujours à ce que

jours en train de courir de gauche à droite pour chercher de l'argent afin de faire boui

e sa douleur quotidienne, qu'elle ess

me suis plongée à fond dans les études , je voulais décrocher mon bac et aller à l'univer

e semblait heureuse j'ai compris en ce moment qu'elle plaçait beaucoup d'espoir en mo

s ne compte pas sur moi pour payer te

er à l'université cheikh anta diop de Dakar à la faculté de la pharmacie, la première a

ement, ce n'était pas facile de réussir à l'université mais cela l'est encore plus d

rlons pas maman ne voulait même pas en entendre parler elle disait toujours qu'ils étaient au courant d

payer la facture, nous étions les seuls à vivre dans ces conditions dans ce quart

que ce n'était rien que je devais redoubler d'efforts pour l'

crochait son bac et surprise mon père l'a inscrite

savoir, sa tante y veillait personnellement , je me suis dis que cela n'avait pas d'importance ca

s me battre chaque jour sans relâche , car je s

s durs , je restais

ender sur mes rapports avec les gens et ra

ul qui a voulu de la pauvre fille que j'étais ,les autres m'ont toujours rega

l'occasion se présentait ,j'en souffrais énormément du coup j'ai décidé de ne plus me rapprocher