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Historique

Chapitre 5 Ambiance

Nombre de mots : 2422    |    Mis à jour : 21/07/2022

Isa

ain – vil

iqué pour que deux de tes gars soient postés devant ch

u combiné. Il l'avait mauvaise mais je m'en foutais,

'est juste une petite visite de co

n con, qu'est-ce que

gin. Tu ne s

'tite chérie, galochez-vous, envoie-la au septi

déconné, frère ou pas, c'est mon poi

tu mettras pas ton nez là-d

a. Allez

. Il était en sécurité et pour l'heure, c'était tout ce qui m'importait. Il n'était pas au coura

as dire l

lui. Je lui rendais plusieurs services et en échange, il laissait mon frère vivre sa vie de la plus normale des façons. Petit pr

ulier le

était pas

cié. Les menaces devenaient de plus en plus insistantes mais je gérais. Jusqu'à aujourd'hui où il m'a cl

s commencé

mon frère. On s'était toujours soutenus, depuis gamins, depuis qu'on

la alma... ( Deux destin

avait suffisamment morflé dans sa vie. Je soupirai en faisant tournoyer mon verre, me ré

y avait S

vement tout merdé. Déjà qu'elle était partie furaxe hier soir à cause

il fal

rs à ce

heures. Heureusement qu'on avait rendez-

del

on bourbon d'une traite avant de le reposer brutalement sur mon bureau. Si il y avait bien une

e sur mon portable, quand des crissements

es homm

s ?

m'avançai vers

les gars de l

nt pa

n de son côté, mais les tonalités résonnèrent et je tombai sur sa b

Plus l

un des tiroirs de mon bureau et continuai d

aient

ux. J'avais peut-être une chance de pas trop me faire allumer. Mains dans les poches, je campai sur mes deux pieds en les attendant. Ils ne tardèrent

prise ! je lâchai avec u

r dans la pièce. L'autre homme, lui, avança un peu pl

n secouant la tête. Tu sais que tu nous mets da

temps, mon bras droit n'a

r derrière moi, je décidai de jouer la provocation. Je savais que je prenais un

a est pas

ntrain de jeter de l'huile sur le fe

tit rigolo

rétorquai-je avec un souri

u'une assurance erronée. Je n'allais

désola-t-il,

. Je ne réfléchis plus et envoyai un revers du coude à son acolyte poster derrière et l'accueillis lui, d'une droite s

ain

e desserra sa prise et je manquai de m'écrouler. Un rire gras et malsain lui échappa alors qu'il s'apprêta à m'envoyer un second coup mais je le pris de vitesse en dégageant mon bras. Je réussis à l'atteindre au niveau de la mâchoire. Sonné, il vacilla. J

olent qu'il nous

cherchai à me dégager, mais une des ordures me bloqua les coudes et me releva sans ménagement. Tiago

pour ma

i avant de l'assaillir de ses poings. Profitant de l'effet de surprise, je balançai ma tête brusquement en arrière. Son acolyte

regard

bruti au sol, son fling

fai

r, maintenan

a, grogna Tiago, mon père n

. Mais pour l'heure,

anchée à mon intention. Une fois partis, je m'autorisai à souffler de nouveau. Une main sur mes côtes douloureuses, je m'assi

e chez toi, finit

r ou lui dire d'aller se faire foutre pour m'avoir planté cet après-midi. Étant donné mon humeur massacr

t aux envions pour m'assurer q

quie

stai ainsi plusieurs minutes, mon cerveau carburant à mille à l'heure. Il alla

aac

ra

e pour la soirée d'hier. Pour ma part, je me fis la réflexion que si elle était

sse me

cheveux étaient relevés en un chignon, dégageant sa nuque. Une petite jupe noire et un top rouge l'habil

is qu'est-ce que t

iel devant son ton mor

lait pas s'y me

ifférent... approche, je d

côtés. Son regard passa plusieurs fois de celle-ci à mon

rs fâchée après

ican

sa

tu m'expliques ce que

us tard, là coupa

nt pour attraper sa main, mais mes côtes me rappelère

que t'as ?

ourcils et s'avan

chant. Vien

un gémissement de douleur. Mais je m'en foutais. Là, tout de suite, tout ce que je voulais, c'était sa proximité. J'en avais besoin. Mes mains dans son dos, je l'attirai d'av

entière m'

nt nous étions collés l'un à l'autre. Mais elle ne me repoussa pas. Bien au contraire. Elle me sollicita de plus belle en ondulant du bassin contre mon membre prêt à la posséder. Elle me rendait barge. J'émis un râle en capturant ses lèvres pendant que mes mains épousèrent les courbes de sa poitrine, un gémiss

ait mag

ain

Ses déhanchés se firent plus prononcés et m'enflaient d'ardeur ainsi que de tentation. Nous étions entrain de perdre pied, de perdre tout contact avec ce qui nous entourait. Une de mes mains continua ses caresses. L

'envie, e

tirance, j

er, ma beauté,

endis dingue. Je ne pouvais plus attendre, je bandais comme un taré. Mais alors q

obs

del

réflexe, je la collai à moi. Les bras cro

ules pour ça

e tu fous là

ien déserté. J'ai bien fait, apparemment, répliqua-t-il en laissant couler

torquer mais je l'en dissuadai aussitôt e

tu res

t reportai mon attention sur celui qui n'allait

e là ! or

a mater avec envie. J'étais pas stupide et j'étais un homme, moi aussi. Ce regard-

s. On a deux trois choses à m

en ricanant. Ignorant mes côtes sensibles, j

ra. J'en aurai

aac

lontaire vers l'extérieur. Il y avait des limites à ne pas

maniè

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