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Historique

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 2450    |    Mis à jour : 12/05/2022

stantanément. Comment avait-il pu m’embrasser av

as à quoi tu f

devait s’engager entre nous , j’en sortirais victorieuse, quoi qu’il m’en coûte. Tandis que John s’écartait, en se p

i à propos de

ct. Comment

entreprises que je souhaite acq

que chose, cela m’aurait

ce délicieux intermède ! Revenons aux c

’accompagner jusqu’à ma porte, mon fils n’aurait sans doute pas surgi comme un diable de sa chambre p

r le soutien de mes partenaires bancaires. A cet instant précis, je devrais être en train de travailler sur mes dossiers au lieu de bavarder avec ce pr

que tu me raccompagnes chez moi. Te revoir m’a causé un ch

e pas ce qui s’e

séduction ne l’avait pas dupé un seul instant. Lasse de cette dis

je me jette à ton cou. Sans doute ai

illa John . Tou

e rentre chez moi. J’ai commis un

ue tu t’en ailles, f

la colère, je l’agrippe et la serre entre mes doigts, tout en songeant à l’époque où cet homme brûlait d’amour pour moi . Alors, il réclamait constamment ma

r de m’exciter, je n’ai pas très e

ions au sujet du groupe memel sont toujours les mêmes ; au

n rire plein d’

s plans te concernant,

*

e l’a

our serait inaltérable. Quel leurre ! Après chacune de leurs rencontres, Linda disparaissait de sa vie jusqu’à la fois suivante. Lui en revanche pensait à elle constamment. Il n’avait qu’une idée en tête : clamer haut et fort leur amour. Quel idiot ! Leur liaison n’avait duré que quelques semaines, mais elle avait laissé des traces indélébiles en lui. Longtemps il s’était interrogé sur les motivations de Linda pour en être arrivée à le rejeter comme elle l’avait fait. Puis, il avait fini par se résigner : elle était une étoile inaccessible pour lui. Né d’un p

vait dû se contenter d’un deux-pièces insalubre, où ses frères et lui s’étaient occupés d’elle jusqu’à ce qu’elle décline puis décède. Il ne tenait pas Linda pour responsable de cette situation : il était le seul coupable. Acquérir le groupe memel

ans son appartement vétuste et, lorsque Linda le quittait pour regagner le somptueux logement de ses parents, il restait longuement accablé par leur différence sociale. Ayant toujours baigné dans le luxe, elle avait fini par se lasser de lui et s’était fiancée

s épouser

i que tu aimes !

és, John , mais je ne t’aime

rentre dans l’appartement. Il s’installe à son bureau et ouvre le dossier concernant le groupe memel . Ignorant les premières pages, il se plonge dans le chapitre qui avait trait à Linda . Le dossier contenait

it contracté trop de dettes pour pouvoir emprunter de nouveau et éponger ses pertes. Sans un apport de fonds important, le groupe serait condamné à la liquidation. John rêvait de voir se décomposer le visage de ces aristocrates hautains lorsqu’

*

nd

edresser le groupe memel , je pense en prenant place dans la

es baisers torrides échangés avec John m’a hantée, en m’empêchant de trouver le sommeil. J’ai revécu en pensée toute la scène de la veille, depuis le long périple en taxi jusqu’à notre a

cée, je me mets à faire les cent pas dans la pièce, puis je finis par Me rasseoir

me memel . Un certain John Yeo

hoix que de parler à John . Il ne l’appelait pas pour ressasser les événements de la veille ni pour prendre des nouvelles de ma sa

ancier ), pourriez-vous me

. Lorsqu’il fut sorti, je demande à ma secrétaire de m

it John de sa voix sensuelle.

en, merci.

un petit rire qui me glace le sang

ppelles, ce n’est pas pour me

e, le son de sa voix me ravissait, faisant naître en moi des

u l’as toujours été. Ne t’a-t-on jamais dit

ntenant ? Tu étais plus créatif autrefois, lorsque t

é... dans certains domaines, en tout

erais que tu en viennes au fait. Car, vois-tu, j’a

endre tes banquiers :

nouvelle de

je me préparer à avoir la tête tranchée ou as-tu songé

oujours ; mais cela fa

ruauté fait p

me c’est intéressan

sur le dos d’entreprises en difficulté. Si ce

i cruel que piétiner

briser le cœur de ses multiples conquête

eure des préceptri

ais John est un adversaire redoutable. Depuis notre retrouvailles, je vis dan

appelles-tu maintenant et comment sai

ce que c’est moi

ment est-ce

du temps à parler cr

té mes créanc

banquier, il m’a assurée de son soutien. Qu’il ait pu agir ainsi sans me consulter me sidérait. Jamais je ne l’aurais cru capable d’une telle ignominie.

gnore l’état de santé de l’homme qui avait fondé le groupe memel . Personne ne devait savoir qu’i

ent pas. Nous ne sommes pas en cessation de paiement et tu ne peu

encore en cessa

erons jamais, tu

, battons-nous !

isser maintenant

he. Et quand tu auras fini ta journ

s racheté nos créances, pas

sseurs ne te fassent plus crédit et le gro

à tout, n’e

a réponse à cette question.

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