img Le Rat dans l'ombre : Sa chute  /  Chapitre 2 | 15.38%
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Historique

Chapitre 2

Nombre de mots : 1166    |    Mis à jour : 14/11/2025

vue de Cl

e dans un tunnel, chaque pas était lourd. L'élégante Mercedes noire d'Adrien attendait bien au bord du trottoir. C'était une vision

ssager, ma main s'avançant déjà vers la poignée. Mais

olés mais subtilement triomphants. « Clémentine, ma chérie ! Tellement désolée de t'avoir fait attendre », roucoula-t-elle, sa voix écœurante de do

, un éclat de défi qui démentait son ton mielleux. C'é

elui qu'Adrien m'avait offert pour notre premier Noël ensemble. Mon plaid, la chose la plus douce et la plus

ubmerger. « Isabelle », dis-je, ma voix plate, dénu

e n'avait pas l'habitude que je sois si directe. D'habitude, je sour

vulnérable. « Léo, mon trésor, pourquoi n'irais-tu pas att

mença à se détacher. Mais avant qu'il ne puisse

n du retour. » Il marchait vers nous, un sac de pharmacie à la main, son visage gravé d

issant de larmes. « Léo a besoin de moi. Et ce

s bête, mon amour. Je m'occupe de Léo. Clémentine, s'il t

sa véritable femme. J'ai vu la façon dont ses yeux s'attardaient sur Isabelle, une tendresse qui avait depuis longtemps disparu quand il me regardait. C'était un regard tendr

sé, de maintenir l'illusion d'une vie parfaite. Un enfant pour masquer les fissures, pour m'emp

ure, loin d'eux. « Non, Adrien. Isabelle peu

tremblant. « Adrien, je ne peux pas. J'ai la tête qui tourne. Je crois... je

drien, ne la laisse pas partir ! » hurla-t-il, sa voix perçant le calme de l'ap

nts nous dévisageaient. Cette démonstration publique était exac

ment dans ses yeux. Il me fit signe de monter dans la v

yable et suppliant. Ses yeux étaient grands, remplis de

la FIV. Ma tête tournait. J'ai alors compris ce qu'il faisait. Il essayait de me forcer à monter

efusé de jo

celui que j'avais préparé pour la période de convalescence après le transfert. J'ai ensuite détaché le siège auto qui avait été installé à l'arrière, ce

je, un rire amer s'échappant de mes lèvres.

tre se baissa. « Clémentine ? » C'était David Yates, un chercheur senior

is le siège auto dans la poubelle. S

e en secouant la tête

hension se lisant dans ses

oiture, Isabelle toujours accrochée à lui, Léo pleurant encore. Ils ressem

une seconde d'hésitati

s'éloignait du trottoir, que notre mariage n'était pas seulement en difficulté. C'était un navire en train de couler, rapidement,

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