uand je suis enfermé ici peut-être 1 heure ou encore plusieurs jour, j'ai perdu la notion du temps. Mon ventre grogne, il me fait mal, le creux présent dedans s’intensifie de
ce à lui. Je suis fort, maman me la toujours dit, bien qu'elle ne soit pl
à la poupée. Apparemment, c'est seulement pour les filles. Pourtant moi, j'aimais ça, jouet à la maman et au papa, en imaginant la vie parfaite. Maman m'avai
elle m'apaisait comme elle savait si bien le faire. Et elle m'avait chuc
, tiens bon un jour la lumière viendra éclairer l'obscurité de cette vie et ce jour-là ne la repousse pas, au contraire va v
que c'était la dernière fois que j'entendais sa voix. La porte qui s'ouvre brusquement me fait
êt pour ta nou
ecouvert de sueur. Je regarde l'heure
cauchemar. Même dans mon sommeil
ident de voiture. La voir dans mon sommeil ma chamboulée. Une triste mort, une chose me rassure, elle n'est pas morte sous les coups de cet enfoiré mai
visage, sa première réaction en apprenant la nouvelle résonne encore dans mon esprit
continué sa vie comme si elle n'avait jamais existé. Mais moi jamais je ne l'oublierai. Jamais j'oublierai ce que ce
mme le reste de mon studio, aucune luminosité ne traverse les volés, ceux-ci restent fermer. Je ne les ouvre jamais. Je n'en vois pas l'intérêt. J'active l'eau de la douc
e miss paillette. Je revois ses yeux aussi bleus que l'océan, ses longs cheveux blonds presque blanc, ses deux pétales rouges qui lui servent de bouche. So
sa langue qui humidifiait ses lèvres, je la revois toute décoiffer après m'avoir suivie, je repense au toucher chaud de sa main sur mon bras. À son odeur fleurie, à son corps moulé dan
h, b
Je me lave et sors de là, enroule une serviette autour de mes hanches et rejoins le salon qui sert également de chambre, cuisine fin br
nonchalance. Sans
ua
t ! Ce n'est pas que j'ai peur de lui, mais je devine d'avance son comportement, si jamais il vient à l'apprendre, il va ê
, et dis moi plutôt pourquoi
de savoir comme se po
mi, je me dois d'être honnête avec toi, d
le cœur avec son regard de merlan frit et pour couronner le t
u viens de me bris
en train de dramatisé. Comme je le dis t
et viens en au fa
pose dans le canapé, je sent la conve
comment tu te sens aprè
ux-tu que j
le voulais, mais j'ai su par Néla que tu avais discut
téléphone. La petite blonde celle q
bien grand mot on s'est juste expliqué. Mis
onnais cette voix criarde, je l'ai entendue et
as passer la nuit av
cord je ne
rde ! Hurle-t-elle
ui ne perd pas de temps, tss après tout ils se ressemblent, au
me fais chier, mais comme tu peux
est toi qui m'as appelé, j'étais très
sais ce que je vais faire, la nuit porte conseil, oui peut-être. J'enfile mes vêtements, simple et sombre, jean noir, veste à capuche noirs et basket noir, de quoi se fondre dans la masse sans se faire repérer. Je prends ma dose de nicotine et mon briquet. Je sors rarement, très rarement, la encore une fois, je vais faire un effort considérable, ça
L'enseigne rose fushia fixé au-dessus de la porte attire tout de suite le regard « À la bonne senteur », et oui je me retrouve là, je reste tapi dans l'ombre comme un putain de psych
on, elle porte des talons noir ce qui accentue sa chute de reins. Une belle chute même, je remonte mon regard vers son visage, elle a attaché ses cheveux, mais mon regard reste bloqué sur ses lèvres, le même
, ça re
ire n'est pas le même qu'elle me porter hier soir. Il est plus faux, professionnel. Une fois les salutations finies, elle déverrouille la porte et s'enfonce
de me harce
'exaspératio
eux q
z toi, mais tu ne me réponds pas, c'e
pas c'est tout simplement parce que je ne suis pas
lat. Juste sa respiration. Mais
toi sans moi pour te
le combiné de mon oreill
putois abrutie, tu
ma surprise quand même ! Je veux tout savo
tenant un gros pot de fleurs qu'elle place deva
art, j
ent de détente fini pour moi, retour à la maison. Et je sens que ça ne va pas être de tout repos, je sai