de muscles en costume sombre. "Relevez-la. Monsieur Lefèvre v

ma cheville était trop forte. Les gardes m'ont soulevée sans ménagement et m'ont pratiquement jeté

, un verre de vin à la main. Marc était à côté de lui, le visage pâle, évitant mon regard. Il n'a pas bougé, n'a pas dit un mot

a dit que tu avais découvert le petit jeu de Marc. Je dois avouer que c'es

ion inconfortable sous la table. Chaque mouvement était une torture. Mais la douleur physique n'étai

"Elle voulait un peu de piment. Marc a eu l'idée de la faire monter dans

regard plein d'adoration. Il lui a souri. À ce moment précis, j'ai

t levé d'un bond, plein d'une sollicitude qu'il ne m'avait jamais montrée. "Je t'accompagne," a-t-il dit, oubliant

ngtemps. Sophie veut que tu l'accompagnes à une soirée de chari

ement luxueux. On m'a donné une robe de soirée et des talons hauts. "Tu dois les porter," m'a d

de cadeaux. Des bijoux, des sacs de luxe, des lettres d'amour. Tous signés "Marc". Et parmi eux, une petite boîte contenant une version encore pl

ue mot doux, chaque attention qu'il m'avait accordée n'était qu'une répétit

agonie. Ma cheville me brûlait. Je devais rester debout, sourire, faire semb

agne, il était parfaitement heureux. Il ne m'a pas jeté un seul

fait irruption dans la salle, se dirigeant droit vers Édouard. C'ét

s Sophie, qui se trouvait juste à côté. "C'est à

avec une fureur que je ne lui connaissais pas, se battant comme un lion pour protéger la fem

l était prêt à mourir pour elle. Pour moi, il n'avait que du mépris et de la manipulation. Mon