Les secrets de l'épouse négligée : Rayonne maintenant

is ans. Mais alors que je harcelais son téléphone, qui basculait directement sur sa messagerie, lui était e

depuis trois ans, la bienfaitrice secrète qui av

une vidéo de mon traumatisme le plus profond, le plus intime, à t

e, le cœur brisé

ensaient que je n'étais qu'une pauvre épouse

monde entier qu'ils essayaient d'impressionner depuis le début. Et je viens

pit

vue d'Éli

ssagerie, au moment même où Alix Antoine, mon ennemie jurée depuis l'enfance, souriait d'un air narquois en désignant l'hélicoptère privé qui atterrissait non loin. «

. Son cercle public ? J'étais invisible. Chaque tentative de le présenter à ma mère, de lui montrer l'homme qui était censé me rendre he

cruelle et répétitive où j'éta

d'habitude si vifs, contenaient une supplique désespérée. « Élise », murmura-t-elle, sa vo

nua en moi. C'était ça. L'u

on téléphone. Baptiste. Il fallait que je joigne Ba

une fois.

fois. Encore

ième fois

t sans réponse, engloutis par l

apper. Je restais près du lit de ma mère, les larmes coulant sur mon visage. Mon r

sa voiture de luxe, un sourire venimeux aux lèvres. S

habituellement agaçante, était maintenant chargée d'une couche supplémentaire de mo

e de ma mère serra la mienne. Je devais me conce

llicitude. « Pas de mari charmant qui accourt à ton chevet ? Ah, attends. C'est probab

e avait toujours su où

aigneux vers l'hôpital. « Ma chérie, c'est Gaëlle, ma sœur, qui épouse un homme riche. Un mariage ext

nt en poignards. « La fête de mariage de Gaëlle va faire parler tout Lyon.

ée de chaleur envahissant mon visage. Je serrai plus for

plus fort. Une ombre s'abattit sur le parc de l'hôpital.

'air en un vortex violent. C'était celui de Baptiste. Je le savais. L

ant en moi. Il venait. Il le devait. Il se précipitait au

ulagement, si profonde qu'elle faillit me faire plier les genoux, me su

s et triomphants, étaient fixés sur l'hélicoptère. Elle sautillait

nt frénétiquement l'appareil. « Le mari de Gaëlle !

coup de poing dans le ventre, me coupèrent le

mphant. « Pas pour toi, Élise. Jamais pour toi. Tu pensais vraiment

les, de donner un sens à l'impossible. Baptiste. Gaëlle. Maria

n smoking blanc immaculé, un sourire radieux aux lèvres. Il tendit la main, non pas à moi, non pas à ma

j'avais épousé en secret, se mariait avec une autre. Jus

rise dans les yeux, avant que son visage ne devienne vid

le vrombissement de l'hélicoptère et le bavardage excité des invités. J'avais l'impressio

, attrapa mon téléphone. Il ne me re