estions logistiques concernant Léo. L'air dans l'appartement était lourd, glacial. Il me pu
ellement terminé, mais je ne pouvais plus rester à la maison. Je devais r
suis arrivée au siège de la Maison Dubois un
ient avec un mélange de peur et de respect. Les rumeurs sur l'annulatio
n travail parfait. Je me suis assise dans mon fauteuil en cuir, l'odeur
Vers midi, j'ai entendu des rires dans le couloir. L
s en riant, un geste trop familier, trop intime pour un PDG et sa stagiaire. Ils se dirigeaient vers
ontée en moi, f
esoin d'un café. Je suis allée à la pe
e comptoir, à côté de
tas
faite à la main par un céramiste japonais, que j'avais achetée
in de se servir un thé
prochée d'ell
e, » ai-je dit, ma voi
ursauté,
elle est superbe. Je l'ai
tasse. Rend
petit souri
avais pas. Il n'y ava
lieu de la prendre, je l'ai
lace. Et maintenant vous utilisez mes objets personne
li. Elle a comm
me. C'est juste que Marc... Monsieu
arc
nti derrière moi. Il venai
que tu fais ? Laisse
ctrice sur l'épaule de la stagiaire. Deva
. Après avoir utilisé mon bur
Arrête ton cirque. Chloé, je suis dé
e la pièce, la traitant comme une
était
i aussi, apparemment, puisque tu as oublié qui est
a petite pièce. Ils se
itieuse qui utilise les flatteries les plus éculées pour grimper. Et toi, tu tombes dans l
devenu
élie. Tu dépass
s dépassé les bornes i
oré ma r
ans mon burea
t partie, puis il s'est
te prend, mais ça doit c
e devrait a
orte. J'avais besoin de penser. La confrontation directe ne fonction
ses soutiens. Et pour ça, je devais d'abord m'occuper de Chloé. Non pa
f du plus grand magazine de mode concurrent. Une femme qui
on pour toi. Une information qui pourrait être très... intéressante
ligne, j'ai entendu l
coute, m
seulement personnelle.