ue d'Adèle
mais aucun mot ne sortait. Après un long moment, il hocha lentement la tête, un seul mouvement décisif. Il vida son verre, le posa
balustrade, la serrant fermement, essayant de me stabiliser. Les cinq dernières années avaient été une usure constante, physiquement et émotionnellement. La façade avait été épuisante à mainten
e voir, obtenir la signature des papiers du divorce, me libérer vr
oix d'Amaury, épaisse de satisfaction. « Adèle ? Toujours
pouvais pas. Mon corps me semb
te souris a enfin trouvé sa voix. "Je pars ce soir." Quel charmant sen
. Tu n'auras rien. Pas un centime de mon argent. Pas d'héritage. Pas de pension alimentaire. Tu retourneras à ta
it du bruit de fond, les échos d'une vie que je quittais déjà. Son
a joue. C'était une larme d'épuisement, de libérat
ée que je ne joue pas ton petit jeu. Tu voulais que je te supplie, n'est-ce pas ? Que je te dise à quel p
nant toujours le médaillon, plongea dans le petit sac que je portais et en sor
ré le tremblement de mes mains. « C'est fini. Tu peux avoir Gi
sse en mépris. « C'est une blague ? Une sorte de test élaboré ? » Il m'arracha les papiers des mains, son regar
être la parfaite épouse silencieuse, tu ne veux soudainement plus rien ? Tu joues à un jeu dangereux, A
e champagne, glissa sur le balcon. « Elle ne joue pas à un jeu, chéri. Elle est juste pathétique.
t ton attention. Elle pense qu'elle peut rivaliser avec moi. Après tout. » Elle fit un geste dédaigneux vers ma robe
Amaury. Ma tête tournait, ma vision
à peine plus qu'un murmure, mais empreinte d'un a
une rage brute et nue. Sa main jaillit, saisissant mon bras avec une force brutale. « Mascarade ?
térieur du penthouse, ses mouvements saccadés et agressifs
ouloir faiblement éclairé. « Gisèle, attends-moi d
on... » commença Gisèle, sa v
x brillant d'une fureur possessive que
, puis s'enfuit, ses talons hauts c
quasi-obscurité. Il me plaqua contre le mur, son corps se pressant
ngereusement basse. « Tu crois que tu peux simplement pa
t ma peau. « Tu ne sais pas comment ça marche ? Tu ne m
e goût de la colère et du désespoir. Je me débattis, poussant contre sa poitrine, mais ma force me
yeux brûlant d'une sombre intensité. « Tu veux être mère ? On peut commencer
n tordue. Je gémis, un son de pure misère, alors que de nouvelles larm
e mais insistante, perça la porte. « La voitur
Adèle ? » murmura-t-il en pressant ses lèvres sur ma jo
dans l'encadrement, le visage sombre. « Amaury ! Qu'est-ce que t
ntion des tabloïds, du scandale public, sembla percer sa ra
me relâchant brusquement. Il bouscula Jovan,
mon épaule. « Adèle, ça va ? » demanda-t-il,
luttant toujours pour reprendr
ant Amaury s'éloigner d'un pas furieux. Il me rega
médaillon caché sous ma robe. Il était toujou
ix rauque. « Je ne le détes

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