ie avait l
. Mon odeur de lavande semblait plus lourde ce jour-là, comme si l'air lui-même se moquait de moi. Chaque inspiration semblait c
rte g
apporté qu
sourire était trop large, sa voix trop légère. Elle ne m'avait
. - Qu'est-c
lle posa un mug près de moi, la vapeur s'éleva
ur de menthe était vive, pres
rès, son ton taquin mais tendu. Ou a
*à la Lila*. Mais ses jointures b
it-ce sa façon de s'excuser. La première g
n goût fort
i ajouté du miel, mais tu sais
la tension palpable. Son gen
e ce que j'ai dit... Je ne le pensais
ts semblaient appri
te le thé,
pour la rassurer, l'ame
de l'Ancienne Taryn ? dit-elle brusquement, souri
pé mais sincère. - Tu a
e nous a forcées à replante
couvertes de cloqu
e. Ma tête commença à tourner,
devint pâteuse. Q
d envahit mes veines, engourdissant mes doigts. J
ttrapa, me posant
t ? Les mots traînai
n visage, son toucher glaci
fusaient de bouger. J'essayai de crie
mes étagères d'herbes. Cette potion... c
ue. Mon
on
es poumons. Lila fredonnait en travaillant, écrasant des pétal
lointaine. Le lien d'âme sœur avec l'A
oues. La trahison me serra
ide scintillant – mon odeur, distillée en essence. - Avec ça, la
use. V
ça. Son sourire vacilla. T
, mais mes doigts g
ompagnon prédestiné, l'amour de la meute, même les
n'était plus la Lila que je connaissai
rine, ralentissant mon cœur. L'obsc
e. Quand tu te réveil
n ruban rouge, éclatant comme du sa
*
i sous la lumi
orps était douloureux, chaque muscle raide. J
ode
on pouls aurait dû vibrer de la chaleu
étagères, saisissant un flacon de romarin é
e réa
romarin était faible, diluée,
on a fon
r, je n'étais personne. Ni guérisse
'ouvrit br
rne s'alluma, m'aveuglant. Par la gr
ucun mot ne vint. Comment
ube. Mara me releva, sa poign
Le mot rés
er regard à l'infirmerie. Un pétale de
de ce que j