Hanté par son Âme Sœur : Le Regret de l'Alpha

au jour de ma vie. Au lieu de cela, je gisais au fond d'un

our appeler Mathieu, mon compagnon

u'il viendra

onné dans ma tête,

nte pour ma lignée. Meurs en silence, q

'ai senti les crocs des

e. Mon esprit est resté enchaîné à

re cadavre trait

i annoncer en tremblant : « A

a simplement souri en sig

'enfant aurait été au

pour défier la tombe. Il ignorait que je n'étais pas une simple

tre débarrassé de moi, les portes du B

un spectre, mais comme l'inc

ée, j'ai regardé mon m

ink, j'accept

pit

a P

mes vêtements en lambeaux ; elle s'imprégnait dans ma chair

remb

ièvre dévorante qui semblait c

it ce

ix-hu

c une ferveur religieuse, l'instant sacr

c'était une con

territoire des Rogues - ces loups solitaires, dément

, se rapprochant dangereusement. Cha

versa l'échine, comme si on brisait ma

anchit la barrière de ma gorge asséché

hift. La tra

corps humain, trop frêle, céderait sous l'

à l'aide. C'étai

vitales pour activer le *Mind-Link*, ce lien télépathi

hieu

souffle, un murmure brisé se p

lie... Ils arrivent. J

e. Une chaleur familière, él

ntre mes côtes, cherchant désespérément la

ée à lui, l'Alpha de la Meute Delau

e s'étira, lourd, c

e ne portait aucune inquiétude. Seulement un mépri

s fatigué de tes manipulations pat

salées, se mêlèrent à

ur rance et musquée des Rogues envahissait mes narine

e mot comme un coup de fouet. *Une Wolfless. Tu ne te

ssa au-dessu

espoir insensé. Espérant voir son visage. E

t qu'un nuage

e brutale fit grésiller

ana des buissons, à qu

et fous, brillaient dan

la terre pour fuir, mais mes jam

oix de Mathieu revint. Mais cette

eur, ou peut-être avait-il laiss

ie, ma d

issais pas. Une voix tendre, aimante, dén

ur ce soir. La nuisance

leur bien plus vive, bien plus tranchante qu

lou, l'image de Mathieu caressa

entremêlaient d

et le musc puissant de l'Alpha - un

ynthétique de roses trop su

dant que je mourais seule

r un Beta de la meute voisine, une fuite accidentelle dans le réseau mental

c'éta

pas. Il ne vi

'obstacle à abattre pour qu'il pui

devenant insupportable, ma vision

egard, il y a des années, quand il m'av

tégerai touj

men

voulu de moi. Il a

e fois l'obscurité de mon esprit, froi

on de te Rejeter. Tu n'es plus ma compagne.

it la

nfoncèrent dans mon épaule, dé

. Je n'en avais

noir, cherchant désespérément

souffle court. *Si c'est mon destin,

uitter, où le froid de la mort co

ange explosa da

it pas l

t. D'ancien. Une force primordia

te et pure, jaillit de mon co

le n