ble. Noah se sentait comme un étranger dans sa propre peau. Chaque regard échangé avec Khalil, chaque p
de cette libération, de courir jusqu'à ce que ses pensées s'effacent, jusqu'à ce que son cœur
sur la ligne de fond, où il aperçut une silhouette familière. Khalil. Il était
r ? demanda Khalil en
son front. Il ne répondit pas immédia
nit-il par lâcher, avec
te. Les deux hommes restèrent là, dans un silence presque pa
Khalil finalement. Maëva m'
que cela devienne un sujet de conversati
ce qu'il fallait faire, souffla Khalil, sans vraimen
a vers lui, s
vue, cette première fois ? Ce n'était pas comm
ais il se tut, observant Noah avec un mél
is vue de la même façon. Je savais, en la voyant, que j'étais
des choses qu'aucun des deux n'osait dire, mais qu
, repoussant la balle
u'on a voulu être là pour elle, et maintenan
isiblement contrarié, mais s
aintenant. Pas quand tout ça est encor
ur moi. Elle m'a choisi, Khalil.
une frustration qu'il n'
tu penses. Ce n'était pas prévu. Mais toi et moi, on est coincés
plus lourd. Il se détourna et s'éloigna
ndes qui se télescopaient. D'un côté, il y avait Noah, sa douceur, sa manière de comprendre sans juger, et de l'autre, Khalil, avec sa présence m
être qu'elle espérait que tout finirait par se résoudre de lui-même. Peut-être qu
, mais elle ne pouvait pas lui donner ce q
s qu'il lui avait dits lui trottaient dans la tête depuis trop longtemps. Il fal
bord du terrain. Mais quelque chose n'allait pas. Les r
. Khalil détourna les yeux, visiblement mal à l'aise. Noah, quant à lui, la rega
arle, dit Maëva,
un regard, et c'est Khalil
it-il d'un ton presque fr
h. Il était là, juste devant elle, mais l'
ttendais pas, dit-elle, sa voix tremblante.
haque mot qu'elle disait lui enf
n'as pas vu ce qui se passait, Maëva.
rge serrée par une
juste pour toi, mais pour moi. Pou
. Ce silence entre eux était la seule ch
. Juste le poids de ce qu'il venait de confi
doucement, sans force, mais avec la certitude que tout cela était trop tard
ées. Elle savait que tout avait changé. Mais commen