/0/8569/coverbig.jpg?v=a180c5eecd8e04f1b96ace7bb788c107)
Qui a dit que la vie était simple et facile ? J'aimerais bien comprendre cette théorie. Pensez vous vraiment que la vie est simple et facile à nous ? Plongez vous dans mon univers.
Qui a dit que la vie était simple et facile ? J'aimerais bien comprendre cette théorie. Pensez vous vraiment que la vie est simple et facile à nous ? Plongez vous dans mon univers.
PARTIE 1
Qui a dit que la vie était simple ?
J'aimerais bien le connaitre, cette théorie est fausse la vie est loin d'être simple, du moins ce n'est pas mon cas depuis ma naissance la vie n'a jamais été clémente avec moi.
Mon nom est Aissatou samira Diop mais tout le monde m'appelle sam ,j'ai 19 ans et je suis issue d'une famille polygame, du moins si on peut toujours l'appeler ainsi.
Car mon père a abandonné son premier foyer il y'a de cela des années lorsque que j'étais une petite fille , mais le divorce entre mes parents n'a jamais été prononcé.
Ma mère avait deux fils plus jeunes que moi, elle avait aussi un fils ainé mais il est mort très jeune.
Tandis que l'autre femme de mon père tata Adji ; elle avait, trois enfants deux filles dont l'une a mon age et un garçon, les rapports entre les deux femmes n'étaient pas au beau fixe, elles ne se parlaient pratiquement pas ,je peux même dire qu'elles ne se voyaient jamais et cela aussi loin que je m'en souvenais .
Je n'ai jamais voulu que les rapports entre mes frères et moi soient à l'image de ceux de nos parents de ce fait je faisais tout pour garder des liens avec mes demi-frères mais cela s'avérait mission impossible car ma tante ne voulait pas que ses enfants nous approchent , elle disait que le fait d'avoir le même père ne signifiait pas que nous devrions forcément avoir des rapports.
J' aurais voulu avoir l'aide de mon père ,mais toute cette situation était de sa faute , c'est le seul à blâmer , non-content de ne pas mettre aux mêmes pieds d'égalité ses deux femmes ,il en faisant de même pour ses enfants.
Dans tous mes souvenirs jamais mon père n'a été présent dans notre vie , il pouvait rester des mois sans venir nous rendre visite ,ou bien dés fois il passait juste pour une heure maximum deux heures pourtant il était toujours marié à sa mère.
C'était l'homme le plus injuste sur terre, ce n'est pas seulement ma mère qu'il a abandonnée mais nous aussi ,ses propres enfants, mes petits frères ont pratiquement grandit sans père ,j'aurai pu comprendre s'il nous aidait financièrement mais non tout ce qu'il gagnait était pour son autre famille.
Tout était meilleur de l'autre côté que ce soit la maison qu'ils occupaient ,la nourriture , les vêtements , jusqu'aux écoles qu'ils fréquentaient , tout était synonyme de luxe la première fois que j'y suis allée j'étais sous le choc tant d'opulence, de richesse je me disais que je rêvais comment mon père osait -il se comporter de la sorte .
Pendant ce temps nous nous contentons de vivre presque dans la misère , c'était difficile pour ma mère de joindre les deux bouts car mon père ne l'aidait en rien, pour moi je comprenais je suis grande , mais les plus jeunes c'était dur de les priver des choses les plus élémentaires qu'un enfant devrait avoir.
J'ai essayé de comprendre comment sommes-nous arriver à cette situation au début ,lorsque nous étions des enfants j'en voulais à maman je me disais que c'est à cause d'elle s'il nous a abandonnés elle n'a pas su le garder.
Puis je me suis dit que c'est de notre faute mes petits frères et moi nous avons décidé de bien étudier à l'école pour le rendre fier de nous et de faire le moins de bruit possible lorsqu'il était à la maison ;mais rien je me demande s'il a vraiment remarqué nos efforts.
Chacun de ses départs ne causait que tristesse et désolation surtout pour mes petits frères, et cela me brisait le cœur de voir leurs espoirs déçus , et je le détestais encore plus pour ces actes ,il n'a jamais eu un mot d'encouragement envers nous ou seulement un mot d'un père pour ses enfants il nous ignorait presque.
