amille Dubois possédait la marque, le nom, l'héritage. Ma famille, les Valois, contrôlait une part significative de la production text
restaurant romantique, mais dans une salle de conseil d'administration. N
qui frôlait l'arrogance. Il connaissait le nom de chaque grand rédact
tendances du marché, les failles chez nos rivaux. J'ét
ous avons éta
» avais-je dit, en le regardant droit dans les yeux. « Je veu
t ma vie, » avait-il répondu. « Mon nom est sur la port
it un contrat. Un pacte basé sur un r
charmait la presse et les célébrités, j'assurais les arrières, faisant de la maison Dubois
ons, les mêmes victoires. Les longues nuits passées à préparer un défilé se terminaient par des verres de vin dans notre immen
on. L'affection en une forme d'amour prag
éo est
ut changé. Pour la première fois, nous n'étions plus seule
'avais jamais connu. Une vulnérabilité. Une envie de protéger, de
re dévoué. Il me regardait différemment, avec une tendresse nou
oment où j'étais la plus vuln
mi d'autres. Je l'avais à peine remarquée. Jeune, jolie, avec des yeux qui brillaie
pas aux tissus ou aux coupes. Elle s'intéressait
on qu'il avait prise. Elle riait à ses blagues, un peu trop fort. Elle restait tar
té sensible à la flatterie
avait-il dit un soir, quelques semaines avant m
à naître. Je lui faisais confiance. Notre pacte était basé sur le respect.
r elle. Avec moi hors du bureau, elle avait le champ
n du conseil. Elle prenait de
mmenée déjeuner avec le
ais une nouvelle mère, un peu isolée. Marc ne ferait jamais quelque chose d'aussi
am m'a prouvé à quel
pacte. Il avait pris mon absence non pas comme un moment à respecter, mais com
me venger d'une humiliation. Je lui rappelais la nature
éder. Chloé n'était pas la cause, elle n'était que le symptôme. Le vrai problème, c'était la faiblesse de Marc, son besoin constant d'a