cabane semblait trop étroite, les murs se resserrant sous le poids de ce qui m'attendait. Je m'habillai rapidement, tres
simple pour apaiser mon esprit. Mais en écrasant des tiges de lavande, leur fragrance s'intensifia, s'accrochant à ma pe
aignée de soleil, ses yeux laiteux plissés. Derrière elle, deux a
voix rauque, le souffl
rtier à la main. -
ément. - Lavande et clair de lune.
tremblèrent, éparpillant des pétales secs. - Non.
la autrefois. Il y a des décennies. Plus l'odeur est forte, plus le lie
Kieran. Moi.* La panique me ser
saisit mon poignet. - Nie
oues rosies, un panier de baies de genévrier sur la hanche. - Élara, Mara a
egards. - Rien, dis-je vite.
elle hocha la tête. - Prépare-toi, en
ssant derrière eux. Lila posa son panie
ai vers le mortier,
ens pas. Je les ai entendus. Ils pe
ain vers le mortier, mais elle l'éloigna. - L
nt. Ton odeur le crie depuis des sem
. - Tu n'as ja
lle leva les mains, les baies s'éparpillant. Mais tu te cache
t. - Ce n'est pas si
u es douce. Sage. La meute t'adore. Moi, je ne
elle, mais elle recul
isserait jamais couler. Tu ne le veux même pas, et la Déesse te l'offre. Pen
mbe, la porte claq
*
meute me suiviren
trop marqué. Même les enfants me dévisagèrent, les yeux écarquillés, comme si j'avais des ailes. À l'
paix ne
ée d'atténuer la lavande, mais elle s'accrochait obstinément. *Et s'ils avaient raison ?* Cette pensée m'effrayait. Me tenir aux côtés de Kie
ine de membres de la meute répétant les danses de la cérémonie. Je res
i
son sourire trop éclatant, ses mouvements trop vifs. Elle avait noué des rub
en fa
eune oméga, se tenait à m
Qu
danse. Elle y passe la journée. Elle pense que si ell
ma dans mon estomac.
a un sourc
té et la peur s'entremêlant. Le rire de Li
-là, elle
les choix ont des conséquences. Si j'étais l'âme sœur de Kieran, je perdrais Lila.
e silence – long, soli
avant que je pui