Au fil des années il a arrêté complètement de venir nous voir ,c'est comme s'il ne faisait plus partie de nos vies , les parents de mon père c'étaient encore pire ,ils se sont jamais levés pour intercéder en notre faveur au contraire ils disent que maman est une mauvaise femme qu'elle ne sait pas s'occuper de son mari qu'il n'avait pas la paix à la maison du coup il est parti voir ailleurs, pourtant d'après-maman ils étaient heureux, ils s'aimaient et c'est seulement lorsqu'il a pris une deuxième femme qu'il a cessé de la considérer comme son épouse .
Pour ma famille paternelle nous savons tous que c'est à cause des cadeaux que ma tante leur donne car à l'opposer de maman cette dernière a beaucoup d'argent et ne rechigne pas à dépenser pour mettre de son coté cette bande de vautours.
Ils disaient même que mes parents ont divorcé pour justifier l'abandon de leur frère ce que ma mère dément formellement.
Heureusement qu'il nous avait laissé un toit cela aurait été pire maman était issue d'une famille modeste de ce fait ses parents ne pouvaient pas l'aider.
Elle ne s'est jamais plainte, elle se contente juste de se taire, et de subir, toutes, ses humiliations n'ont jamais eu raison d'elle, elle tenait toujours à ce que nous la voyons de bonnes humeurs, elle voulait nous offrir un foyer plein d'amour.
Elle voulait participer à chaque événement de notre vie malgré le fait qu'elle était toujours en train de courir de gauche à droite pour chercher de l'argent afin de faire bouillir la marmite et je peux vous dire que ce n'est pas tous les jours qu'elle réussissait.
J'étais témoin de sa souffrance, et de sa douleur quotidienne, qu'elle essayait tant bien que mal de nous cacher.
Je me disais que je pourrais sortir ma mère de la misère en ayant des diplômes , donc je me suis plongée à fond dans les études , je voulais décrocher mon bac et aller à l'université ,chose que j'ai faite avec brio , avec la mention en plus , elle était fière de moi.
Et pour la première fois depuis longtemps les yeux de ma mère étaient éblouis ,elle me semblait heureuse j'ai compris en ce moment qu'elle plaçait beaucoup d'espoir en moi , quant à mon père c'est à peine s'il m'a félicité mais à quand même tenu à me dire:
« c'est bien beau d'avoir ton bac mais ne compte pas sur moi pour payer tes études, je n'en ai pas les moyens »
Je m'attendais à quoi d'autre venant de mon père, je me suis finalement résignée à entrer à l'université cheikh anta diop de Dakar à la faculté de la pharmacie, la première année a été très dure pour moi , malgré tous les efforts fournis, je n'ai pas pu passer.
Avec tous les problèmes que j'avais à la maison je n'ai pas pu me concentrer complètement, ce n'était pas facile de réussir à l'université mais cela l'est encore plus dans mon cas , dés fois je n'avais même pas le transport pour aller suivre mes cours.
Cela faisait longtemps que nous ne recevons de l'aide venant de mon père, ma famille paternelle n'en parlons pas maman ne voulait même pas en entendre parler elle disait toujours qu'ils étaient au courant de notre situation mais qu'ils ne faisaient rien et dieu sait que ce ne sont pas les moyens qui manquent.
Dés fois, on pouvait rester des mois sans l'électricité avant que maman n'arrive à payer la facture, nous étions les seuls à vivre dans ces conditions dans ce quartier, car sur un kilomètre à la ronde, nous étions entourés que de familles nanties.
Mon échec n'a pas découragé ma mère au contraire, elle m'a dit que ce n'était rien que je devais redoubler d'efforts pour l'année prochaine et que qu'elle était sure que j'allais réussir.
Cette même année que je redoublais ma demi-sœur décrochait son bac et surprise mon père l'a inscrite à ISM une très bonne école de management de Dakar.
Quand je l'ai su car évidemment tout ce qui se passait de l'autre côté finissait toujours par se savoir, sa tante y veillait personnellement , je me suis dis que cela n'avait pas d'importance car un jour tout cela aurait une fin car je me disais que tout arrive à point à qui sait attendre .
