img Jamais sans toi - Tome 1  /  Chapitre 2 Chapitre 2 | 18.18%
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Historique

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 3704    |    Mis à jour : 17/08/2022

2: Qui vo

ésar K

rencontré Éliane ici, à Marseille, lorsque je venais d'arriver. Je viens du Congo comme Blandie et ses parents. C'est d'ailleurs ces derniers qui m'ont aidé à venir ici. Plus rien ne me retenait au Congo et étant leur voisin solitaire, qui faisait un peu pitié et

souffert par le passé. Et voir ses amis les plus proches profiter de la belle vie alors qu'on peine à joindre les deux bouts est vrai

mptes faire qu

dernière entrevue avec Blandie. À vrai dir

ils avaient voulu la marier à un moment donné. Relance l'affaire. Débarrasse toi d'elle et on en finit.

t épouser n'est pas ici. I

e me dis pas tout? C'est l'un des fils GREEN qui devait l'é

oit David. C'est un gamin turbulent qui ne reste même pas tranquille e

Éliane en me

que je...que Daniel me fait un peu...peur. Le petit e

is y ré

met à me caresser le torse. J'ai juste envie en ce moment de la renverser sur le faute

'elle. Tu es en train de la libérer de ce travail qu'elle

hose. Gérald le voulait de son v

ça. Mais là, j

s toute

ma langue. C'est dans cette même posture que je la pénètre sans crier gare, alors qu'elle est toute habillée. J'accélère mes coups de reins

é. Alors que nous sommes assis sur le canapé, Éliane a

onj

que je suis son ennemi numéro 1 sur cette terre. Bah vu qu'elle es

maison. Je d

e ce que je vais lui dire. Après tout je viens de lui

ntenant ? Bal

prise sur cette pet

je t'

de mes pensées. Je vois Blandie venir vers moi. Elle est en jean délavé et en t-shirt blanc, tout simple. Son sac en bandoulière ne quitte pas son épaule. Je n'arrive pas à détacher mes yeux de son

ce, finis-je

baissant la tête et en serrant son sac contre

vant de tes parents ils avaient voulu te marier et tu as

les souvenirs qui refont surface.

ouser cet homme que tu devais épouser il y a 4 années de cela

ois ouvrir de grands yeux, n'y croyant

rre de gâcher ma vie? Après m'avoir forcé à faire ce travail dégoûtant durant toutes ces années tu veux m

je la vois se jetter au sol, elle ra

ève

arier. Je t'en suppli

te lever ! Tu e

a soulève. Elle lui assène une bonne gifle qui

ce qu'il a dit? Ou tu

e au mur pour

rain de m'assurer que tu ne me fasse pas de coup bas à propos de l'héritage de tes parents. Ton mari est

empli de larmes. J'ai dit que je ne veux pas de cet héritage. Je

utôt le côté positif. Tu ne feras plus ce

veux me donner en mariage à l'un d

enir très loin de moi. Le

ndie Lyr

la refermer, malgré le peu de force qui me reste, je me laisse glisser au sol. Je tombe littéralement au sol, à genoux. J'ai beaucoup trop lutté pour avoir au moins quelque chose à quoi m'accrocher dans cette vie. Au fil du temps, je me rends compte que c'est p

aniel

en jetant le journal sur la table. V

ne faisons que reporter ce qu'on doit faire. Et il a décidé de rester aux États-Unis. Je savais que David allait finir par se jouer de nous. Enfin, de mon père. Et finalement tout retombe sur moi, bien évidemment. Je ne s

is appeler David tout de suite au lieu de te défoul

'y être impliqué ! Oh oui, ç

'obéir à ses ordres. Mais c'était sans compter sur David qui ne comptait pas épouser une parfaite inconnue. Mon père fut dans l'obligation d'inventer un mensonge. Il a révélé aux parents de la fille en question que David devait remplir une mission de 4 ans et qu'il n'était pas au pays. Autrement dit, David allait remplir sa mission et revenir à Marseille

er étant introuvable, mon père ne sait pas où donner de la tête et ça m'énerve car il remet sa colère sur moi. C'est moi qui en ramasse les pots cassés. Le plus énervant, c'est que David doit être en train de v

joindre, dit-il en me

quoi mai

'attrape ton frère je vais le tuer de

ébut. Mais bien évidemment tu le laisse faire

manière dont il a déserté le pays. Il avait promis de revenir mais c

t pareil hein, murmuré-j

Daniel? Rug

êtises et c'est moi qui doit réparer les pots

le cadet de mes soucis. J'ai bien plus important à faire. Qu'i

actère. Je suis beaucoup trop différent de mon frère. Ce dernier est trop immature, dépensier et bêtisier. Il ne prend rien au sérieux, même le travail. Et c'est d'ailleurs pourquoi il ne s'inclut pas dans l'entreprise. Lui

lant de ça, j'ai encore des séquelles de mon tout dernier combat de boxe. Je l'ai emporté haut la main. Il est vrai qu'on peut se retrouver amoché, mais la victoire nous fait t

orsque je ressors de là. Je ressors des vestiaires quelques minutes après, lorsque mon téléphone sonne, me stoppant dans mon élan. Et dès

ustres qu'on essaie de te joindre. T

as la peine de m

e parle comme je veux. Ne me fais

Je ne suis pas encore prêt à me case

ais je me rappelle que je suis b

st à moi d'encaisser dura

ntends

aises. Je te rappelle que tu es aussi de la famill

plus ex

dois forcément épouser cette

es un brouill

et. Le père de la jeu

édé, dis-je

ui a légué ses biens non? Je suis sûr qu'il veut ce mariage juste pou

ok? J'ai l'impression que tu oubli

ani

de rentrer à Marseille, je ne p

ernière fois alors que je tente de racc

a pas bougé du fauteuil. Elle nous écoute apparemment.

lement donné pour cette entreprise et si le seul moyen de la ga

me c'est que c'est toi qui

cet homme a dit à papa que l'un de ses fils doit ép

de le

Réponds moi. Il a dit que ça dev

tes moi qu

faire

m'étant un peu calmé. Je crois que je ferai mieux de rentrer. Cette histoire m'occupe tellement l'esprit que j'ai envie moi aussi de m'enfuir comme mon idiot de frère. Je ne suis pas obligé d'être le fils sérieux, surtout que lui ne se gêne pas du to

is-je en ra

re et je t'ai appelé plusieurs fo

ormément de choses à faire.

devine aisément. J'ai hâte alors, j'ai hâte que t

oi d

pas sembla

choses par leur nom

e r

bébé, passe une bon

e dois épouser une fille sortie de nulle part. J'ai à peine le temps d'y repenser que la vitre de ma portière vole en éclats près de mon oreille. Je roule immédiatement vers le s

conscient,

es sû

Il ne res

urveille nos arrières avec

pense. Sans réfléchir, je le tiens par les épaules et le projette hors de la voiture. Son pote se retrouve à terre également, n'ayant pa

z plus d'arme vous perd

e n'est

aissez

ous a e

urs ou si ils ont été envoyés par qu

à genoux, je

pas entendu? À

quitter du regard et me saisis du scotch. Je pointe l'arme sur l'un d'entre eux et j

donné-je en montrant

ami. Je lui reprends le scotch des mains et vais m'adosser à la

sachez que je ne vais p

l'un d'entre eux, celui qui n'était pas attaché. L'autre se met à crier de terreur,

onsieur César qui nous a envoyé pour vous tester. Je vous en

n le regardant. C'est quo

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