tanément dans la salle immense. Tous les regards étaient tournés ve
Ma vie. Une vie que je dois, comme vous le savez
x avec une fausse modestie. La foule a applaudi polim
, « ma femme, Amélie, a aussi joué un rôle. Un rôle... particulier. Elle a ses petits secrets, ses p
taines d' yeux curieux et cruels se fixer sur moi. J'
, le mot "rares" dégoulinant de sarcasme. « Le jeu est simple. Amélie, avec son don si exceptionnel, v
oi, c' était une exécution. Mes flacons n' étaient pas de simples objets. Chacun contenait une partie de mon histoire, d
respirer. Je me suis souvenue des nuits blanches passées à son chevet, des moments où je mélangeais les essences jusqu' à ce que mes doigts soien
ur, son visage impénétrable. Nos regards se sont croisés une seconde. J' ai essayé de lui
ue deux gardes du corps, deux montagnes de muscles en costume noir, se sont placés devant m
de moi, son sourire ca
ma chérie ? Le jeu n'
es doigts se sont refermés
rtir, Antoine.
vaise joueuse. À moins que... tu n' aies peur de révé
dômes en argent. À côté, sur un plateau de velours noir, reposait l' un de mes flacons. "Clair de Lune", une e
élie a une minute pour identifier l' essence cachée sou
ui affichait un compte à
t si aiguisés, étaient brouillés par la panique. Je me suis penchée vers les dômes, essayant de capter une eff
r. C' était un piège, je le savais. Mai
écoulait.
' odeur de chaque dessert que j' avais vu passer. Une mousse au ch
9...
igt tremblant vers
e au chocolat. L' essence e
fait un signe de la tête à un serveur, qui a soulevé l
e, sa voix résonnant d
n flacon de "Clair de Lune", l' a levé bien haut pour que tout
ue sur le sol, son parfum délicat montant dans l' air, un dernier souffle