seule chose que j'avais réussi à cacher à cette famille cruelle après toutes ces années de vie avec eux. La photo n'avait aucune valeur pour un étranger, mais pour moi, c'était tout. C'était nous troi
ent disparu longtemps apr
directions alors que nous riions tous de nos efforts pour essayer de les ranger derrière nos oreilles. J'avais l'air si jeune et i
ent caché quelques autres bibelots, quelques livres à lire ou une fleur séchée que j'avais trouvée particulièrement belle. J'avais si peu de biens vivant à cet endroit que je tenai
nd-chose d'eux, je savais toujours que les avoir comme parents faisait de moi l'enfant le p
rité, mon cerveau se rappelant les souvenirs incroyables que j'avais avec eux. Si jamais j'étais triste ou si je me senta
edressé dans mon lit. J'étais tellement absorbé par le souvenir
nt pas vraiment de réponse. Une réponse signifiait que quel
is la première syllabe sortir de ses lèvres. Que faisait-il ici ? Les gauchers ne viennent presque jamais ici, ils disent que les laids doivent rester derrière des portes closes et ne doivent sortir que lorsqu'on leur demande de le fa
ui penché sur moi. Il faisait sombre dans ma chambre, sans fenêtre pour offrir ne serait-ce que la lueur du clair de lune, mais je pouvais to
frappé au visage avant de m'agripper aux poignets, me forçant à redescendre sur le matelas grumeleux en dessous de moi. Je gémis et fermai les yeux sous la douleur, mais il se contenta de rire alors
a-t-il en respirant mon odeur par le creux de mon cou. Il était si proche que je pouvais sentir son souffle sur mon visage et j'avais des
n emprise sur mes bras, mais tout ce que j'ai finalement réussi à faire, c'est de tordre mon coude dans
esque impossible de respirer. Pas bon, pas bon du tout. Le coup m'a coupé le souffle et j'ai momentanément interrompu mes efforts pour m'échap
je voulais était qu'un Tony ivre soit en colère contre moi. J'ai levé les yeux vers son visage avec une expression douloureuse et même dans le noir, je p
murmuré à l'oreille, gardant toujours tout son poids sur moi. Son souffle m'a fait vomir, m'empêchan
eau sous l'impact, mais il a ignoré mon cri et a continu
oulant du coin de mes yeux. Je v
ri, ne voulant pas le mettre en colère plus qu'il ne l'était déjà. D'une main, il maintenait fermement les miennes de tout son poids tandis que l'autre se dirigeait vers l'ourlet