Pour réussir dans sa vie je savais que je devais me battre chaque jour sans relâche , car je savais que rien ne me serait donné gratuitement.
Malgré tous les coups durs , je restais souriante à la vie .
je ne laissais jamais mes problèmes transcender sur mes rapports avec les gens et rares sont ceux qui savent ce que je vivais.
Je n'avais qu'un seul ami dans mon quartier il s'appelle Amadou , c'est le seul qui a voulu de la pauvre fille que j'étais ,les autres m'ont toujours regardé de haut, m'ont presque snobée à la limite à cause de ma modeste condition.
Au début ils se sont montrés méchants avec moi se moquant de mes habits, me ridiculisant dés que l'occasion se présentait ,j'en souffrais énormément du coup j'ai décidé de ne plus me rapprocher d'eux. Je me suis créé une carapace que ce soit eux ou mon père personne ne peut plus m'atteindre.
« Chassez cette femme ! » « Jetez cette femme dans la mer ! » Quand il ne connaîssait pas la véritable identité de Debbie Nian, Carlos Huo la méprisait. « M. Huo, elle est ta femme », lui a rappelé le secrétaire de Carlos. En entendant cela, Carlos lui lance un regard froid en se plaignant : « Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt ? » Depuis, elle est pourrie gâté par Carlos. Personne ne s'attendait à ce qu'ils puissent se divorcer.
« Que savez-vous vraiment de la trahison ? Rien ou pas grande choses probablement. Moi, je l'ai vécue. » La trahison est l'une des blessures les plus silencieuses, mais les plus ravageuses. Elle ne hurle pas, elle s'infiltre - dans les regards détournés, dans les mots qui changent de ton, dans les gestes qui deviennent froids. Ce qui la rend insupportable, c'est qu'elle vient souvent de ceux dont on n'aurait jamais douté. Commençons. À 18 ans, elle perdit tout en une seule journée. Les voix qui l'entouraient, jadis pleines de tendresse, s'étaient changées en jugements acérés. Celui dont l'amour semblait acquis détourna les yeux, sans même chercher à comprendre. On la bannit sans explication, sans appel. Elle disparut, brisée, abandonnée, effacée. Sept années s'écoulèrent dans l'ombre. Lorsqu'elle réapparut, elle n'était plus la même. Dans son regard : la tempête calmée d'une survivante. À ses côtés marchait un garçon aux yeux perçants, silencieux mais dangereux - son fils. On la raillait, la traitant de mère indigne. On murmurait sur son passage : « enfant né sans père » ...sans savoir qu'il était le fils caché, inavoué, d'un puissant PDG - dissimulé par sa mère pour mieux le protéger... ou mieux frapper.
Ils ne savent pas que je suis une fille. Ils me regardent tous et voient un garçon. Un prince. Les gens de leur espèce achètent des humains comme moi pour assouvir leurs désirs lubriques. Et quand ils ont fait irruption dans notre royaume pour acheter ma sœur, je suis intervenue pour la protéger. Je les ai obligés à me prendre aussi. Le plan était de s'échapper avec ma sœur dès que nous en aurions l'occasion. Comment pouvais-je savoir que notre prison serait l'endroit le plus fortifié de leur royaume ? J'étais censée rester à l'écart. Celle dont ils n'avaient pas vraiment besoin. Celle qu'ils n'ont jamais voulu acheter. Mais voilà que la personne la plus importante de leur pays sauvage, leur impitoyable roi-bête, s'est intéressée au « joli petit prince ». Comment survivre dans ce royaume brutal, où tout le monde déteste nos semblables et n'a aucune pitié pour nous ? Et comment une personne, avec un secret comme le mien, peut-elle devenir une esclave de la luxure ? NOTE DE L'AUTEUR Il s'agit d'une romance noire, au contenu sombre et mature. Très bien noté 18+ Attendez-vous à des déclencheurs, attendez-vous à du hardcore. Si vous êtes un lecteur chevronné de ce genre, à la recherche de quelque chose de différent, prêt à y aller à l'aveuglette sans savoir à quoi s'attendre à chaque tournant, mais désireux d'en savoir plus de toute façon, alors plongez ! Par l'auteur du best-seller international : « L'esclave détestée du roi Alpha ».
