img Les femmes de ménage s'en mêlent  /  Chapitre 5 Chapitre 05 | 16.67%
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Historique

Chapitre 5 Chapitre 05

Nombre de mots : 2069    |    Mis à jour : 14/09/2022

rt

ravail respectifs, alors que Diarra ne s’est pas arrêté de vomir depuis son réveil. Elle sent une forte migraine et une do

travailler aujourd’hui, reste ici, Am

as au travail, elle va forcément réduire cette journée de ma paye et je

tte femme ? En plus quelle ch

fait, la petite Khady n’est pas rentré de

joint dans la soirée, pour me dire qu’il

emble pas être une fille aussi facile, ell

ation Diarra. Celles qui affichent des mines in

raison. Khady n’a jamais été une fille faci

e notre cohabitation ? « Chacune s’occupe de sa vie et le monde s’en po

tête explose, ma vision est encore flou et je n’arrive pas à me lever de ce lit. J’aperçois tout de même des rideaux qui flottent au rythme du doux

de vérifier si je ne suis pas dans un mauvais rêve, mais non, c’est bien moi, nu dans une chambre, ne voyant personne à mes côtés, et incapable de marcher. Que s’est-il donc passé ? Comment ai-je fais pour arriver sur ces lieux inconnus ? Je me souviens soudain de Diagne, j’étais dans sa voitur

rivée, alors que Diarra avait commencé le ménage, malgré sa maladie. Sa patronne Fanta, est une dame très hautaine ayant vécu depuis toujours dans le luxe, car venant d’une famille très aisée. Elle épouse Cheikh Kane, alors un jeune diplômée en économie provenant d’une famille pauvre, après le refus catégorique de sa famille. Sachant que leur fille n’allait pas abandonner son amour de jeunesse parce qu’ils le repoussa

cette fille de quinze ans la copie conforme de sa personne. Elle traite les gens avec la même indifférence que sa mère, ne respecte pas son père encore moins la famille de ce dernier que sa mère considère comme de

ouva dans le jardin où elle balayait difficilement les feuilles mortes. « Hey toi là-bas, vient ici ! » Lui lance-t-elle

viens m’aider à chercher ma parur

l est en dernière année d’étude en télécommunication et son père voudrait l’intégrer dans son entreprise dès qu’il aura fini. Il passa devant Ndèye qui balayait la devanture de la maison, lui envoya un petit coup amical sur les

aimerais pas que tu rates ta vie en perdant

de mettre Ndèye à l’aise vu qu’elle a comm

que vous vous êtes retrouvé dans la cuis

e n’est pas c

une servante. Quel que soit tes intentions envers elle, je veux que ça cesse. Il est très fréquent que ce genre de relation finissent pa

r se produisait plus souvent, il risquait de laisser passer son instinct masculin avant tout et ce serait très dommage car il ne voudrait pas jouer avec une femme. Il décida donc de considérer Ndèy

néante. » Lui crie-t-elle alors qu’elle remarquait au moment où cette dernière se relevait, sa mine fatiguée et les dures efforts qu’elle faisait pour se relever. « Si ça ne va pas, rentre chez toi Diarra, ma maison n’est pas une clin

. Papa n’est pas sortie de la maison depuis qu’il est rentrée du boulot hier et moi je n’ai pas besoin de tes bijoux car j’en ai a

s jure que je n’ai rien

etour ? Tu voles mes bijoux ? Pourquoi vous n’êtes pas reconnaissante ? Les gens vous aident et vous les giflez en retour ? Ecoute-moi bien, il ne t’arrive rien, tu es bien portante

oyer cette voleuse

à la police, ce serait du gâchis. Et si je perds à nouveau une pet

ente madame, je

ur métier de femme de ménage se voyait ainsi accusé de vol, sans aucun moyen de prouver son innocence. Elle aurait préféré qu’on la traite de prostituée plutôt que de voleuse, enc

a maison. Elle lui envoya une salutation assez joviale : « Bonjour, Tapha ! » Ce dernier lui lança par contre un « Bonjour » bien ferme, avant de pénétrer dans le salon, ne prenant même pas le temps de regarder son visage. Elle resta plantée dans la cours, se demandant ce qui aurait pu arriver à Tapha, po

, c’est en sentant des mains touchés mon front, que je sursautais. Je fixe le visage de l’homme présent en face de moi, en passant par

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