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faisait le travail, j'avais les pièces principales et avais surtout un lit, la chose la plus importante pour une étudiante et pour quiconque d'ailleur. Ce petit studio me suffisait surtout que j'allais rester ici uniquement 3 ans après ces trois années de stylismes, j'allais retour

uté, ajuster mon rouge à lèvres rouge et replacer quelques mèches rebelles de mes cheveux qui étaient plaqués dans une queue de cheval haute, ma coiffure préféré. Ça donnait un air sexy sans trop être vulgaire et m'allait parfaitement bien, mes cheveu

dans le dos et portais également des talons Yves Saint Laurant rouge qui élancaient ma jambe et me sensualisaiant, ils venaient tout droit de Paris et y tenais comme si ils étaient mes bébés, j'avais été les chercher moi même sur les champs élysée et esp

înettes en argent et mis mes créoles avant que je prenne mon téléphone et que je ne quitte mon petit appartement pour aller

à une fête qui allait être forte en sensation, j'allais m'amuser, décompresser mais aussi faire de nouvelles rencontres sans forcément avoir envie de les revoir, je voulais juste profiter et parler aux personnes qui le voudrait sans piur autant leur dévoiler la totalité de ma vie. J'étais un coffre fort q

ler par la suite a la fête qui en réalité se trouvait dans le campus, cette sonorité ou fraternité n'était qu'une salle de fête dans le campus, coralie m'en avait fait part avant de partir tout à

ronzage en valeur et ses chaussures à talons qui remontaient le long de ses molets du à de fils fins qui tournaient autour rendsut sa jambe plus fine et bien plus élancée que lorsqu'elle était en basket, elle était d'une beauté indescriptible et n'avait pas sorti les vêtements, la coiffure et le maquillage le plus extravagant mais c

is que t'es invisibl

verras que personne ne me regardera ce soir et c'est pas plus

vait été brisée en mille morceaux quand elle avait appris pour le pari et encore maintenant elle était brisée mais ça me faisait aussi du mal de la voir comme ça, je ne la connaissais pas, ne l'avait jamais vu et pourtant mon corp me disait de l'aider ce qui était étrange habituellement je n'avais ni pitié ni compassion envers ceux qui avaient été détruit mais cette fois ci c'était différent, je voulais l'aider et sentais que je devais l'aider surtout qu'elle avait l'air de

avait besoin d'entendre surtout que je le pensais, elle ne devait pas se rabaisser et se dire qu'elle était la fille au pari, elle était bien plus que ça mais pour qu'elle s'en rende compte il fallait que je lui

e rabaisser d'accord? Ce soir on oublie les ca

essayer, dit-elle

pas entendu

Dit-elle en rigola

! Dis-je en rigola

e- oui

Play-boy alias, le groupe de Cayden appelé aussi le groupe des sourire Colgate uniquement par mes soins. Ils étaient les clichés même des mecs arrogants et méchants qui se plaisaient qu'à faire du mal à ceux qui les entouraient mais ils n'allaient pas le rester longtemps, ils allaient changer et vitr surtout que je n'avais pas ma langue dans ma poche, j'avais des tonnes de choses à leur dire et à leur reprocher et ils n'allaient pas s'en tirer comme ça surtout ce Cayden qui me regardait de haut et qui se prenait pour le maître d

t qui

- pourq

ça, montre mo

leur qui ne voulaient que prendre du bon temps et baiser sans conséquences, la était leur droit mais j'étais sur quen profitant ainsi de leur volonté, il allait leur dire pour le pari et rendre la vie de Coralie impossible, je connaissais ce type De personnes et il y en avait qui était pr

de la bande à avoir de petits traits wasian qui ceux de son front étaient couverts par ses cheveux brun qui retombaiant légèrement. Je ne pouvais pas faire autre chose que le dévisager en pensant fortement à ce qu'il avait fait à Coralie et il avait bien vu mon regard ce qui l'avait fait avancer peu à peu vers nous, je n'avais pas prév

u'est ce q

ouer avec les sentiments d'un

il vient vers nous... dis-je

tu l'aff

oi tu me regardes comme ça

lui as fait, lui dis-je en le regardant. Et

s qu'il ressentais une pointe de remord mais je ne le connaissais pas assez pour entrer dans son regard et déchiffrer tout ce que celui ci disait lorsqu'il regardait co

bougeaient pas, on aurait même pu dire qu'ils étaient des statues mais au delà de leur immobilité, je ressentais quelques chose entre eux, une sorte d'alchimie cachée des deux côtés et une attirance mutuelle entre les deux mais je ne pouvais pas leur dire tour ce que je ressentzks, c'était impossible surto

e suis

trouvé intéressant mais au final t'es qu'une merde comme t

d moi

kio à sa place, elle lui avait dit les mots exact pour le faire réagir ou du moins réfléchir et avait fini sur une petite petite qui me plaisait bien, "t'es qu'une merde comme ton groupe de pote" elle l'avait tuer en

er coralie qui marchait en direction de la buvette, il avait un sacré culot de la regarder ainsi, il la reluquait de haut en bas avec de petits yeux et une mine assez triste comme si il regrettait mais même si il avait ces regrets en lui, il n'avait pas le droit de faire ça surtout après ce qui lui avait fait l'a

je te g

le pense v

nais que depuis ce matin

toi d'ailleurs tant que j'ai suis, Cayd

s-je en souriant.

usaient de se donner la peine de laisser sortir cette alchimie et il y avait tellement de chose enfoui en eux qu'il était obligé que leur "relation" de l'année dernière était sincère et surtout très belle, je sentais cette alchimie et ces sentiments l'un envers l'autre mais j'étais personne pour leur dire ce que je voyais surtout que je ne savais pas vraiment si ce que je voyais était vrai, je voyais plus kio comme un badboy sans cœur qu'un homme romantique qui avait des sentiments mais il était vrai que, depuis que je l'avais