n larmes, en train de supplier ou de hurler. Celle qui se serait accrochée à lui, désespérée du moindre signe de réconfort. Mais cette C

me regarder dans les yeux. Mon regard était fixe, inébranlable. « Si tu franchissais

gacement – a traversé le visage de Damien. Ses yeux se sont détournés une fract

bien que chaque mot soit un coup de marteau. « Tu as dit que je 'contrôlais' tout et que tu avais besoin d''espace' loin de mon

n tenait sur le plan de travail. Le sac en cuir coûteux a glissé sur la s

as quand j'avais parlé pour la première fois, créant subtilement une distanc

s à jouer la victime. Elle sait que tu décompressais juste avec ton meilleur ami, mais il faut qu'elle ramène tout à elle. » Il s'est retourné vers

Damien était un mélange de confusion et de colère, mais il n'a pas corrigé Brand

ais eue. La façon dont Brandon s'immisçait toujours, déformait toujours mes mots, validait toujours les pires

Tu sais que je ne le pensais pas comme ça. Brandon m'énerve parfois. Il ne comprend pas notre relation. » Ses yeux, habituellement si confiants, étaient maintenant suppliants, presqu

plus tôt. Pendant ce temps, Brandon m'adressait un sourire triomphant et entendu. « Il parle même de maria

'air, lourd et fragile, comme u

de paix. C'était après que je l'aie trouvé, non pas avec une autre femme, mais avec Brando

âteux d'alcool et de mépris. « Toujours inquiète pour quelque chose. Tou

le sable. « Damien, ton meilleur ami se moque de moi. Il

sible, Cécile. C'est juste des discussions de vestia

m'avait traitée d'« égoïste » pour vouloir qu'il donne la priorité à notre relation. Il m'avait traitée de « folle » pour m'être s

oint, hystérique et inquiète. « Cécile, pourquoi tu fais toujours autant de ciném

Damien, s'il te plaît. J'a

Prends un calmant. Je rentrerai qu

porte maintenant, si tu donnes la priorité à Brandon et à ce voyage plutôt

ritation et d'autre chose, quelque chose que je ne pouvais pa