LA COMPAGNE INTERDITE DE L'ALPHA

me, les gants résonnant sous mes coups répétés. L'

mêmes combinaisons jusqu'à ce que mes bras protestent. Ce n'était pas un pro

is au petit matin. J'avais mis toute mon énergie dans ce m

sa un sourire malgré

-il. Sa fierté, visible sur son visage,

e dirais que t'es pas une f

, Jim, ré

fit tirer la tête ; il trouva cela encore plus drôle. « Tu t

e et encaissent davantage. Et la plupart manquent de jugeote pour coordonner leurs gestes. Pensée inav

s en retard à ton cours. En levant les yeux, je constatai qu'il avait raison : depuis que grand-père avait c

dis-je, puis je me précipitai vers les

en boucles naturelles. Jean, t-shirt, sweat à capuche - tenue sommaire, pratique. Les premières an

. Pas au niveau des anciens de ma lignée, ni de tous les miens, mais certainement plus q

e ton champ de vision ou quand un obstacle surgit - un don que, selon la légende, la déesse de la lun

ce programme ne faisait que répéter ce que les précepteurs de mon grand-père m'avaient enseigné durant l'enfance. Jusqu'à dix-huit ans,

: moins de règles paternelles à respecter. Les seules contraintes que

occupait le poste de Bêta sous l'ancien Alpha. Cet Alpha fut tué lors d'une attaque il y a quelques années ; son fils

s ma mère de disparaître un week-end à quinze ans et de revenir au milieu de la colère familiale. Pire encore : sa grossesse fut révélée

qu'on n'aurait pas la preuve que ma transformation se déroulerait normalement.

de mes dix-neuf ans sans avoir connu la transformation complète. Pourtant, je possédais déjà vitesse, force, sens aiguisés et instinct de combat. J'étais pl

arler, ou était-ce l'usure des ans ? La honte et le déshonneur entourant sa gross

sa volonté - grand-père ne l'aurait peut-être pas toléré. Après sa disparition, j'ai principalement vécu chez mon oncle Wesley e

suadée qu'il me hait. Ses exigences envers moi étaient démesurées ; il

e publique avec mes cousins ni de mener une enfance classique. On m'imposa un programme intensif : entraî

r un peu d'honneur familial. Mais mon dix-huitième anniversaire passa et il devint évident que je ne devais pas me métamorphoser comm

ordonnait. Ses paroles pesaient sur nous comme une contrainte irréfutable. Malgré mon obéissance, la plupart des familles i