cogner la tête au visage et j'ai souri avec une légère satisfaction en entendant un
es bras et s'est assis pour tenir son visage ensanglanté dans ses mains, se balançant légèremen
it ce qu'il avait commencé. Aussi vite que j'ai pu, je me suis glissé sous lui et lui ai donné un coup de pied dans le dos,
n les emmenant deux à la fois et en sortant par la porte d'entrée, remerciant celui qui était là-haut qu'elle n'était pas verrouillée. Je savais où ils gardaient les
à travers la porte et dans la rue. "Je vais t'avoir et qu
gravier et les brindilles qui mordaient mes semelles sensibles. J'ai ignoré la douleur et me suis forcé à continuer, berçant mon coude blessé dans ma main droite, près de mon corps. Ma respi
er, pas après ce que
après moi, gagnant sur moi à chaque foulée, sa tail
, paniquées à l'idée de ne pas trouver un endroit assez grand pour me cacher. Je me suis essuyé les yeux avec le dos de ma main pour éclaircir ma vision et juste au moment où j'étais sur le point de perdre espoir, j'ai repéré quelque chose. J'ai presque pleuré
lait sortir de ma poitrine quand je vis ses pieds courir droit devant ma cachette. J'ai dû mettre ma main sur ma bouche, de peur qu'un gémissement ne s'échappe et ne me fasse perdre ma cachette. Je pouvais l'entendre trébucher un moment, l'alcool affectant visiblement
jouais avec les autres enfants qui venaient chez moi lorsque leurs parents venaient me rendre visite. Je ne savais
de Damon, tendant l'oreille pour détecter toute sorte de bruit considéré comme inhabituel. Quand je suis revenu vide, n'entendant que le vent dans les arbres et les animaux se précipitant autour de mes pieds, j'ai rampé prudemment hors du trou. Ma tête tournait constamment dans toutes les directions, mes yeux sauvages étaient grands
.
nt engourdies, étaient désormais au premier plan de mon esprit alors que je poussais mes jambes douloureuses pour continuer. Là où je ne le savais pas, je sav
ntes reprises, même en tentant une ou deux fois, mais je finissais toujours par me faire rattraper. Les habitants semblaient tous déterminés à me garder dans cette maison, si jamais ils me rencontraient dans ma tentative de m'enfuir, ils me prendraient simplement et me ramèneraient chez les Leften. Ils ne me regardaient même pas dans les yeux et acc
rapidement et me raclai la gorge. Je suis tellement mieux de ne pas être là, je