ue d'Adèle
r une toile numérique, traçaient maintenant les bords rugueux du bois flotté sur une plage déserte de Bali. J'avais trouvé un petit studio ici, loin des gratte-ciel étincelants et de l'opulence suffocante du monde d'Amaury. J'étais
lptée à la main, attendant leur voyage. Je portais maintenant une simple alliance en argent à l'annulair
couchers de soleil peindre le ciel de teintes ardentes. J'appris à surfer, appris quelques rudiments d'indonésien, et trouvai une jo
ouches à une pièce particulièrement vibrante, une voix famili
ue mes fans s'attendent à du luxe cinq é
pas possible. Pas ici. Pas dan
avec le chaos coloré du marché. Et s'accrochant à son bras, une Gisèle furieuse, ses lunettes de solei
n souffle se coupant dans ma gorge. C'était impossible. Je
crispée. Il avait l'air différent. Hagard, peut-être. Une légère barbe omb
la foule, son regard balayant les visages, cherchan
. « Quoi ? Les serveurs de données ? Qu'est-ce que tu veux dire par compromis ? Qui oserait... » Sa voix tomba dans un mu
sèle, inconsciente, tira sur son bras. « Amaury, ch
ence désespérée se mêlant maintenant à sa colère. Son rega
uhaha du marché, les plaintes de Gisèle – tout s'évanouit dans le néant. Ses yeux, si semblables à
ant son bras de sa prise avec une
bougea
la foule de touristes et de locaux. Mais il était plus rapide. Sa main se refer
voix un son brut, primal. «
n de le harceler, on dirait ? Espèce de petite sangsue pathétique. Tu ne peux pas le laisser tranquille ? »
était fixé sur moi, intense, désespéré. « Pourquoi n'as-tu pa
s. « Tu l'as pris ? Mon serveur de données. C'ét
it pour traiter ses accusations, sa pré
x à peine un murmure. « Tu n'as aucun dro
tu étais ma femme ! Pendant cinq ans ! Tu ne peux pas simpleme
e nouveau sur son bras. « Elle t'a probablement suivi jusqu'ici pour t
dois rien. Mais tu me dois probablement un câlin, vu que je
e je n'avais pas vu depuis des années. C'était un vieil ami, un collègue graphiste, quelqu'un que Julien et moi avions bien connu avant qu
tira doucement loin de la prise d'Amaury. « Ça fait longtemps, Adèle. J'ai
Léo », murmurai-je, le soulagement m'envahissa
sacrifice... ça a enfin payé. » Il regarda Amaury, son sourire s'effaçant, remplacé par un regard d'acier. « Elle a trav
uciait vraiment de ce frère astronaute à toi ? S'il te plaît ! » Elle se tourna vers Léo en secouant la tête. « Tu ne connais manifestement pas cette femme. C'e
t écarquillés, une horreur naissante se propageant sur son visage. Il
ne compréhension soudaine et terrible. « Sacrifice ? Pour... pour qui, Adèle ? » Il
ourde de vérités non dites. Je croisai son rega
e, le nom un vœu sacré, une réponse finale e

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