le
orte quel argument n'aurait pu le faire. Il me fi
j'ai tout prévu' ? » exigea-t-i
. Tu as ton plan, et je devrais
libérément provocatrice. Tu crées un pr
commencé à faire mes bagages. Méthodiquement. Impersonnellement. Chaussettes, sous-vêtements, deux ensembles de vêtements pratiques
. Nous riions, jeunes et incroyablement heureux. Pendant un instant, une vague de chagrin m'a submer
tranger froid et pragmatique dans l'autre pièce. Ce n'étaient pas la même p
de mon bureau et j'y ai laissé tomber le cadr
as sentimentale. Il
sure de la porte. Il m'avait suivie. Ses yeux étaient f
sans le regarder. « Dix kilogr
e. Je suis allée dans la chambre de ma mère, je l'ai aidée à emballer ses affaires es
ées en silence. Baptiste et Katia se sont blottis dans son bureau, chuchotant et m'excluant ostensiblement. Je m'en fichai
e obscurité troublante, ponctuée de cris lointains et du fracas occasionnel de verre brisé. Le générat
r d'eau de la cuisine était programmé pour libérer une quantité stri
éfrigérateur. C'était Katia. Elle tenait un verre rempli à ras bord de glaçons, et elle laissait l'eau purifiée du distribut
gée, comme une enfant pr
ment la porte du réfrigérateur. « J
'étais trop fatiguée pour être furieuse. Tout ce que
ud », dis-je, d
plus », dit-elle rapid
dans l'embrasure de la porte, attiré pa
ent Katia. « Je n'arriva
goulinant de condescendance. « Pour l'amour de Dieu, Adèle, elle est sous une pression énorme.
'inquiétais de nos ressources vitales qui dimi
ervation – ce n'était pas pour nous. Ce n'était pas pour moi. C'était pour s'assurer qu'il y en au
ste. Un lent sourire triomphant s'est étalé sur
cuisine. J'ai ouvert le garde-manger et j'ai pris mon sac pré-portionné de b
tenant ? » demanda Baptiste,
bras chargés. « Je prends mes r
siblement. Je l'ai réveillée doucement. « Maman, j'ai besoi
e dans ma chambre puis je me suis retournée pour fair
ma voix calme et définitive. « Nous resteron
ma maison ! »
rès longtemps
r la porte. Il a mis
son visage un mélange de colère
s yeux. « Tu voulais une sépa
cho à la fermeture finale d'un chapitre de ma vie. J'ai appuyé mon dos contre le bois mas

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