est entrée dans le café. C'était Chloé Martin. Adèle a senti son estomac s
s plaît, » a dit Chloé
sur un pied de table. Le café chaud s'est
ée ! » s'est exclamée Adèle, mortifiée
sur son chemisier. « C'est fichu, je crois. » Puis, elle a regardé Adèle. « Je travaille juste à côté, à la galerie. Ve
qu'à la galerie, qui était vide à cette heure de la journée. Chlo
ez ça. Ça vou
probablement plus que tout le contenu de l'ar
la rapporterai demain
mps, » a dit Chlo
oé n'était pas la femme arrogante et superficielle qu'elle avait imaginée. Ell
dèl
parole dans cette nouvelle vie. Le cœur d'Adèle a raté un battement. Malgré tout, une partie d'elle a réagi instinctiv
on pas sur son visage, mais sur la veste q
c la veste de Chloé ? » a-t
ai eu un accident au caf
èle. Tu n'as pas supporté de nous voir heureux, alors tu as trouvé un moyen de t'approcher d'elle, de te fa
voix. Il ne la connaissait pas. L'homme qui se tenait devant elle n
. « Tu es jalouse. Jalouse de Chloé, jalouse de mon succès. Tu voudrais que j
is aussi la mémoire de leur passé. Tout ce qu'elle avait fait pour lui,
Chloé est sort
a vu la tension entre eux. « Oh, Adèle,
ai prêtée. Elle a renversé du café sur son unifor
anément. La colère a laissé place à
dit en riant. « Excuse-moi, Adèle. J'
des épaules de Chloé et
p gentille,
t laide. Pour lui, elle était une menteuse, une manipulatrice. Mais dès que Chloé parlait, sa parole était d'or. Il n
Elle a ôté la veste
ore, » a-t-
armes qui commençaient à couler sur ses joues. Ce n'était plus de la tristesse qu'elle ressentait, mais une immen
ge. Il y avait des photos d'eux, sortant de la mairie, l'air radieux. Adèle
ieur. Elle a sorti son accordéon, l'instrument que son père lui avait légué, celui de sa vie d'avant
te vie, elle allait honorer sa mémoire. Elle allait réussir, non pas pour impressionner Louis ou pour se venger, mais pour elle-même. Pour prou
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