Lucienne à Dakar

pit

ans p

s à toi autant, j'ai toujours aussi mal quand je repense à nous. Tu me manque à m'en déchiré les tripes. J'aimerais tellement redevenir la fille qui comblait ton monde. Etre la fille qui a le droit à ces sourires, à ces baisers, à ces câlins. Je sombre dans ce monde qui nous appartenait. La nostalgie m'entoure et je ne sais même plus comment m'en défaire. Mais la vraie question est : est-ce que j'ai vraiment envie de t'oublier ? Oublier ce « nous » d'autrefois ? Je suis perdue, tout s'embrouille dans ma tête, c'est un vrai tourbillon, je m'essouffle, j'étouffe. J'arrive plus à respirer normalement quand je pense à toi. Tu m'as hypnotisé, et rien ne peut m'enlever de ton emprise.Tu resteras mon premier amour et rien ni personne ne pourra enlever les sentiments que j'éprouve pour ta personne. J'aurais aimé arrêter le temps, pour pouvoir rester dans tes b

elire cette lettre alors que tu ne so

ages pour réussir que de de garder les pieds sur t

ur un homme qui t'as sali pour

ce que tu comprends pas dans *

gnore même le sens de cette expression, le vrai. Qu'est ce que tu as à perdre Madjiguene? Pourquoi tu t'es renfermée sur toi-même ?parce que juste tu ne pensais pas te séparer de lui?Tu croyais qu'il resterait avec toi et faire de toi ta femme ? Bon sang ouvre les yeux . Tu sais le chagrin ,celui qui tue à petit feu n'a rien à voir avec ta douleur non , tu as demandé à ton monde d'arrêter d'avancer, ta terre

il m'a aim

t impossible, c'est parce qu'il as arrêté de croire en toi. Rétorque

une traînée, que c'est moi-même qui avait provoqué son fils, tu te rends compte ?la je n'ai plus nul part où aller avec ma grossesse, je ne pense pas aussi retourner

rtage le même sang avec ton défunt père ,c'est just

recieux nous liait à jamais Pleure Madjiguene. Pourquoi ma mère a préféré croire à sa belle soeur? Même si on lui a montré des photos de moi et un autre h

hérie, tout s'arran

in 5h55

i pour te rendre ce service, tu as toujours été présente dans nos vie

ierai jamais ce geste .Ton aide à ce moment si particulier de ma vie est un véritable cadeau. Mon cœur t'

n'es plus que l'ombre de to

hée et reconnaissante pour l'aide que tu m'as apportée...et je ne pourrai jamais te remercier assez. Tu ne peux

e l'âme ». C'est de tout mon cœur que je te remercie ,merci infiniment Marie, tu va

madjiguene i

e ma mère, mon frère ou mes soeur

,neko demna

la djanteu bé fegue ma gad

aaaaaaaa ,

pressi

résumé vous allez comprendre,

uh bien,c'est décor. On