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Chapitre 5 C'est bien vous

Nombre de mots : 1643    |    Mis à jour : 20/09/2022

sod

RRY YO

ai donc décidé d’aller boire pour faire passer mon amertume. J’avais besoin d’oublier ne serait-ce que pour une journée. Je me lève difficilement pour me rendre à la douche. Je reste là à regarder les deux cabines de douche. J’en avais fa

Te

et la vois arrêté

mon p

u m’as lais

n poussi

é mourir. Tu n’es

non c’e

me tenant la tête entre les mains. Quand j’ouvre les yeux je ne la vois plus mais sa voi

issé mourir. M

. Inès pardonne-mo

ner dans le mur avec toujours la même main. Je ressens le besoin de me faire mal. Je ne suis qu’un incapable. Un incapable ! Je n’ai pas su sauver ma fille et je ne l’avais pas su avec ma femme. Je suis nul. Je cogne encore et encore à m’en péter la main. Je m’assois ensuite sur le carrelage e

é non loin de ma maison. J’avais besoin de sortir un peu de ma maison. Il me faut réfléchir à la suite des évènements. Trouver comment faire po

our mo

fille dont le visage ne me dit absolument rien du tout. Je la regarde attenda

trompe pas. C’est moi qui

s trompée

on attention

econnu grâce à votre casquette avec

ès la même couleur. Et puis bref j’en n’ai rien à foutre de qui elle est e

li. J’étais juste venu m’assurer que vous all

oulez un

me gâcher mon moment de méditation. Je laisse quelque billet sur la table et sors. A

lez ne pas le touche

de sa main à elle. E

n’oseriez poser vo

ais

lle vient de me mettre de mauvaise humeur. Je retourne à la maison me changer et je vais au bureau. Il me faut travail

r. Vous avez reçu

s-moi u

us rencontrer. Un rendez-vous dans 45 minutes avec Mons

vant le doigt vers el

jour

lait tu peux m’acheter poule

es saucissons ? Je croy

élé et j’ai envie de gouter en

pas à l’une de tes servant

ie quelque chose c’est mauvais ? O

n, c’est com

oche et

endez-vous de

Ma

ez que je m

monsieur

me le gamin que j’étais. Mais ça ne me dérange pas de la servir. Elle est ma mère et l’être le plus cher à mes yeux. Je la trouve assise sur la moquette dans son salon en train de manger du placali avec

porté tes co

i. Tu veux m

n me

s déjà

pas

as ? MATOU OOH. Hurle-t-elle

i ta

servir placa

u juste un peu de

cord m

ures et viens t’asseoir prêt de

elle qui mange une sauce gluante là-dessus ? Ma mèr

tu es simple

e s

a oublier d’où on est vient. Tu es

ueill

corrige-t-elle.

i ma

que de toutes les façons elle m’y obligera. C’est à 13h30 que ma mère me libère enfin. Je retourne au travail continuer ma maquette. Il n’y a que l’architecture qui puiss

aindre après de viol. Elle pouvait tout simplement s’abriter plutôt que de se la jouer aquwawoman non !? Nous l’éclaboussons en passant près d’elle puis quand elle se met à hurler contre notre voiture je reconnais la voix. Enfin je l’ai déjà entendu. Je regarde en arrière et je reconnais le même vêtement

r et éclabousse à nou

dépasse la fille en marche-arrière et repart en l’éclaboussant

la jeune fille qui vo

n à f

poser ses mains sur

ivre

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