lie
i dans mes mains pour éviter d'inhaler davantage de pollen. Je n'avais pas e
emanda-t-il, l'accusation dans chaque syllabe. « Pour
ur. « Tu deviens de plus en plus déraison
e de mon corps tremblait de colère et d'indignation. Mais au lieu d'u
étranglée, pleine d'une douleur insurmontable. « Ou bien c'est
rir à mon chevet si j'avais une crise. Ils séchaient mes larmes, me forçaient à manger. Ils manquaient l'école, leurs ye
sa ses yeux d'ordinaire si calmes. « Je... je suis dé
ait à quel point j'étais mal. Il fit un pas vers moi. « Tu vas bien ? » demanda-t-il, sa voix tremblante. « C'ét
lencieuse. S
peu des couleurs. Sans un mot de plus, ils se
tements restèrent plongés dans le noir. Mais je n'y prêtai aucune
près de moi, ils avaient acheté les deux appartements voisins
ls rentrèrent. Victor, le visage froid, me f
xpliqua, tremblant : « C'est... c'es
èrent sur moi, pleins de colère. Ils étaient sur le poi
is-je d'une voix ferme.
? » demandèrent-ils à l'unisson.
Tu es encore en colère ? C'est pour ça que tu nous quittes ? » Il s'
. « Non, ce n'est
à cause d'eux. Je ne voulais p
eau travail. Ce n'est plus pratique de vivre ici. Et puis, ça fait des années qu'o
Si c'est pour le travail, on peut t'y emmener. On a
e peux te trouver un ch
nais pas pourquoi ils insistaient aut
nez tant à rester ensemble... on pourrait vendre cette maison, e
tèrent, un instant. Puis Gaspard, incapable de résis
es sûre de vouloir inviter Marion à vivre avec nous ?
s tous amis ! C'est décidé, alors ! On vend
rent plus

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