es conversations animées, le parfum entêta
me fai
s les lumières éblouissantes d'une boutique de luxe. Des camarades de classe, leurs visages rayonnant d
fin réveillée ! Tu
e s'est fait enten
tête, et mon co
c une inquiétude feinte, ses gra
iet
rit comme un film d'horreur. Ses mains me poussant violemment, le rugissement assour
uis pas
es camarades de classe, Juliette... et la date affi
de la Fête des
r un prêt frauduleux de plusieurs centaines de milliers d'euros, privatisant cette boutiq
s revenue au point de d
intense qu'elle m'a presque fait trembl
assé ? » ai-je demandé,
air attentionné, me tendant un verre d'eau. « Heureusement, tu vas mieux. Camille, pour ce q
nde qu'elle m'avait fait
i-disant pour une formalité, mais en réalité
ide, j'avais accepté sans hésiter, la
qui paraissait doux et inoffensif, mais qui c
roidement da
No
i de ma bouche,
pas à un refus aussi direct. Un éclair de mécontentement a travers
ions amies. C'est juste pour une petite chose.
e, une autre voix s'est int
uliette est si gentille de nous invit
écédente. L'homme qui s'était tenu aux côtés de Juliette, me regardant me faire
é et a essayé de
moi ça. Ne gâch
de son visage beau mais faible à celui de Juliet
fait pour lui, ignorant les avertissements de mes parents sur son c
idiote
ce de financement pour leurs ambitions,
us main
ues de ce camion. Celle qui est revenue est une âme remplie de cic
i le ch