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L'impact du flocon

L'impact du flocon

Auteur: promotion
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Chapitre 1 No.1

Nombre de mots : 1150    |    Mis à jour : 15/12/2021

ette, une étoil

et son dire

le pour leur amo

i a embel

trie san

ans qui je n

than et Louna, grâc

enture, à toi de

rie

un

si tu dois te battre, mieux

santé. La chaleur est oppressante, le soleil écrasant, l’air absent. Il n’y a pas le moindre vent. Les drapea

est au zénith, pour qu’il ne nous aveugle pas. Le match a commencé depuis une minute. Il

té impressionnantes auxquelles j’oppose un style trapu et massif. Je me sens désespérément blanc. Pour conserver l’initiative, je multiplie les assauts. J’attaque sans cesse. J’ai bien conscience de brûler la

’asphyxie. Je n’arrive pas à reprendre mon souffle. Mon rival est plus patient

peur, et quand les deux pactisent, le pire est à craindre. J’attaque trop fort, trop vite.

oir, une situation dans laquelle un mauvais choix initial

ucoup moins blanc, je n’ai en rien gagné en élégance. Je m’écroule sur un taboure

quo. On collabore bien sûr avec les forces locales, quelques régiments étrangers et, surtout, les services de renseignements américains. En termes opérationnels, on identifie des cibles, principalement des groupes salafistes djihadistes, et on les neutralise. On essaye de couper des filières d’armes

a été monté à l’extérieur. C’est un exutoire pendant les longues périodes d’a

Le sol est constitué de tapis récupérés sur les marchés. Il est recouvert d’une toile de tente kaki. Elle est toujours un peu sableuse, ce qui rend le sol glis

pays n’est pas un choix judicieux. Ce n’est même pas une décision. C’est le fruit de mon histoire, l’appel de la fierté. L’orgueil m’a entrainé. J’ai voulu plaire et impressionner

t te calmer. Donc tu arrêtes de

aussi tendu et dégoulinant que moi. Je le sais complètement solidaire. Il vit physiquement le mat

maintenant, lieutenant, affirme mon cap

t, attaquez ! surench

ntendre le capitaine Stark dans la

etites secondes pour respirer, boire, retrouver confiance, éco

mble des officiers, dont mon chef de corps. Ils ont pris soin de s’assoir avec ceux d

regroupés sous leurs bannières respectives en plein soleil. Même a

mon sparing partner régulier, Jason. Ils ne sont pas bas

être aimé, comme quoi on ne change jamais. À l’opposé du Malien, je ne viens pas d’un univers où l’on doit savoir se battre pour survivre. Ma ban

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