vue d'Éli

sant un sourire éblouissant, comme si mon cœur brisé et ma mère mourante n'étaient qu'un bruit de fond. Il prit sa main, la serra e

a avec la réponse presque immédiate de Jonathan

e larmes, mais d'un feu froid et dur. L'Élise désespérée et suppliante avait dis

les décorations de mariage tape-à-l'œil. Des guirlandes de soie blan

tulle blanc drapée sur une arche de jardin. Avec un grognement gut

ix était perçante, teintée d'incrédulité. Elle tapa du pied, une démonstration puérile d'impui

rachai une autre guirlande lumineuse, puis un bouquet de lys. Chaque déchi

urmurer et à pointer du doigt, t

ment traversant son visage. « Élise, arrête ça tout de suite ! » ordonna-t-il,

it comprendre. Je marchai droit vers l'autel, semant des décorations déchirées dans mo

ntre lui. Elle gloussa, les yeux baissés, une rougeur sur les joues. Il n'avait jamais été timide avec moi, n'avait jama

dant : « Embrassez-vous ! Embr

ma poitrine. Mon esprit rejoua chaque moment où il m'avait reniée, chaque fois qu'il avait refusé de rend

, déchira mon espri

chirées que je tenais encore. Elles volèrent dans les airs, frappant Baptiste en plei

« Qu'est-ce que c'est que cette mascarade ?! Et qui est-elle ?! » Mon doigt, tremblant, pointa Gaëlle.

s yeux, bien que toujours assombris par l'irritation, rencontrèrent les miens. Ils s'écarquillèrent légèrement, observant mes yeux rouges et gonfl

mure de regret ? Une pointe de pitié ? Mon cœur, malgré tout, sursa

enfonçaient dans mes paumes, se relâchèrent lentement. J'avalai la boule amère dans ma gorg