« Ahh ! » Elle était en train de gémir. Elle ne voulait rien ressentir pour cet homme. Elle le détestait. Les mains de l'homme ont commencé à se déplacer sur tout son corps. Elle a sursauté lorsqu'il a tiré la chaîne arrière de sa robe. La chaîne s'arrêtait au bas de sa taille, si bien que lorsqu'il l'a refermée, le haut de son dos et sa taille étaient exposés. « Ne touche pas à m-ummm ! » Les doigts du jeune homme se promenaient sur son dos nu et elle a appuyé sa tête sur l'oreiller. Ses caresses lui donnaient la chair de poule sur tout le corps. D'une voix grave et en colère, il lui a murmuré à l'oreille : « Je vais te faire oublier ses caresses, ses baisers et tout le reste. Chaque fois que tu toucheras un autre homme, tu ne penseras qu'à moi. » - - Ava Adler était une intello oméga. Tout le monde la malmenait parce qu'ils la trouvaient laide et peu attirante. Mais Ava aimait secrètement le mauvais garçon, Ian Dawson. Il était le futur Alpha de la meute Mystic Shadow. Mais il se moque des règles et des lois, car il n'aime que s'amuser avec les filles. Ava n'avait pas conscience de l'arrogance de Ian jusqu'à ce que son destin se mêle au sien. Il l'a négligée et l'a profondément blessée. Que se passerait-il si Ava devenait une belle fille capable de séduire n'importe quel garçon, et que Ian regrettait ses décisions ? Et si elle avait une identité secrète qu'elle n'avait pas encore découverte ? Et si les rôles s'inversaient et que Ian la suppliait de ne pas le quitter ?
Dans mon ancienne vie, Bastien, mon fiancé, et mon frère, Hugo, étaient mon univers, les piliers inébranlables de mon existence. Puis, Clara est arrivée – une fille aux larmes faciles, sans histoire – et en un clin d' œil, elle a tout volé. Mon fiancé a rompu nos fiançailles, mon frère a brisé sa promesse de me protéger. Tous deux se sont tournés vers elle, me traitant comme une intruse. J'ai été publiquement humiliée, bousculée, accusée de jalousie. Ils ont permis qu'elle vole la formule de parfum inachevée de ma mère, mon héritage le plus précieux. Pire encore : la montre Cartier de ma mère, celle qu'elle m'avait léguée et que j'ai vue à son poignet, Bastien l'a brisée sous mes yeux. Et Hugo voulait donner le refuge de ma mère à cette usurpatrice. Leur trahison a dépassé l'entendement. Ce jour-là, au fond de cet abîme de douleur, j'ai réalisé que l'amour que je leur portais était mort. Et, étrangement, la haine aussi. Il ne restait qu'un vide glacial. Comment des êtres que j'avais tant aimés ont-ils pu me dénier mon existence même, me traiter en ennemie pour une étrangère? Alors, j' ai décidé de disparaître. J' ai mis le feu à notre appartement parisien, à tous nos souvenirs, laissant des indices pour qu' on me croie morte dans les flammes. C'était la seule façon de renaître de mes cendres, loin d'eux, sous un nouveau nom, Léa Martin. Mais ce qu'ils ont ignoré, c'est que cette mort n'était que le début de ma véritable vie, et la leur, celle d'un remords sans fin.
Maia a grandi comme une héritière choyée, jusqu'à ce que la véritable fille revienne et la fasse accuser à tort. Avec l'aide de son fiancé et de sa famille, elle a envoyé Maia en prison. Quatre ans plus tard, libérée et mariée à Chris, le fils illégitime tristement célèbre, Maia était considérée par tous comme une perdante. Mais ils ont rapidement découvert qu'elle était en secret une joaillière renommée, une hackeuse d'élite, une chef cuisinière célèbre et une conceptrice de jeux vidéo de premier plan. Alors que son ancienne famille implorait son aide, Chris a souri calmement. « Chérie, rentrons à la maison. » C'est seulement à ce moment-là que Maia a réalisé que son mari « inutile » était en réalité un magnat légendaire qui l'adorait depuis le début.
© 2018-now Kifflire
TOP