ntre conscience et inconscience. Des voi
mais épuisée. Un s
e détestais plus que tout au mon
ne saura jamais rien. Tout le monde pense qu'elle est coupable. Le
la plus cruelle. Mon corps était trop faible pour réagir, mais mon esprit était d'une clarté glaciale. Il
assis à mon chevet dans la chambre d'hôp
un soulagement parfaitement simulé. "Tu m'a
ndre avec lequel il voulait me servir. Et pour la première fois, j'ai re
, ma voix un simp
les sourci
ne veux plus j
avant de reprendre une expression blessée. Il a essayé de protester, mais j'ai to
retrouvé un petit bracelet en argent qu'il m'avait offert pour notre premier anniversaire de partenariat. Je l'ai pris et, sans une hésitation,
de cette vie. Alors que je vidais mon ordinateur, un dossier a attiré mon attention. Il était verrouillé, un niveau de c
ie au restaurant, Sophie dormant. Des vidéos, des enregistrements de sa voix. Et des plans. Des plans détaillés sur la façon de la faire progresser dans sa ca
et quand la porte s'est ouverte. C'était Marc. Il m'a vue devant
ique pure, animale. Il s'est précipité, a
" a-t-il crié, sa voix p
it calmement. Le calme de ceu
que c'était du passé, qu'il avait gardé ça par nostalgie, que c'était moi qu'il aimait
ceux qui devaient assurer notre succès. C'était mon bien le plus précieux. Je suis allée à la cuisine, j'ai allumé un brûleur de
rrifié. "Aurore, non
C'était ton avenir avec Sophi
ti une boîte de sa poche. Un collier de diamants. Un cadeau extra
C'est pour toi. Pour
îte et je suis partie, le laissant seul au milieu de
nnée. C'est là que je l'ai vue. Sophie Bernard, en personne, sortant d'une boutique de luxe. Elle
percutée de plein fouet. J'ai été projetée au sol, ma cheville s'es
on pas pour m'aider, mais
voix pleine de mépris. "Marc m'a beaucoup parl
humiliée. La douleur à ma cheville n'était rien comparée à la douleur