étoile filante. J'avais entamé ma première année d'université en septembre, et je m'en mordais déjà les doigts. Les salles de cours, les exposés, les regards sévères des profs : to
sorte de célébration hybride où se mêlaient Noël, mon anniversaire et ceux des trois autres membres de la fa
ec moi mes deux partenaires de toujours : Jordan, mon frère aîné, champion du ronchonnement, et Katie, ma petite sœur, douce comme
a conscience de mon grand frère, même si c'était surtout lui que je visais. « C'es
au ciel avec un air f
on ne survivra pas à toutes les corvées que tu vas n
. Parfois, il vivait d
der dans un instant, je termine juste
l'enlacer. «
le connaissais trop bien. Peut-être que je n'étais pas une tyran, mais je savais devenir implacabl
ne senteur étrange, presque envoûtante. Je n'eus pas le temps d'y réfléchir
ant à son cou avant même qu'il ait eu le temps de dir
erra co
ne vis que pour c
s voir sourire, créer quelque chose qui leur laisserait un souvenir précieux. Cette fête-là avait un goût particulier : ma petite co
el en train de fondre. Une fragrance délicieuse... et,
tête, une
MON ÂME SŒUR
te à bondir, à tout renverser pour suivre c
ŒUR ! MON
rôle. Ma louve leva le nez, cherchant f
ache-t-il ? Est-ce qu'il m'
ulaient dans ma tête,
s'il n'avait jamais existé. Comment était-ce possible ? Seuls les sorciers étaient capables de mas
nt vers la ville, dans les bois, encore et encore. Rien. Pas une em
se sourde
aison. « Qu'est-ce qui cloche chez moi ? » Les larmes brouillaient ma v
e broya
mais de compagnon. Jamais de
rine si fortement que j'avais l'i
maison, j'entendis les pas puissant
age. « Ems ? » Sa voix se fit douce alors qu'il me soulevait pour me se
aujourd'hui, papa. C'est po
ion s'éclai
leux ! Alors, qui es
ouai l
en. Il était là..
un mot, il m'emporta dans le salon et s'installa dans mon fauteuil préféré, près
-moi exactement ce q
ne pâtisserie en plein hiver. J'ai suivi la trace dans les bo
lle avait ét
tait pas un sorcie
-t-il en me caressant les cheveux. « Tu es assez âgée maintenant pour sentir ton comp
rtant, quelque chose en moi savait déjà que celui que j'avais
ma

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