ù je l'ai rencontré pour la pre
l'orphelinat. Ils étaient riches, bienveillants, et déses
vités à dîner chez les Bea
on téléphone. Il portait un simple t-shirt blanc et un jean, mais il dégageait u
i. Il était beau, d'une bea
n souriant : « Louis est un peu timide. Il passe tout son temp
ns le jardin. Il était assis sur
approchée
té, surpris
Amélie, »
sai
nts à essayer d'attirer son attention. Je lui apportais des goûters dans son garage, je l'invita
avais un peu trop bu. Je l'a
ime bien. Vraim
, un air de pit
s comme une petite
rébuché et je suis tombée dans la piscine. L'eau froide
e l'eau, trempée et hu
ation. J'étais Amélie Dubois. Ma famille adopti
ultés financières. Leur entreprise était au bord du gouffre. Mo
aidait les Beaumont. En échange, Loui
J'ai utilisé l'argent et
voir. Son visage était f
i as demandé ç
-je admis,
ns joie. « Tu veux
t de toi, » a
accord. Mais ne t'attends pas à
le de lui. Je l'entourais, je le collais, je demandais toute son attention. Il était pa
etit coin perdu à la campagne. C'était la première
eur a été de
u village nous regar
velle petite a
Elle l'a attendu
s de se marier quand
entendu. Son amie d'enfance.
e chambre d'amis, je l
qui, C
é le regard.
e vous vous êtes pro
« On était des enfants.
d'elle. Une tendresse que je n'avais jamais vue pour moi. Pour la première fois, j
-