iers quatre à quatre, me laissant seule, un problème abandonné dans le couloir. « Jade ! J'arrive ! Qu'est-ce qui ne va
sement de Jade. « Elle... elle m'a attaquée, Adrien ! Elle m'a poussée ! Elle est si v
ra. Une fausse acc
umière dangereuse. Jade s'accrochait à lui, la tête enfouie dans sa poitrine, émettant de doux gémissements. « Éléonore ! Comm
que. Le bébé dont je ne savais rien, le bébé dont il n
Elle a cassé ma canne, elle m'a tourmentée, elle a tout avoué ! » Mon cœur battait à tout romp
! Tu n'es qu'une infirme cruelle et manipulatrice qui s'en prend à quiconque représente une menace ! » Il attrapa mon bras, sa prise me faisant mal, et traîna mon fauteuil roulant plus loin
es larmes coulant enfin sur mon visage. « T
nt. « Tu ne lui parleras pas comme ça ! Tu ne parleras pas du tout ! Tu n'es qu'un fardeau, le rappel d'une vie que je n'ai jamais voulue ! » Il pointa un doigt tremb
ses fausses larmes, croisa mon regard par-dessus l'épaule d'Adrien. Un sourire triomphant et venimeux se répandit su
aveuglante me traversa la tête en heurtant la surface dure. Mon corps, déjà fragile, hurla d
e tenant le ventre. «
du choc. Les fausses larmes qui avaient été si convaincantes quelques instants auparav
s yeux momentanément adoucis par une lueur qui aurait pu être de l'inqui
nte de dégoût. « Jade, mon amour, ça va ? Ne la laisse pas t'atteindre. Elle essaie juste de te contrarier. » Il enroula son bras autour de Jad
voix rauque, désespérée. La douleur dans mon ventre s'intensi
pourvu de toute chaleur. « Tu es pathétique, Éléonore. Tu es un poison. J'en ai fi
e mais claire, un murmure triomphant porté par le vent. «
ntensifia, un feu dévorant. J'essayai de bouger, d'appeler à l'aide, mais mon corps refusai
sonnait dans tout mon corps, un rappel constant de la chute. J'étais dans un lit d'hôpital, les draps blancs et impeccables u
tremblante. « Oh, Madame Kelley ! Vous êtes réveillée ! Dieu merci ! » sanglota-t-elle, sa voix rauque d'émotio
ix faible et rauque. Ma gorge était sèche,
eler, mais il n'a jamais décroché. J'ai même appelé l'hôpital où était Mademoiselle Jade. Ils ont juste dit que Monsieur Kel
ndon. Des larmes montèrent à mes yeux, un témoignage silencieux de sa cruauté. Ma poitrin
« Madame Kelley, je suis le Docteur Martin. Je crains d'avoir de très mauvaises nouvelles. » Il marqua une pause, son regard doux mais ferme. « Vous
nnaient dans mon esprit, un glas pour mes espoirs, pour mon avenir, pour la petite étincelle de vie dont je ne connaissais mê
e mais insistante. « Pour éviter les complications. Nous avons essayé de contacter votr
e bébé. Le bébé que j'avais voulu, le bébé qu'ils avaient volé. « Non, » murmurai-
'un désir brûlant et inextinguible de vengeance. Mon bébé était parti. Mon amour était brisé. Ma vie, telle que je la connaissais, était t

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