img Mariée au Milliardaire Impitoyable  /  Chapitre 2 2 | 6.67%
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Historique

Chapitre 2 2

Nombre de mots : 1267    |    Mis à jour : 05/09/2025

je me laisse aller ? J'étais encore intacte, novice en tout, et voilà qu'on m'unissait à un homme avant même que j'aie effleuré ce territoire

organisée pour nous. Je ne voulais pas imaginer ce que Nolan me réserverait encore après cette mascarade. « Un sourire, un peu d

'offrit sa main et nous descendîmes ensemble. Le contact de ses doigts me troubla au point d'oublier, l'espace d'un bat

jailliren

ant l'homme le plus convoité du

us et Lauren Garnier, mannequin de Vic

celants, rubans tombant des poutres, tables couvertes de mets et de pâtisseries à perte de vue : l'endroit bri

inquiéter », s'exclama sa mère, débordant

un détour », répondi

se posa ens

rayonnes... Mais ce n'était pa

ssitôt. J'ouvris la bou

Clemente, je peux

rrompit ave

be est splendide. Et

Nolan, qui s'em

, je voudrais présenter Natal

sur ce pré

M. Clemente, pendant que sa femme riait tendrement. Leur complicit

ienne, Nolan m'emmena

atalie », d

isse dire un mot, une jeune femme bondi

la chance, mon frère », lança-t-elle, e

le savais même pas. Quel mariage étr

dresser un signe : Tyler, Alec, Tally, W

, je t'em

ntraîna

toi. Allez, raconte-moi tout », dit-

? » plaisantai-je p

mes dans l

t pourtant depuis un an il parle de toi sans arrêt. Il d

t-il de moi ? Avait-il vraiment dit cela ?

rgit, ouvran

attend pou

revenais d'une longue absence. La musique envahit l'espace. Je me rapprochai, m

cha à mon

ens la ca

centrée, mais mon p

lamai-je en riant, t

nser avec toi », murmura-t-il, c

Pour un instant, j'eus l'impression que nous nous apprivoisions. Mais la musi

ntourant de leur affection, comme pour com

sais pas encore imaginer ce que cela voulait dire : pourquoi s'éclipser sans un mot ? Peu à peu, les rires se sont éteints, les chaises se sont vidées, jusqu'à ce que seuls Avery et moi restions, deux naufragées de la fête fa

Tout devait être magique, or je ne ressentais qu'un éloignement cruel de ma mère. Jamais e

ors que je prenais mon sac et séchais mes yeux gonflés. Un flot de ques

découvert un immeuble aux allures arrogantes, un de ces penthouses qu'on imagine réserv

s choses à vous dire, N

, incertaine, quand e

u oublierais, plais

e croyait à notre histoire, alors qu'en vér

our la route, et po

dai s'éloigner dans sa voiture, et me retrouv

virilité et de froide puissance se déploya devant moi : l'appartement, luxueux et brutal, aurai

rts, insistants, échappés de la chambre principale. En un instant, la vérité m'a transpercée. Il ne s'était p

d'homme f

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